Déni Du Handicap

Chapitre 1. Le vocabulaire de l’exclusion Le concept d’inégalité et ses dérivés 1. Des concepts évolutifs, en phase avec l’état de la société (conception à dominante chronologique) Pauvreté – Marginalité – Marginalité revendiquée – Handicap social – Inadaptation sociale – Exclusion – Pauvreté au travail La façon dont on parle de marginalité est fonction de l’état de la société. Les points de vue, les manières de voir les choses traduisent les manières dont on va les analyser. Au XIXème

| SOURCES DE DIFFICULTE DU BESOIN D’ETRE PROPRE, DE SOIGNER ET DE PROTEGER SES TEGUMENTS PHYSIQUES : • pathologiques • Douleurs • Fatigue, faiblesse • Handicap Altérations • Contrainte physique PSYCHOLOGIQUES : • Emotions, anxiété, stress • Troubles de la pensée • Troubles mentaux • Situation de crise SOCIOLOGIQUES : • Pauvreté • Echec au rôle MANQUE DE CONNAISSANCE :

se jouent les ultimes préparations de sa propre mort. Il existe des protocoles médicaux lors de la survenue d'un décès, nous verrons donc si la mort fait aussi l'objet d'un protocole social dans les institutions. On peut en effet se demander si le « déni de la mort »3 ne relève pas plus des institutions que des individus. Enfin nous tenterons de voir en quoi ces réalités participent des constructions du « mourir » chez les personnes âgées hébergées en établissement. La prise en compte de ces différentes

équipe pluridisciplinaire évalue les besoins de compensation de la personne handicapée et son incapacité permanente sur la base de son projet de vie et de références définies par voie réglementaire et propose un plan personnalisé de compensation du handicap (…) ». Le GEVA est défini par le décret no 2008-110 du 6 février 2008 et l’arrêté du 6 février 2008 paru au Journal Officiel du 6 mai 2008. Afin de permettre aux équipes pluridisciplinaires des MDPH d’utiliser au mieux cet outil qui s’impose

débit cardiaque. DEFICIT NUTRITIONNEL Apport nutritionnel inférieur aux besoins métaboliques DEGAGEMENT INEFFICACE DES VOIES RESPIRATOIRES Incapacité de libérer les voies respiratoires des obstructions qui entravent le libre passage de l'air DENI NON CONSTRUCTIF Tentative consciente ou inconsciente de désavouer la connaissance ou la signification d'un évènement afin de réduire l'anxiété ou la peur au détriment de sa santé. DETRESSE SPIRITUELLE Perturbation du principe de vie qui anime

parfois le handicap invisible car on ne le décèle pas nécessairement au premier abord. Pourtant, le traumatisme crânien, souvent issu d’un accident de la voie publique, change profondément la vie des personnes qui en souffrent. Nous reverrons plus loin la nature exacte des troubles liés aux traumatismes crâniens. Ceux-ci peuvent être physiques, cognitifs ou comportementaux. Souvent, ils vont se combiner en fonction des zones du cerveau touchées par l’accident. Cela va former un handicap aux caractéristiques

parole donnée, impuissance, … normes, valeurs,… L’exercice professionnel et la responsabilité (code de la santé publique, textes non codifiés…). Les droits de l’homme, notamment ceux de l’enfant, de la personne âgée, de la personne vivant un handicap. (chartes, textes internationaux et nationaux…). Les droits des patients, notamment en santé mentale et en psychiatrie, obligation de soins, hospitalisation et soins sans consentement, restriction des libertés, régime de protection des personnes

les bagnes, etc. Sous l’influence de la séquestration. Qui ? : Des malades : Un trouble mental (ou maladie mentale) est un trouble psychologique ou comportemental, généralement associé à une détresse subjective ou un handicap, mais qui peut dans certains cas (sociopathie, déni psychotique, etc.) N’entraîner de détresse que dans l’entourage de l’individu atteint d’un trouble mental spécifique. Si les caractérisations du trouble mental varient selon les normes culturelles, le malaise subjectif

Egyptiens, les Grecs, les Romains par des propriétaires terriens, des marchands, des administrateurs des temples, des banquiers et plus près de nous par les commerçants de la fin du Moyen Age et de la Renaissance. Les premiers, bien que parfois handicapés par des mathématiques peu développées (les Egyptiens) et par un système de numération peu adapté à la visualisation des calculs, établissaient ou faisaient établir des comptes déjà assez sophistiqués pour tenir des inventaires d'objets, en termes

organiser une protection accrue des incapables à cause de leur vulnérabilité, les incapacités sont fondées sur la protection que méritent les incapables ou sur la défiance qu’ils inspirent. La vulnérabilité n’est pas nécessairement la faiblesse, ni le handicap, ni la dépendance, ni l’inégalité de droit ou de fait, ni la discrimination. Une personne vulnérable n’est pas non plus, nécessairement hors d’état d’agir par elle-même (arg. C.Civ, art 440 al 1er). Les personnes vulnérables doivent être entendues