Dénoncer La Peine De Mort

pose ? Que cherche t-on quand on ouvre un livre : un simple divertissement ou une réponse à des questions essentielles ? Le lecteur y cherche parfois et y trouve souvent des solutions aux questions inquiétantes qu’il se pose, comme la peur de la mort par exemple. Peut-on trouver dans la littérature des réponses aux interrogations graves que nous nous posons ? La lecture apporte parfois du réconfort mais certains auteurs offrent un regard pessimiste sur le monde, peu réconfortant. Enfin la littérature

Comment Zola, en décrivant la mine comme un monstre dévorateur, dénonce t-il les conditions de vie des mineurs au XIXème siècle? Nous répondrons à cette question 3 mouvements. Dans un premier temps nous verrons en quoi cet extrait de Germinal présente des descriptions naturalistes de la mine, dans un second temps nous verrons comment la mine devient un monstre dévorateur et dans un troisième temps nous étudierons en quoi cet extrait dénonce les conditions de vie des mineurs. L’extrait du chapitre 3 de

France au cours de la première moitié du XIXe siècle, encadrée par les deux grands combats que sont la Bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine

François Mauriac, Thérèse Desqueyroux (1927) : Chapitre IX (Extrait 1 : A Argelouse …jusqu’à la mort) I) L’auteur adopte un registre satirique A) La satire de Bernard * Bernard prend plaisir à se venger ce qui montre la mesquinerie du personnage.  « Bernard, à cet instant, connut une vrai joie »(l.2)nous signale sur l’état d’esprit du personnage , il trouve sa grandeur en écrasant Thérèse. La reprise anaphorique de « comme »dans « comme il la domine, ce soir !comme elle doit se sentir méprisée 

chanson, née en 1964, dénonce l'inhumanité de la peine de mort, la peur ressentie par le condamné, l'ironie de l'acte de mettre fin à une vie légalement comme si la justice avait le droit d'user de la loi du Talion. Cette chanson est sortie à une époque où il était question d'abolir la peine de mort. Georges Brassens avait déjà écrit en 1952 la chanson "Gare au gorille" sur le même thème, et tous les deux participent en 1972 à une grande campagne contre la peine de mort. En 1968, les jeunes

? Quels sont les autres moyens possible pour défendre une cause ou dénoncer une injustice ? Pourquoi les écrivains et les philosophes utilisent-ils ces moyens ? Dans un premier temps, nous allons voir en quoi la forme romanesque est favorable pour faire passer un message aux lecteurs. Dans un second temps, nous allons voir quels sont les autres moyens existants pour critiquer la société. Le roman est un bon moyen de dénoncer un mauvais acte, une injustice ou défendre une cause car il est accessible

moqueront d’aspects qui trouveront ridicules. C’est de cette façon que Marivaux, écrivain français du XVIIe ~ XVIIIe siècle, dénoncé dans L’Ile aux esclaves les relations maitre et serviteur en faisant naufrager un maitre ; Iphicrate, et son serviteur Arlequin. Ceux ci sont forcer a échanger de rôle et Iphicrate en tire une bonne leçon. Cette comédie est en vrai pour dénoncer les relations entre le maitre et son serviteur et après la représentation de cette pièce de théâtre, de nombreuses femmes disent

en Espagne. Les forces armées ne sont pas d'accord et font éclater la guerre. 1937 à l'exposition universelle, L’espagne commende un tableau à Picasso, lorsque qu'on lui commande à lieu le bombardement de Guernica. Il décide de le peindre pour dénoncer la guerre et le fachisme. Guernica reviendra en Espagne que quand la liberté reviendra en Espagne, quand il y aura de nouveau une vie normale avec des élections. En 1976 franco meurt. Et le Tableau reviens en 1981. Il est exposé à New-York au MOMA

ce moment on lui lie les mains, - le sommait […] se mettait à travers de tout, l’investissait, l’obsédait, l’assiégeait.) (l.76-85) En réalité, cet extrait permet de comprendre que l’écrivain décrit la préparation d’un condamné juste avant sa mise à mort, il a voulu que ses locuteurs ressentent des émotions fortes par rapport à cette description, qu’ils soient bouleversés. Par exemple, quelques mots péjoratifs comme (douloureuse) (souffrances) (misérable) et (agonisant) représentent bien ce que l’auteur

d'engagement. Cette tendance a été encore plus forte lors du siècle des lumières : les philosophes de ce siècle usant et abusant d'écrits en tout genre pour soutenir et défendre des causes humaines parmis lesquelles on peut compter l'esclavage, la peine de mort et bien d'autres encore.. Mais peut-on réduire l'écriture à la seule défense des causes humaines ? L'écrivain est-il dans l'obligation de s'engager ? On est en droit de penser que oui. L'écrivain a pour devoir de s'engager, premièrement