Eaux Fortes Victor Hugo

« Indignation : du refus à la révolte » Texte A Étienne de La Boétie Discours de la servitude volontaire 1574 « Soyez résolus à ne plus servir… » Texte B Jean-Jacques Rousseau Confessions 1782 « Le peigne cassé » Texte C Victor Hugo Discours 1851 « Les caves de Lille » Texte D Paul Éluard L’Honneur des poètes 1943 « Préface »  Texte E Albert Camus L’Homme révolté 1951 « Un homme qui dit non. » Voici le sujet type E.A.F. que vous

Charles Baudelaire (1821-1867) L’HEUTONTIMOROUMENOS ( les fleurs du mal) A J. G. F. Je te frapperai sans colère Et sans haine, comme un boucher, Comme Moïse le rocher ! Et je ferai de ta paupière, Pour abreuver mon Sahara, Jaillir les eaux de la souffrance. Mon désir gonflé d'espérance Sur tes pleurs salés nagera Comme un vaisseau qui prend le large, Et dans mon cœur qu'ils soûleront Tes chers sanglots retentiront Comme un tambour qui bat la charge ! Ne suis-je pas un

belle nature, Au moins le souvenir ! 53 Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants’ coteaux’, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux ! 57 Qu'il soit dans le zéphyr’ qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! 61 Que le vent qui gémit, le roseau qui

je n’aurais pas donné pour un boulet de canon, ni même deux boulets de canon, ni trois. 5 Favorisée par une forte brise S.-O., la mer clapotante affleurait les quais du Havre, et s’engouffrait dans les égouts de ladite ville, se mélangeant avec les eaux ménagères, qu’elle rejetait dans les caves des habitants. Les médecins se frottaient les mains : « Bon, cela ! se disaient-ils, à nous les petites typhoïdes1 ! » 10 Car - le croirait-on ? - Le Havre-de-Grâce est bâti de telle façon que ses égouts sont

que découvre Sindbad le marin est décrite comme un jardin paradisiaque (ce qui veut dire que l’île est idéalisée) : Exemple : « (…) Nous touchâmes, guidés par la destinée, à une île fort belle, couverte de grands arbres, abondante en fruits, riche en fleur, habitée par le champ des oiseaux, arrosée par des eaux pures (…). Nous débarquâmes aussitôt et allâmes respirer le bon air dans les prairies ombragées par les arbres où s’abattaient les oiseaux(…) j’allais m’asseoir près d’une source à l’eau

double échec du Père de famille (1757) et du Fils naturel (1758) fut la condamnation de ces théories et le signal de la mort pour ses réformes. Il faudra, pour amener en France une réaction radicale contre le Classicisme, d'autres influences plus fortes et plus profondes. Il faudra une transformation complète des façons de penser et de se sentir, qui n'était encore qu'en germe au milieu du XVIIIe siècle. La forêt de Fontainebleau, Jean-Baptiste-Camille Corot (1830). Les rêveurs du XVIIIe siècle

RICHARD Hugo 1ère STMG Partie 1 : recherches a. biographie détaillée de Paul Verlaine : Sources : http://www.mag4.net/Verlaine/Biographie.html http://verlaineexplique.free.fr/verlindex.htm Paul Verlaine est né à Metz le 30 mars 1844, où son père, officier, se trouve en garnison. Les parents de Verlaine, longtemps restés sans enfants, ont adopté une nièce, Élisa. Elle sera pour leur fils une grande sœur pleine d'indulgence. Verlaine, enfant, est excessivement "gâté". En 1849, le

double échec du Père de famille (1757) et du Fils naturel (1758) fut la condamnation de ces théories et le signal de la mort pour ses réformes. Il faudra, pour amener en France une réaction radicale contre le Classicisme, d'autres influences plus fortes et plus profondes. Il faudra une transformation complète des façons de penser et de se sentir, qui n'était encore qu'en germe au milieu du xviiie siècle. La forêt de Fontainebleau, Jean-Baptiste-Camille Corot (1830). Les rêveurs du xviiie siècle

vraisemblance et de la bienséance. Ce sonnet renferme tant de sentiments de douleur dus à la perte d'un fils assassiné qu'il est difficile d'y rester insensible. Que mon fils ait perdu sa dépouille mortelle, Ce fils qui fut si brave, et que j’aimai si fort, Je ne l’impute point à l’injure du sort, Puisque finir à l’homme est chose naturelle. Mais que de deux marauds la surprise infidèle Ait terminé ses jours d’une tragique mort ; En cela ma douleur n’a point de réconfort, Et tous mes sentiments

vraisemblance et de la bienséance. Ce sonnet renferme tant de sentiments de douleur dus à la perte d'un fils assassiné qu'il est difficile d'y rester insensible. Que mon fils ait perdu sa dépouille mortelle, Ce fils qui fut si brave, et que j’aimai si fort, Je ne l’impute point à l’injure du sort, Puisque finir à l’homme est chose naturelle. Mais que de deux marauds la surprise infidèle Ait terminé ses jours d’une tragique mort ; En cela ma douleur n’a point de réconfort, Et tous mes sentiments