Définition Comptabilité Commerciale Marocain

du capital : c- autre formalité : ✓ demande d’autorisation administrative : ✓ déclaration d’existence a l’inspection de travail  B-Travaux Comptables :… ………………………………..23 1-la comptabilité générale (Définition, Historique et Objet) : 2- l’organisation temporelle de la comptabilité en fiduciaire. : a- travaux quotidiens : b- travaux manuel : c- travaux trimestriel : d- travaux annuel : 3- Etude de dossiers de clients : 4- Classement des documents

d’histoire La comptabilité sert pour la mémoire. Elle a été jusqu’à la renaissance en ’partie simple’, elle est passée grâce à Lucas Pacioli en ‘partie double’. Depuis la comptabilité est sortie de la préhistoire. La comptabilité a essentiellement été un moyen de preuve et traduit les rapports juridiques entres diverses parties. Depuis la fin du 19ème siècle jusqu’à la 2ème guerre mondiale, la comptabilité mesurait la taille du patrimoine de l’entreprise. Après la 2ème guerre mondiale, la comptabilité servait

mission était assuré par un secrétaire greffier du tribunal. L’ensemble de ces critiques explique le recours rarissime à ces procédures de faillite et de liquidation judiciaire et qui a fait dire à certains auteurs de la doctrine marocaine, que le droit marocain de la faillite était lui-même en faillite. Dès lors une réforme des procédures collectives s’imposait. Le premier projet de réforme du code de commerce de 1978 déposé en 1988, sans aucun lendemain n’avait pas prévu de réforme majeure

qui ne cesse de s’amplifier. Elle pèse de plus en plus sur la conduite de la politique économique et le comportement des différents acteurs économiques. L’office chérifien des phosphates est considéré comme étant l’un des piliers de l’économie marocaine, il est le 1er exportateur mondial du phosphate brut ainsi que l’acide phosphorique dans le monde. Le Groupe OCP suit avec intérêt ces évolutions et met tout en œuvre pour répondre aux nouvelles exigences de ses clients et également pour répondre

bancaire b. Organisation générale c. Réglementation 2) Risques bancaires :…………………………………………………………….7 a. Les risques financiers b. Les risques de contrepartie c. Les risques opérationnels et techniques d. Les risques commerciaux e. Les risques de gestion interne Partie II : L’audit des risques liés au système bancaire :cas du cycle engagement de crédit 1) Présentation du cycle des engagements de Crédit…………………………….13 a. Prise de connaissance du cycle audité

Période de Stage : Du 06/04/09 Au Dédicace……………………………………………………………3 Remerciement……………………………………………………...4 Généralité sur la banque………………………………………….5 Historique Système Banquière Marocaine………………………6 Historique banque populaire……………………………………..7 L’Organigramme…………………………………………………9 Présentation de la B .P.L………………………………………..10 Taches Effectuées……………………………………………....19 Conclusion………………………………………………………20 Annexe…………………………………………………………

-Organigramme d’entreprise 5 CHAPITRE I : Service comptabilité 6 I - Classement des documents comptables : 6 II -Saisie des factures dans les journaux 7 1. Journal d’achat 7 2. Journal de vente 8 3. Journal banque 8 4. Journal caisse 10 5. Journal des opérations diverses 10 III - Déclaration fiscales 11 1. La taxe sur la valeur ajoutée 11 1.1. Définition 12 1.2. Déclaration de la TVA 12 2. L’impôt sur les sociétés 15 2.1 . Définition 15 2.2 . Les sociétés passibles de l’IS 15

Centrale Populaire, et à la réalisation de ce travail qui m’a énormément motivé. Je tiens aussi à exprimer ma gratitude à Monsieur CHOUAI responsable à la DRH chargé de l’intégration des stagiaires, Monsieur Abdelmajid HASSANE Directeur de la comptabilité CPM, mon encadrant Monsieur Abderrahim MAMOUNI chef du département Gestion de la Fiscalité, surtout pour ses conseils pratiques qui m’ont été d’un grand apport personnel et professionnel, ainsi que Messieurs Abdellatif KINANA, Lhoussine BENBERRI

L·impôt sur le revenu :Cas du Revenu Professionnel   INTRODUCTION Le système fiscal Marocain est marqué par un dynamisme résultant desmutations qui ont affecté les structures économiques et sociales de notre pays. Avant les années 80, le système fiscal se présentait comme un ensemble hétérogène composé d’une mosaïque d’impôts1 . Ce n’est qu’après la mise en place de la loi cadre relative à la réforme fiscale 2  que le royaume se trouve doté d’un système fiscal plus au moins structuré avec l’institution

s'agit donc de montrer l'importance de la fonction contrôle de gestion bancaire dans le cadre de la maîtrise des techniques de mesures de rentabilité. Notre étude s'intéresse au cas d'une agence BMCE BANK qui est l'une des plus grandes banques commerciales marocaine. Il s'agit de souligner ici la nécessité de mettre en places des systèmes dont l'objectif serait de faciliter l'émergence d'idées nouvelles dans l'organisation. Cette étude sera structurée en deux parties : La première partie Met l'accent