Dracon

avait tous les pouvoirs, à partir du VIIIe siècle on a vu qu’il apparait de grands magistrats exerçant certaines foncions chacun = division de la souveraineté, du pouvoir. Les magistrats : l’organisation de l’ancienne constitution, antérieure à DRACON, était la suivante : on prenait les magistrats dans les familles nobles et riches. Leur pouvoir leur était à l’origine conféré à vie et plus tard à 10 ans. Les plus importants et les plus anciens magistrats étaient le roi, le polémarque et l’archonte

solder les dettes de toute nature. La monnaie grecque a un caractère légal et juridique. Les indemnités accordées par les juges peuvent se faire en monnaie, une nouveauté pleine d’intérêt qui limite les pensions en nature et les cessions de terre. Dracon fixait précédemment les amendes en « têtes de bétail », un système fort peu pratique. La monnaie est l’enfant des libertés publiques, et se voit garantie par les autorités. Dostoïevski dira « la monnaie est de la liberté frappée ». Elle est aussi

sûr il y a eu des règles bien avant l’apogée des philosophes grecs. Il y a deux types de règles : celle de la nature ou celle des ordres. Lycurgue, à Sparte, aurait donné sa constitution. Et puis un certain nombre d’autres législateurs à Athènes (Dracon, Solon, Clisthène…) Celui qui donne la constitution fait apparaître un ordre. Mais les philosophes au Vème siècle distinguent les règles. Nomos qui va donner normes est au départ une règle au sens physique du terme : exactement comme l’instrument

permis de grandes réformes constitutionnelles : crise sociale qui a été conclu par un régime tyrannique. Ces crises opposaient l’aristocratie et la bourgeoisie naissante. Les tyrans ont accédé au pouvoir grâce à un coup de force : Lycurge pour Sparte, Dracon (621 avant JC), Solon (594-591 avant JC) et Clisthèn (507 avant JC) pour Athènes. A l’origine du concept de « nomos » : mise en forme d’un ordre supérieur qui doit permettre la répartition pour chacun de ses droits et de ses devoirs. Elles représentent

l’avènement de la démocratie. Le premier réformateur était Dracon, c’est aussi un législateur. A cette époque, les juges étaient des magistrats qui utilisaient leurs sentiments du droit, des lois qui n’étaient pas connues par le peuple, pas publiées. Le peuple ne connaissait pas les conséquences de ces actes, il ne connaissait pas la peine qu’il avait ni vérifier la sentence du juge et ni contester une sentence de décisions judiciaire. Dracon a publié un recueil de lois et a permis au peuple de connaître

droit que les patriciens ont à Rome comme les Eupatrides l'avaient à Athènes encore au -7ème siècle. Il y a eu une réforme à Athènes qui avait été assuré par un législateur, Dracon et avait été le 1er à publier une partie du droit coutumier, ce droit quittait sa nature coutumière pour avoir le statut de loi. Les lois de Dracon étaient pour le peuple une grande victoire, pour la 1ère fois à Athènes, le droit était connu de tous et était de plus le maître pour tous. Sur les Eupatrides, les athéniens

sociale qui a été conclu par un régime tyrannique. Ces crises opposaient l’aristocratie et la bourgeoisie naissante. Remarque : tyrannie ne veut pas dire despotisme. Les tyrans ont accédé au pouvoir grâce à un coup de force : Lycurge pour Sparte, Dracon (621 avant JC), Solon (594-591 avant JC) et Clisthèn (507 avant JC) pour Athènes. A l’origine du concept de « nomos » : mise en forme d’un ordre supérieur qui doit permettre la répartition pour chacun de ses droits et de ses devoirs. Elles représentent

des stratèges et des gouvernants. Le mot vient du grec : dêmos ; δήμος (qui désigne le peuple, i.e l'ensemble des citoyens riches et pauvres), et arkein, άρχειν commander. On en décèle les prémices dans l'introduction par le légiste célèbre, Dracon, d'un code pénal équitable en 621 avant notre ère. La Grèce archaïque dites des Ages sombres était dépourvue de lois précises. Chaque clan ou Génos ( Γενος ) possédait plus ou moins sa propre manière de régler ses comptes sans en référer à une

solder les dettes de toute nature. La monnaie grecque a un caractère légal et juridique. Les indemnités accordées par les juges peuvent se faire en monnaie, une nouveauté pleine d’intérêt qui limite les pensions en nature et les cessions de terre. Dracon fixait précédemment les amendes en « têtes de bétail », un système fort peu pratique. La monnaie est l’enfant des libertés publiques, et se voit garantie par les autorités. Dostoïevski dira « la monnaie est de la liberté frappée ». Elle est aussi

pause : Rhéteurs, quel mot divin faites-vous épeler ? Dites, qu'enseignez-vous ? que venez-vous parler D'idéal, de réel, et nous rompre la tête ? Votre réel à vous, c'est la chimère bête, Ou c'est la loi féroce et dure ; ici Baal, Là Dracon ; et l'erreur partout. Votre idéal C'est quelque faux chef-d'oeuvre ou quelque vertu fausse, C'est un roi qu'en rampant la flatterie exhausse, Ou c'est un livre pâle ayant pour qualité De s'ouvrir sans blesser les yeux de sa clarté ; Honneur