Dysarthrie

mobilité articulaire Entretenir la motricité fine Stimuler les sens, le contact, le toucher, Stimuler la mémoire (y compris la mémoire affective) Aider à la concentration Favoriser l’interaction verbale et/ou non verbale au sein du groupe Améliorer la dysarthrie Respecter les règles sociales Renforcer les fonctions de socialisation (acquérir ou reconquérir des compétences) • • • • • • • Améliorer la communication entre le patient et son environnement Se réapproprier la communication, augmenter les

Problèmes prioritaires à ce jour : A ce jour, nous relevons comme problème prioritaire la maladie de Parkinson de Mme X se manifestant par une communication verbale altérée reliée à la dysarthrie consécutive à l’ataxie des muscles de la phonation et de l’élocution, et une mobilité physique réduite reliée aux effets des tremblements et de la lenteur des mouvements sur les activités de la vie quotidienne. Elle présente

du comportement, de l'euphorie (hypomanie, dépression). • Délire de grandeur à type de mégalomanie[11]. • Troubles de l'intellect (perturbations primitives de la cognition) dont l'évolution se fait vers la démence. Troubles moteurs : • dysarthrie[12]  • des tremblements essentiellement des mains, des lèvres, de la bouche et en particulier de la langue puis des tremblements généralisés. • paresthésies passagères. • parfois de crises d'épilepsie et à une démarche anormalement

que le képi rouge et bleu est abandonné au profit d’un casque. 4. Les conditions de vie des poilus dans les tranchées : a. La vie dans les tranchées était rude et les poilus souffraient physiquement et moralement : • Les maladies : La dysarthrie et la grippe espagnole faisaient des ravages dans les tranchées • Des gènes permanentes : L’hygiène dans les tranchées étaient négligées, les rats, les poux, la pluie et la boue et les cadavres en décomposition dégageaient des odeurs pestilentielles

ischémique: obstruction artérielle 80% des cas -AVC hémorragique: saignement artériel 20% des cas Symptômes -hémiplégie (paralysie des membres supérieur et inférieur d'un même côté) -troubles de la sensibilité -troubles du langage: aphasie, dysarthrie -trouble de la déglutition -trouble de la vision -troubles de l'équilibre -troubles des sphincters -trouble des fonctions supérieur (désorientation, confusion, trouble de la mémoire) -trouble de conscience -maux de tête -crise d'épilepsie

HYPOTONIE MUSCULAIRE TROUBLES MENTAUX ET DU COMPORTEMENT AGITATION AGRESSIVITE AMNESIE ANXIETE ATAXIE CAUCHEMAR CEPHALEE CONFUSION MENTALE CONSCIENCE TROUBLE CONVULSION CRAMPE MUSCULAIRE DELIRE DEPENDANCE DEPRESSION DYSARTHRIE / PAROLE DIFFICULTE EUPHORIE FAIBLESSE MUSCULAIRE HALLUCINATION HYPERACOUSIE INSOMNIE IRRITABILITE LEVEE DE L'INHIBITION PSYCHOMOTRICE LIBIDO TROUBLE MYALGIE NERVOSITE PARESTHESIE PERSONNALITE TROUBLE PHOTOPHOBIE PSYCHOSE

rigidité se majore avec la fatigue, l’émotion et l’anxiété. En début de maladie, l’hypertonie affecte préférentiellement la musculature axiale et les membres. Elle peut ensuite s’étendre aux muscles buccopharyngés, entrainant une dysphonie, une dysarthrie ou une dysphagie. 6) Symptomatologie psychomotrice. A. Les troubles de l’équilibre Les troubles de l’équilibre sont importants dans la maladie de Parkinson et s’expriment sous la forme d’une instabilité posturale, de troubles de

(trouble de la coordination), dysphagie. -Troubles sensoriels : paresthésie, hémiparésie. -Troubles visuels : hémianopsie latérale homonyme (perte d'une moitié du champ visuel homonyme), diplopie (vision double). -Troubles du langage : aphasie, dysarthrie (trouble de l'articulation de la parole). -Troubles cognitifs : perte de mémoire, baisse du champ d’attention de la capacité de concentration, et de l’acuité mentale. -Troubles émotionnels : perte de la maîtrise de soi, dépression, peur, repli

prédispositions héréditaires et des facteurs liés à l'environnement rural (pesticides) | - micrographie (écriture en patte de mouche) - syndrome extrapyramidal : tremblement au repos, akinésie, hypertonie musculaire - exagération des réflexes - dysarthrie - visage figé inexpressif | - Lévodopa - kinésithérapie - traitement chirurgical | Maladie d'Alzheimer : affection neurologique chronique et dégénérative, d'évolution progressive caractérisée par une altération cérébrale progressive aboutissant

dosages indiqués ci-dessous le sont à titre d’information, ce dosage étant ajusté selon chaque personne par un médecin. Les principaux effets secondaires: L’Anafranil® présente des effets secondaires très fréquents tels: sueurs, tremblements, dysarthrie, troubles visuels, sécheresse de la bouche, vertiges, prise de poids, incapacité à atteindre l’orgasme etc... Les effets secondaires nécessitent souvent l’emploi de correcteurs. Pour ce qui est des autres antidépresseurs ci dessous mentionnés, qui