Désirer Ce Que L On Ne Connaît Pas

navigué entre deux extrêmes : d’un côté, la puissance de l’imaginaire, du rêve, de la poésie, ingrédients alchimiques nécessaires pour susciter ce désir qui déclenche l’acte d’achat. De l’autre, la rigueur des chiffres, arbitre implacable du succès d’une campagne. L’agence de publicité est cette interface où se confrontent ces deux mondes : celui du désir, et celui de la réalité. Du coup, cette dialectique féconde entre le rêve et la réalité, l’imaginaire et le réel, la création et l’administration

générale des lieux et des personnages : la maison, surtout les deux pièces au rez-de-chaussée, puis madame Vauquer, Michonneau, Poiret, Couture avec Victorine, enfin Vautrin, sans oublier les domestiques, Christophe et la grosse Sylvie. Le lecteur connaît maintenant le cadre et chacun des habitants. C’est ici, avec ce récit/analyse des premiers pas d’Eugène à travers le labyrinthe de la capitale, que se dessine pour la première fois le thème important de l’apprentissage ; le texte place Eugène en position

vertueux si : - principe est dans l’agent - agent connaît circonstances dans lequel acte accompli, moyens mis en œuvre…  « L’action a son principe hors de nous » Actes involontaires : - actions contraintes : agent = patient - actions mixtes : par crainte de plus grands maux - actions par ignorance des circonstances. 2 types d’hommes vicieux : - homme akrasique : connaît le bien mais fait le mal, sans y prendre plaisir - homme déréglé : ne connaît pas le bien, la fin propre • Choix délibéré : valeur

technique. Pour toutes techniques, il y a une orientation vers une fin jugée utile. Cette technique a un champs d’application qui est la politique. Le bon rhéteur va pouvoir attirer la foule à lui et là est sa spécialité. Le rhéteur n’est pas celui qui connaît la vérité et sait ce qui est bon pour la cité, il est celui qui est populaire et qui sait l’attirer à lui. C’est un démagogue. Il se fiche du contenu de son discours. Peut importe l’idée tant qu’on a le peuple. Son inverse même est l’idée du philosophe

(d’origine rationnel). La raison nous permet de connaître deux éléments : soit le « bien » morale, soit la vérité. Nous ne sommes que vraiment libres que si nous pouvons choisir de ne pas suivre notre propre raison, donc d’agir « mal » (exemple : désirer mal à quelqu’un, voler, etc.) ou même de nier un vérité (comme les mathématiques, un loi physique, etc.) s’il l’on veut. Si non on serait déterminés par notre raison, et donc pas complètement libres. C’est le pouvoir indéterminé de se déterminer soi-même

dit qu'il n'a été qu'un rouage dans une grande machine et qu'il n'est pas responsable ↪il a choisit de n'être qu'un rouage : responsable de ses choix 4.Descartes : Méditations métaphysiques • remet en question la vérité de tout ce qu'il connaît règle du doute → douteux = faux logique bivalente (vrai-faux) acheminement vers une vérité inébranlable qui résiste au doute • 1ère étape du doute : 1ère raison de douter : croyance spontanée dans les sens doute qu'à chaque sensation corresponde

Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. La vieille, bienfaitrice de Cunégonde IV -Chapitres / extraits exprimant l’amour Dans Candide de Voltaire, l’amour n’est lié que du désir et non a l’amour véritable. Des le chapitre 1, Voltaire nous indique déjà l’amour qui naît entre Candide et Cunégonde : « Leurs bouches se rencontrèrent, leurs yeux s’enflammèrent, leurs genoux tremblèrent, leurs mains s’égarèrent. M. le

moment, il réalise, que ce corbeau immobile ne restera pas pour toujours et demain s'envolera comme d'autres amis se sont déjà envolés. Le corbeau lui répond : « Jamais plus ». Le narrateur se dit que « Jamais plus » est le seul mot que le corbeau connaît, apprit surement d'un ancien maître malheureux, il s'assoit en face de lui, essayant de deviner ce que « Jamais plus » veut dire. Il réfléchit un instant, ne dit rien, mais son esprit vagabonde vers sa Lénore perdue. Il pense que l'air devient plus

psychanalyse. Névrose C’est un conflit interne du sujet dont les effets peuvent être perçus à l’extérieur. Pour le conflit, on parle des instances psychiques internes, au nombre de trois : le moi, le ça et le surmoi. Le moi est ce que l’on connaît le mieux de nous, c’est la partie immergée de l’iceberg. Le ça c’est la partie la plus étrangère à nous-même : c’est ce que Freud appelle le poussoir émotionnel. Le surmoi est extériorisé, c’est un petit arbitre entre le ça et le moi, l’ange et

Polyphonie complexe qui nous fait entendre la voix de différents personnages aux contours difficilement identifiable. II. Ces sous conversations qui dévoilent les mouvements souterrains de la conscience. III. Le drame intime : rapport de force, désir d’être aimé, impossibilité d’un rapport authentique à soi et aux autres. I.a. polyphonie complexe : plusieurs voix males identifiables, on est déstabilisé car le repère du personnage est rompu. On assiste à une conversation entre des personnages