Dom Juan Libre Penseur

scène 2 (entière) Introduction : Don Juan est un mythe littéraire dont l’origine remonte au 17e siècle. Un prêtre espagnol, Tirso de Molina, écrit en 1630 une pièce édifiante (qui est exemplaire, qui porte à la vertu, à la pitié) dans laquelle un aristocrate (noble) profite de l’impunité (fait de ne pas risquer de punition) accordée à son rang pour séduire des femmes et les abandonner. Cet homme sera puni par le ciel. Dans sa version Dom Juan, écrite en 1665, Molière partisan du mouvement

Lorsqu’un esclave commettait un délit, il était fouetté et lorsqu’il récidivait, il était condamné à mort. Lorsqu’un enfant naissait dans une plantation et qu’il était issu de parents esclaves, il pouvait être libre si le père était esclave et la mère était libre, mais lorsque le père était libre et la mère était esclave, l’enfant devenait automatiquement esclave. Un affranchi était un légataire universel par leur maître de leur testament ou le tuteur de leur enfant. Alexis de Tocqueville était contre

l'autorité religieuse et leur indépendance à l'égard de la foi. Le mot « libertin » désigne donc avant tout un esprit de « libre pensée », même si pour quelques écrivains, à la conduite parfois très libre / libérée, on peut lui donner le sens actuel. Les libertins : Face au durcissement de l'Église envers la Réforme (Contre réforme), et l'humanisme, un courant de libre pensée se maintient malgré les persécutions : Giordano Bruno brûlé vif à Rome en 1600, Vanini supplicié à Toulouse en 1619

entières déportées, enfants d'abord, la fonction temporaire de travailleurs esclaves de quelques-uns d'entre eux n'étant que secondaire. Zone libre/zone occupée. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'armistice signé le 22 juin 1940 entre l'Allemagne et la France vaincue prévoit la division du territoire français en zone libre et zone occupée. La zone libre est le nom donné à la partie de la France non-occupée par les allemands. Elle est placée sous l'autorité du Régime de Vichy (collaboration économique

 Pour véhiculer leurs idées, la plupart des philosophes ou des grands penseurs ont pratiqué différents genres littéraires, souvent au gré de leur sensibilité ou du public qu’ils cherchaient à toucher. Certains auteurs, comme Voltaire ou Diderot, se sont plu à composer des contes philosophiques pour enchanter un public féminin fréquentant les salons et avide d’histoires croustillantes. D’autres ont préféré des ouvrages plus directs, souvent par souci de rigueur et de concision. La Fontaine

LES RAPPORTS DE « EL BURLADOR DE SEVILLA » DANS « DOM JUAN » DE MOLIÈRE EDUARDO GARCÍA ÉTUDIANT ERASMUS COURS : LITTÉRATURE FRANÇAIS DU XVIIe SIÈCLE PROFESSEUR : M. RIOU C’est inévitable ne pouvoir pas comparer Le Dom Juan de Molière et le L’Abuseur de Séville. Dans toutes les références littéraires on peut voir le grand rapport entre les deux œuvres. Don Juan est né en Espagne. C’est là une vérité élémentaire qu’il convient de rappeler à bien des Français pour lesquels ce personnage, qui

(libres penseurs) se détachent de la religion officielle, le christianisme, raillent les pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de la pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Ce courant assure ainsi la transition entre l’humanisme de la Renaissance et la philosophie du siècle suivant, celui des Lumières. Cyrano de Bergerac, disciple de Pierre Gassendi, est le représentant le plus éminent de la pensée libertine. Le personnage de Don Juan, dans l’œuvre

de Gassendi, penseur du XVIIème siècle. Les libertins (libres penseurs) se détachent de la religion officielle, le christianisme, se moquent des pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de la pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Il assure la transition entre l’humanisme de la Renaissance et la philosophie du siècle suivant, celui des Lumières. Cyrano de Bergerac est le représentant le plus éminent de la pensée libertine. Dom Juan, héro tiré de

première représentation, Dom Juan provoque le scandale. Quelques semaines après sa création, la pièce est retirée de l’affiche. Elle ne sera re-jouée dans sa version intégrale que deux siècles plus tard. En mettant en scène un libertin qui défie les hommes, la société et la morale, un éternel séducteur qui raille la religion et refuse les bornes imposées à son désir, Molière crée une comédie ambiguë, à la profondeur étonnante. ISBN 978-2-7011-5157-1 160 pages - 3 € le ir Dom Juan Molière Édition

Dom Juan, tirade de Sganarelle, Acte I, scène 1 Portrait du Maître par son valet, de "Je n'ai pas grand peine à..." à "que tu aurais menti." En quoi cette tirade complète-t-elle la scène d'exposition ? Tirade de la fin de la scène d'expo. 2 persos sur scène : Sga et Gusman, valet d'Elvire. Par ses questions, Gusman pousse Sga a faire une longue tirade. Ds une scène d'expo, l'auteur présente au spectateur ts les éléments pour comprendre la suite de la pièce (lieu, persos, act°) I - Le portrait