Donner Un Sens A Sa Vie

De l’étrangeté à l’absurde *** L’étranger ? L’étranger, c’est Meursault, présent à chaque ligne du roman dont il prend en charge la narration mais étonnamment absent à tout ce qui l’entoure, indifférent au monde. De cette distance par rapport aux êtres et aux choses (hormis le monde naturel/Meursault sensible) naît le caractère étrange du héros, déstabilisateur pour le lecteur (voir 1ère partie, incipit, passage de la morgue, journée du dimanche, passage sur le mariage avec Marie…)

Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? La question posé ici induit une double réponse, en effet, il faut se demander si nos sens ( à savoir l'ouïe, la vue, le toucher, le goût, l'odorat) sont suffisants à nous donner toutes nos connaissances (par pur passivité), de la plus primaire à la plus développé. Nous devons alors nous demander si d'autres facteurs – tel que la raison ou l’entendement – ne rentre pas en compte dans l'acquisition de nos connaissances

besoins. Le lien social est encore ce qui permet à l’homme de pouvoir se situer et s’individualiser au sein de la société. En ce sens, il semble que les liens sociaux dépassent largement les liens économiques comme on pourrait le voir dans le cas de l’amitié. Dès lors parler de lien social comme un lien économique ce serait réduire de lien social à une question de profits ou d’avantages. L’expression d’insociable sociabilité prendrait alors tout son sens. Les hommes ne se regrouperaient que pour satisfaire

explicitement exprimé. Mais à travers le personnage de Meursault, plus com- plexe qu’il n’y paraît, Albert Camus nous présente sa conception du monde en 1942. L ’auteur lui-même a insisté sur cet aspect dans la préface à la première édition américaine du romant : « J’ai résumé l’Étranger , il y a très longtemps, par une phrase dont je reconnais qu’elle est très paradoxale : dans notre société, tout homme qui ne pleure pas à l’enterrement de sa mère risque d’être condamné à mort. Je voulais dire

La vue que l’on porte sur un être , joue-t-elle sur nos sentiments ? Une question peut être un doute mais un doute même engendre bien plus. Rappelez vous , cette jeunesses innocente. Etant petite la vie semblait d’une telle simplicité … Jamais on ne se serai douté que la brutalité si puissante d’un seul mauvais choix pouvais tout faire basculer. Nous étions jeunes et inconscient , nous devenons mature et consentant. Je me souvient encore de la première fois , cette sensation … J’aurai tout

LE COMPORTEMENT Comportement : c'est la réponse donnée, par un individu, à une situation donnée. Il va dépendre de tout un ensemble d'éléments qui sont : - la culture - l'attitude - l'appartenance à un groupe - la personnalité - le style de vie - l'estime de soi Psychologie sociale : le fait de comprendre le comportement de l'individu pour pouvoir expliquer les achats, les marques préférées… Le groupe : c'est un ensemble d'au mois deux personnes, qui ont un but commun. Il doit y avoir :

perspective de Husserl, nous pensons que la phénoménologie peut bien s’occuper d’appréhender le religieux en vue de donner sens à notre existence. Et pour accéder au religieux phénoménologique inscrit dans une longue histoire des traditions religieuses, il doit être interprété dans chaque communauté pour lui donner vie, d’où la pertinence d’une approche herméneutique du religieux. Ainsi, c’est à partir de la phénoménologie herméneutique que nous pouvons mieux appréhender le religieux dans notre contexte

de la part du lecteur. En effet, elle permet d'inciter le lecteur à se pencher sur une question bien précise, de lui délivrer un message à travers un récit plaisant. Elle incite le lecteur à allez chercher plus loin que l'histoire en elle-même, à creuser afin de découvrir un autre sens à travers les mots. On retrouve ce moyen principalement dans les fables et les contes. Charles Perrault transmet à travers ses contes des leçons de vie. Avec chaque histoire possédant sa propre morale, il ne raconte

philosophe, dramaturge, romancier et journaliste politique français du 20ème sicèle qui fut une personnalité majeure de la vie intellectuelle française de la seconde moitié du XXe siècle et la figure de proue de l'existentialisme. L’existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui postule que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions, en opposition à la thèse que ces dernières lui sont prédéterminées par quelconques doctrines théologiques, philosophiques ou morales.

« existence » vient du latin qui signifie « sortir de », « s’élever de ». On peut dire que l’homme est un être qui se rapporte à des fins, des objectifs, des buts. Il est lié à des projets.  Ainsi, qu’est ce qui différencie précisément, le fait de vivre et d’exister ? Il est possible d’exister juste en satisfaisant ses besoins biologiques. L’homme est une être mortel qui est soumis à ses besoins naturels, il ne peut vivre s’il ne se nourrit pas. Il est dans la nature de l’homme de se conserver pour exister