Don Quichotte

florissante époque dans ce pays. Il se compose d'un récit sur le mode autobiographique de l’histoire de héros miséreux, généralement des jeunes gens vivant en marge de la société et à ses dépens. L’oeuvre la plus célèbre de ce mouvement littéraire est Don Quichotte, traduit en français en 1614), comme La Vraie Histoire comique de Francion de Charles Sorel qui parut en 1623, période où règne encore une grande liberté de parole ; mais en quelques mois, tout change : Théophile de Viau est jeté en prison, les

Il croit donc à l’existence de plusieurs personnages. D’autre part, s’il s’agit d’un récit d’action ou d’aventure, le lecteur peut être captivé par des héros très proches, qui peuvent faire office d’un duo : Laurel et Hardy, Don Quichotte et Sancho Panza dans Don Quichotte de la manche… La croyance du lecteur dépend aussi, de la description qu’en fait l’auteur. Par exemple, dans l’extrait de Stendhal du roman La chartreuse de Parme, le personnage médiocre auquel le lecteur croyait, se trouve dans

piacere subentra il benessere dell’umanità (delirio di onnipotenza) (la loro legge del cuore= allargare cuore per amare tutta l’umanità). Terzo momento: vi è la necessità di una sintesi che superi l’opposizione dei due momenti: virtù astratta (don quichotte e Robespierre) Individualità che è reale in sé per sé: individualità ha raggiunto la propria realizzazione ma rimane astratta e inadeguata • il regno animale dello spirito: l’individuo segue i propri interessi credendo di seguire il dovere morale

leur vie, leurs sentiments, leurs aspirations. D’autre part des œuvres mettent en scène des personnages admirables ou pittoresques, alors que l’auteur a pu s’avérer en opposition avec leur personnage. F En l’occurrence le personnage de Don Quijote (Don Quichotte) est peut-être le contrepoint de la personnalité de son auteur. . F Certains auteurs, à propos de leurs écrits peuvent sembler inacceptables, (Sade). F Un auteur évolue sur tout le registre de notre imaginaire, il nous peint aussi

impartialité dans le récit, ouvrant la voie au roman moderne fait de critique et d’échec[réf. souhaitée]. Madame Bovary a été profondément influencé par Don Quichote, de Cervantes. Flaubert, pendant qu'il écrivait le roman, s'exclama : « Je retrouve toutes mes origines dans le livre que je savais par cœur avant de savoir lire, Don Quichotte ». Alonso Quijano et Emma Bovary désirent ardemment imposer les conventions du roman de chevalerie et des œuvres romantiques, respectivement, à la vie, ce qui

ses définitions changent et se renouvellent. De fait, comme le signale Pierre Chartier[4], au 14e siècle, le roman symbolise la littérature courtoise. Au 15e siècle, il désigne des romans de chevalerie en prose. Cependant, au 17e siècle avec le Don Quichotte de la manche de Cervantès, le roman prend son sens moderne en créant une véritable rupture avec la littérature médiévale. Les définitions qu’on en donne, aujourd’hui, sont encore variées et discutables. Certains le qualifient d’ailleurs d’« anti-genre[5]

du célèbre livre « Thérèse Raquin » écrit par le très controversé Emile Zola. C’est un livre parlant du malheur qui est arrivé à deux amants qui ne supportait plus de vivre ensemble, le remord les rongeant et n’ayant pour seule solution que de se donner la mort. Même si chaque lecteur n’est pas rongé par le remord, dans cette situation il peut s’assimiler à Thérèse qui ne supporte plus sa vie, et qui tombe éperdument amoureuse de son amant. Ce sont ces genres de romans qui plaisent et qui démontrent

ronde). Le roman ne renvoie à des textes en prose qu’à partir du XIVe siècle. Mais il a déjà son sens moderne, tel que le définit Le petit Robert : « œuvre d’imagination en prose, assez longue, qui présente et fait vivre dans un milieu des personnages donnés comme réels, nous fait connaître leur psychologie, leur destin, leurs aventures. » Le personnage est un être de papier qui donne l’illusion au lecteur de faire partie du monde réel. Le mot vient du latin « per-sonare » qui signifie « résonne à travers

de Jésus, n'est pas retenue puisqu'il n'a pas d'influence sur l'américanisation de Jean Rivard. Par contre les trois autres, Aventures de Don Quichotte de la Manche, Histoire populaire de Napoléon et Robinson Crusoé, sont d'une très grande utilité pour cette dissertation. Ces personnages sont comme les double de Jean Rivard. Le premier personnage, Don Quichotte, est un rêveur qui a marlgré tout les pieds sur terre. Il est imperturbable. Le deuxième personnage, Napoléon III, lui ressemble plus au niveau

technique du romancier de s’interdire toute intervention personnelle, une distanciation vis-à-vis de ses personnages. II. LE ROMANESQUE D’EMMA  Le romanesque de Madame Bovary apparaît intimement lié à son personnage principal, Emma, qui, tel Don Quichotte de l’écrivain espagnol du Siècle d’Or Cervantès, ayant lu des romans de chevalerie remplis d’exploits, se lance à travers le monde pour en accomplir de semblables et croit dans son cas que les romances qu’elle a lues au couvent sont la vraie