Earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization

premier est le modèle de Trade off qui prédit que les firmes identifient un niveau optimal d’endettement en évaluant les coûts et les bénéfices d’une unité additionnelle de la dette. Parmi, les bénéfices de la dette, nous pouvons citer la déduction des taxes des intérêts ainsi que la réduction des problèmes d’autofinancement. Les coûts de la dette incluent les coûts potentiels de faillite et les conflits d’agence entre les actionnaires et les obligataires. A ce niveau optimal d’endettement, le bénéfice

ainsi le risque que pourrait induire l’échec du projet, vis-à-vis des créanciers qui n’auront recours qu’aux actifs spécifiques au projet ;  De ne pas grever leur capacité d’endettement. 5 Traduit de : Stefano GATTI, « project finance in theory and practice », Ed: Academic Press, 2008, p 21. Page | 7 Chapitre I : Aperçu Général sur le Project Finance Tandis que pour le secteur public, ce financement en hors bilan permet de lever un montant important sans augmenter le déficit public ni

où elle est terminée et qu’elle est utilisée par l’entreprise. L’amortissement est une technique comptable qui permet de répartir le coût d’acquisition d’un actif immobilisé entre les exercices comptables durant lesquels l’actif est utilisé. La dépréciation subie par un actif durant un exercice comptable est prise en charge de l’exercice. L’amortissement fiscal, charge non décaissée, diminue l’impôt en diminuant le bénéfice imposable. En charges, cela fait apparaître le coût du bien alors

la comptabilité de l’entreprise. L’objectif ultime assigné par la loi à l’information comptable est de projeter une image fidèle et sincère du patrimoine, de la situation financière et du résultat de l’entreprise. On retrouve la notion de « true and fair view », centrale dans la comptabilité anglo-saxonne. Ce principe de base est reconnu de façon internationale par l’International Accounting Standard Board (IASB) qui regroupe les organisations d’experts-comptables de plus de 100 pays, dont la

l’apparence. Ce concept, issu de la comptabilité anglo-saxonne (substance over form), cherche à exprimer que les règles comptables de l’entreprise doivent tendre à traduire une réalité économique plutôt qu’une forme juridique. C’est la notion true and fair view caractéristique des comptes anglo-saxons. Certaines de ces règles sont propres à la comptabilité française : elles peuvent être différentes dans la comptabilité anglo-saxonne, par exemple. Celle-ci va mettre davantage l’accent sur le rôle

P.E. : Profit Economique B.P.A. : Bénéfice par action P.E.R. : Price Earning Ratio (rapport cours/bénéfice) I.F.R.S. : International Financial Reporting Standard (normes internationales de présentation comptable) T.S.R. : Total Shareholder Retourn (retour sur investissement pour l’actionnaire) A.G.O. : Assemblée Générale Annuelle N.O.P.A.T. : Net Opérating Profit After Taxes (Résultat opérationnel après impôt) A.M.F. : Autorité des Marchés Financiers

résultat net comptable ; – résultat opérationnel, résultat opérationnel courant, coût de l’endettement financier net, résultat des activités arrêtées (tirés de comptes IFRS – recommandation CNC 2004 R.02) ; – EBITDA (earning before interest, taxes, depreciation and amortization) indicateur censé mesurer la capacité de l’entreprise à financer sans appel à des fonds extérieurs ses investissements en immobilisations et besoins de fonds de roulement ; – résultat par action (résultat de base et résultat

résultat net comptable ; – résultat opérationnel, résultat opérationnel courant, coût de l’endettement financier net, résultat des activités arrêtées (tirés de comptes IFRS – recommandation CNC 2004 R.02) ; – EBITDA (earning before interest, taxes, depreciation and amortization) indicateur censé mesurer la capacité de l’entreprise à financer sans appel à des fonds extérieurs ses investissements en immobilisations et besoins de fonds de roulement ; – résultat par action (résultat de base et résultat

exceptionnel, résultat net comptable ; – résultat opérationnel, résultat opérationnel courant, coût de l’endettement financier net, résultat des activités arrêtées (tirés de comptes IFRS – recommandation CNC 2004 R.02) ; – EBITDA (earning before interest, taxes, depreciation and amortization) indicateur censé mesurer la capacité de l’entreprise à financer sans appel à des fonds extérieurs ses investissements en immobilisations et besoins de fonds de roulement ; – résultat par action (résultat de base et résultat

recherche avec le Cnrs, le Cea, …) et divers autres organismes (bibliothèques, musées, théâtres…) qui disposent de l'autonomie financière pour produire des services non marchands en gérant l'enveloppe qui leur est attribuée (provenant de subventions ou de taxes nationales). les administrations publiques locales (APUL) comprennent les collectivités locales (régions, départements, communes…) et les Organismes divers d'administration locale (Aménagement du tissu urbain, aménagement rural (safer). Interventions