Désir Manque Ou Puissance

conscients. En second lieu, si le désir est l’essence de l’homme, l’homme ne peut pas non plus le vaincre, car il perdrait sa nature humaine. Le désir se définit comme une tendance consciente, celle de la représentation d’une réalité comme source possible de satisfaction ; au niveau de l’inconscient, ce type de tendance n’est qu’une pulsion. Dans L’Ethique, Spinoza définit le désir comme "l’appétit accompagné de la conscience de lui-même". Donc, même si le désir peut avoir pour origine des pulsions

Il y a aussi un plaisir qui se situe dans l’anticipation du plaisir à venir : un plaisir de désirer et d’assouvir le désir qui vous fait monter l’eau à la bouche. Dans la consommation, devant l’objet, je ne me contente pas de percevoir pour percevoir. Le plaisir que j’éprouve déjà à l’idée que je vais consommer ces fruits est lié au désir et il y a un plaisir de désirer en sachant que le désir sera comblé. La sensualité est ce plan du vital qui en nous est engagé dans le processus du Page

voler, passer un examen, rêver de la mort des êtres chers…etc.; qui entraine une expérience commune mais attention il n‘y à pas de clés générales pour comprendre les rêves, ils ne peuvent être qu‘uniques, singuliers. Le rêve est l’accomplissement du désir singulier et lié à l’expérience infantile de chacun. Il faut donc s’intéresser à la source du rêve c’est-à-dire son matériel infantile. Il existe deux formes dans le rêve : le contenu lattant et le contenu manifeste.  Manifeste = souvenir

I. Si raisonnable=rationnel ( conforme à la raison comme « ratio » =calcul ou capacité à bien ajuster les moyens à une fin ET qu’on voit le désir comme mouvement vers ce qui pourrait combler un vide vécu comme un manque à combler ET l’homme comme un être de raison, aspirant à mener une vie en accord avec la raison et bien calculée ALORS on peut penser que renoncer à ses désirs, - c’est renoncer à l’insatisfaction et la souffrance qui les accompagnent donc un bon moyen pour arriver à un état de non

Nous ne pouvons pas échapper à la relation avec l’autre car elle est un besoin, pour l’homme un désir. Car si on se penche du côté de Platon, le désir crée le manque. L’Homme étant un être de désir. Alors il serait difficile de ne pas aimer. Si aimer serait déraisonnable cela voudrait dire que nous ne devrions pas vivre ensemble. Nous semblons donc confrontés à quelque chose d’insoluble, étant donné

Le désir I] Analyse de la notion L’étymologie du mot renvoie au latin desiderare, « regretter l'absence de quelqu'un ou de quelque chose ». Désirer (ou dé-sidérer) serait à rapprocher de con-sidérer, de considerare «examiner attentivement (par les yeux, par la pensée) ». On notera la proximité avec le lexique de la sidération, de la captation totale de l’attention. Le désir est une tension du sujet vers un objet, réel ou imaginé, une force puissante qui pousse le sujet à l'action et à la

du temps dans lequel nous sommes. Cette insatisfaction permanente de l’homme face au temps traduit un désir de possession quant à celui-ci. Ainsi nous pouvons nous demander pourquoi désirons-nous tant posséder des temps qui ne sont pas nôtres et que nous ne pouvons posséder. Désirer signifie tendre vers un objet qui nous manque, mais pourquoi avons-nous l’impression que quelque chose nous manque dans le temps présent ? Que recherchons-nous dans les temps passé et futur ? Ainsi, pour répondre à ces

soumis aux mêmes lois). Sous un autre point de vue, la société athénienne n’est pas égalitaire puisque tous les membres de la société ne sont pas citoyens. Femmes, esclaves et résidents d’origine étrangère ne sont pas les égaux des citoyens. Ce qui manque aux Grecs, c’est l’idée d’une universalité de l’égalité (=qui s’applique à tous les humains). Une telle idée suppose la reconnaissance d’une identité de nature entre tous les hommes et de la prévalence de cette identité de nature sur la diversité

refouler ? Le désir, représente le sentiment de vouloir quelque chose, accompagné du mouvement qui tend à l'acquisition de l'objet de notre désir. Nous développerons donc dans un premier temps, l'idée selon laquelle il serait préférable de refouler nos désirs, dans un second temps nous tenterons de démontrer qu'il est au contraire préférable de les assouvir et dans un dernier temps nous verrons qu'il faut réaliser ses désirs de façon équilibrer et raisonnable . Si l'on prend le mot désir au sens large

| |puissance du temps | | Cela s’appelle, en « patois » philosophique, l’efficacité du temps, terme qui indique que le passage du temps sur un être | |n’est jamais sans effets. Et certes, le temps altère (rend autre), aliène, corrompt, déforme, abîme, use, transforme tout ce | |sur quoi il passe : toute puissance du temps ! Toute puissance qui se marque certes plus