Dysarthrie

sensorielle, ataxie transitoire, étourdissements, somnolence, insomnie, céphalées et méningite aseptique. De très rares cas d’encéphalopathie (p. ex., de la confusion) et de syndrome cérébelleux subaigu (notamment caractérisé par de l’ataxie, une dysarthrie, une démarche anormale, un nystagmus et des tremblements) ont été signalés. Ces manifestations peuvent cependant céder à l’arrêt du traitement. On a rapporté des neuropathies périphériques chez quelques sujets soumis à des doses orales modérément

de la parole, lié à une crampe dans la région de l'hypoglosse, se produisant avant m ê m e que le m o i n d r e son ne soit proféré. Dysarthrie : trouble de l'articulation des mots rendant difficile l'émission de sons intelligibles. Conséquence d'une paralysie, d'une atrophie ou d ' u n spasme des muscles de la phonation (langue, lèvres, voile du palais). La dysarthrie est à distinguer de l'aphasie motrice où le trouble est central. Anarthrie : type d'aphasie motrice caractérisée par l'impossibilité

(seulement la jambe ou le visage) ou est associé. Les troubles visuels sont : une cécité d’un seul œil (monoculaire) avec une disparition de la moitié du champ visuel (hémianopsie) ou une vision double (diplopie). Les troubles du langage sont : la dysarthrie (difficulté à articuler) ou de l’aphasie (inversion de syllabe, difficulté à trouver ses mots…) Ces signes s’installent et peuvent rester en tant que séquelles ou ne peuvent rester que quelques minutes. C’est donc un accident ischémique transitoire :

douloureuses sur l’axe rachidien cervical. L’atteinte de la sphère buccofaciale gêne l’alimentation et la déglutition, devenant parfois un handicap majeur, responsable de fausse route trachéale si la technique d’alimentation n’est pas adéquate. La dysarthrie est fréquente, pouvant aller jusqu’à l’impossibilité d’une parole intelligible mais laisser intacte l’évolution du langage intérieur et permettre l’apprentissage de la lecture. Les patients atteints d’athétose peuvent garder des capacités mentales

démarrage (élévation exagérée d'un pied) Le rythme des séances peut être de 1 à 3 fois par semaine avec aménagement de périodes de repos. 2 La rééducation orthophonique Dans la maladie de Parkinson, le langage est atteint avec une dysarthrie, une voix monotone, faible et lente. L'expression faciale est figée, conséquence de l'akinésie. Le but de la rééducation orthophonique est d'améliorer ces signes pour faciliter la communication. 3 Les soins infirmiers La présence infirmière


  la 
  personne 
  comprend 
  réellement 
   •  Un 
  AVC 
  provoque 
  dans 
  certains 
  cas 
  des 
  déficiences 
  comme 
  des 
  troubles 
  de 
   l’élocution 
  (dysarthrie), 
  des 
  troubles 
  du 
  langage 
  (aphasie) 
  et 
  une 
  déficience 
   de 
  la 
  communication 
  cognitive 
  (des 
  problèmes 
  de 
  compréhension 
  et 

peut être erroné, d’un « temps arrêté » pour la personne soignée, d’une succession de journées sans but et sans « en-vie. »Ce sentiment est accentué pour les personnes souffrant de handicaps tels que la surdité, la désorientation, l’aphasie ou la dysarthrie qui rendent plus difficile la communication et, par conséquent, plus envisageable la potentialité d’un repli sur soi. 1.3.3 Le soignant en gériatrie En 2005, près de 348 000 personnes étaient employées dans l’ensemble des établissements

peut être erroné, d’un « temps arrêté » pour la personne soignée, d’une succession de journées sans but et sans « en-vie. » Ce sentiment est accentué pour les personnes souffrant de handicaps tels que la surdité, la désorientation, l’aphasie ou la dysarthrie qui rendent plus difficile la communication et, par conséquent, plus envisageable la potentialité d’un repli sur soi. 1.3.3 Le soignant en gériatrie En 2005, près de 348 000 personnes étaient employées dans l’ensemble des établissements

confuso-onirique avec une grande agitation. Le sujet est désorienté et en proie d’un onirisme. Des hallucinations visuelles s’organisent en scénario terrifiant ou scènes de vie professionnelle. Un syndrome neurologique : tremblement intense, avec dysarthrie, incoordination motrice et une maladresse des gestes. Des signes généraux sont présents et reflètent la gravité de l’accès, tels que : fièvre constante modérée, tachycardie, déshydratation, sueurs abondantes. Attitude du personnel - Mettre

L’infection est fonction de la quantité de toxines ingérées. Les manifestions se localisent au niveau : ophtalmique avec une paralysie de l’accommodation, une presbytie aiguë, une mydriase un ptôsis ; neurologique, on note une diplopie, une dysarthrie, une dysphonie et une dysphagie ; digestif avec une crampe, une douleur abdominale, des nausées, des vomissements et des diarrhées. 6.4.5.- Diagnostic : Le diagnostic clinique repose sur le scanner cérébral, la ponction lombaire avec examen