Dénoncer La Peine De Mort

L’ABOLITION DE LA PEINE DE MORT DANS LES PAYS MUSULMANS : ENGAGER LA RÉFLEXION par Bélaïd MERABTI Doctorant à l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne) Avocat au barreau d’Alger PLAN Introduction I) L’évidente subornation A) Une interprétation dépassée des normes islamiques 1) Les infractions de Houdoud a- Le brigandage et l’insurrection armée b- L’apostasie c- L’adultère 2) Les infractions de Kissas 3) Les infractions de Ta’azir B) L’opinion publique favorable 1) Protection efficace … 2) … ou

mauvais sujet de la prison ». Victor Hugo le fait donc passer pour une victime de cette société du XIXème siècle. Il fait en sorte que le peuple soit touché et ait pitié de ce pauvre homme qui était pourtant bon et aimant d’après lui. 5/ Il dénonce la peine de mort, l’éducation du peuple, sa souffrance et sa pauvreté. 6/ Son message a été entendu car un négociant, à la suite de la publication de « Claude Gueux » dans la Revue de Paris, décide d’en faire tirer 500 exemplaires, ce qui permet de le

Analyse Du Livre : 1. Le récit se passe principalement dans la prison de Clairvaux qui est une ancienne abbaye transformé en prison. Les lieux du procès et de l’exécution sont à peine évoqués. 2. Les évènements racontés se déroulent « Il y a sept ou huit ans » par rapport au moment de l’énonciation, soit entre 1826 et 1834 (mort de Claude Gueux et la date de parution de livre). Ce n’est pas un évènement historique et l’auteur n’a pas vécu l’évènement. 3. Le personnage principal est Claude Gueux. Il

Sujet:Par quels procédés les textes littéraires peuvent-ils se révéler particulièrement efficaces pour dénoncer des travers humains et susciter la réflexion? Dans « On ne badine pas avec l'amour » de Alfred de Musset les personnages Camille et Perdican sont deux jeunes gens promis en mariage l'un à l'autre mais Camille qui sort alors du couvent refuge se mariage car elle veut se consacrer à Dieu, mais Perdican ne le voit pas du même œil que la jeune fille et va faire croire à la jeune Rosette

procureur obtient la condamnation à mort d’un homme mais ce dernier s’échappe et apporte à l’homme de justice la preuve irréfutable de son innocence. Dans ce plaidoyer, l’auteur montre que cette peine peut être infligée à tort. Les arguments contre la peine de mort sont plus forts que ceux en sa faveur. Cependant, les arguments choisis par l’auteur pour justifier cette sentence ne sont pas les plus convaincants, permettant facilement à cette pièce de dénoncer une telle peine. L’auteur doit faire face à

Victor Hugo ( 1802-1885) Victor Hugo, écrivain engagé, a défendu nombre de causes ou dénoncé nombre d'injustices de son temps. Les misérables (1862) offre l'exemple d'un roman utilisant la fiction à des fins dénonciatrices : c'est l'inégalité des couches sociales de la société du XIXe siècle qui y est stigmatisée. Par ailleurs, Victor Hugo reste célèbre pour sa prise de position avant-gardiste contre la peine de mort, développant dans des récits comme Claude Gueux (1834) ou Le Dernier jour d'un condamné

faveur de la peine capitale. Il s’occupe désormais seul de leur fils, Neil. Il est tombé amoureux de Sharon Martin qu’il a rencontrée lors du procès du meurtre de sa femme, Nina. Il a des cheveux cendrés, parsemés de fils gris, des yeux d'un bleu hivernal. Il habite à Driftwood Lane. Sharon Martin C’est également une journaliste, belle femme aux cheveux couleur de miel. Elle est également l’auteur du célèbre roman « le crime de la peine capitale » militant contre la peine de mort. Elle tombe

un nom, mais pas de prénom. Pas de description physique. On sait qu’il est « brun », « jeune », employé de bureau (il s’occupe des « connaissements »). Il dort beaucoup. Il est indifférent devant la mort de sa mère, devant son avenir (la proposition de son patron, la peine de mort), devant le mariage. Les descriptions sont très courtes. Il parle très peu : la plupart du temps, ses paroles sont rapportées indirectement ; quand elles sont rapportées directement, elles sont courtes ou banales

dernières du roman et devant la cathédrale, Esméralda va être exécutée pour un crime qu'elle n'a pas commis. Comment Victor Hugo pourra-t-il transformer cette scène pénible en une œuvre artistique, en même temps qu'il en fera un plaidoyer contre la peine de mort ? C'est ainsi que nous étudierons d'abord la mise ne scène voulue par le romancier puis le symbole qui fait de cette exécution une marque de barbarie indigne de l'humanité. I Spectacle ou assassinat ? 1/ La danse macabre des regards.

lecteur le choix mais décrit l’intolérable de manière très péjorative ce qui mène l’auteur à épouser le plus souvent le point de vue de Camus. Enfin du point de vue du texte, on peut voir que le personnage principal est un outil utilisé pour dénoncer ces choses intolérables car c’est lui qui vit les péripéties et donc intéresse le lecteur. Tous les problèmes qui arrivent le lecteur ont une cause profonde décrite par l’auteur de façon négative qui fait que comme le lecteur s’est identifié au personnage