Dom Juan Homme Révolté

comme un mal necessaire. Les riches les payaient pour animer leurs soirées mais ils les méprisaient, surtout l’Eglise qui les accusaient de se glisser dans la peau des personnages qu’ils n’etaient pas et de célébrer des passions mauvaises ( Exemple : Révolte d’une fille contre son pére … ) Le public Les spectateurs se tenaient dans des parterre face à la scene et participaient au spectacle. Les riches specateurs se tenaient aux galeries et aux loges et dominaient les acteurs. Lorsque la troupe

pièce. Tout d’abord, afin de tout de suite donné le ton, il ajoute la scène d’exposition. Ce qui lui permet d’introduire ses personnages et de laisser entrevoir leur personnalité, le duc apparaît directement comme un gougeât, et Lorenzo comme un jeune homme immoral. Par la suite, les longs monologues de Lorenzo, comme celui de l’acte 3 scène 3, lui permette de montrer le vrai visage de son personnage et de faire tomber le voile. Lorenzo devient alors un personnage pleins de remords et de souffrances (‘‘Songes-tu

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

COMMENTAIRE DOM JUAN Acte 3 scène 1 MOLIERE En quoi ce passage relève du comique et peut-on parler de dialogue argumentatif ?  Dialogue entre le valet et son maître mais où la situation est inversée : Sg cherche à savoir si DJ croit en Dieu | I/Un valet ridicule (en quoi ce passage apparaît-il comique ?) a) Parce qu'il se prend au sérieux Importance de la mise en scène : Sg se sent fort parce qu'il est habillé en médecin + liberté de parole permise par la relation maître/valet particulière

« des bruits d'armes », « j'ai peur » et, aussitôt, le dégoût que cela lui inspire : « Quel dégoût, après avoir méprisé les autres, de se sentir la même lâcheté dans l'âme. » C'est l'humain qui se révèle avec toutes ses faiblesses, il n'est qu'un homme parmi les autres. Suit ensuite un abandon plus facile à la mort qui l'attend puisqu'elle mettra fin à tout : « Mais cela ne fait rien. La peur non plus ne dure pas. Je vais retrouver ce grand vide où le cœur s'apaise. » On peut relever la périphrase

« grand homme »v583 et il se considère même comme « son disciple » v579. Il a un avis positif sur lui et il prend même sa défense à la fin de la scène avec « n'outragez plus les morts »v586. 3) L’héroïsme de Nicomède Nicomède incarne le héro cornélien. Le héros cornélien est fier, droit, héroïque et conscient de sa valeur. Son orgueil, fondé sur le sentiment de sa supériorité aristocratique, le mène à donner sa grandeur en spectacle. Contrairement au héros romantique, marginal et révolté, celui

18:41:07 UTC������������� All use subject to https://about.jstor.org/terms lointaines ou archaïques échappent en grande partie à nos prises. Ce qui importe, c'est qu'un petit nombre de scénarios littéraires parfaitement connus (Antigone, Tristan, don Juan...) aient été mis en rapport avec le type spécifique de récits religieux que l'on a si longtemps appelé « mythes ». De là l'orientation proposée ici à la réflexion. Pour tenter de délimiter le « mythe littéraire », il faut commencer par rappeler

(nouvelle) - les nouvelles (et romans) de D. Buzzati (Le désert des Tartares) et d’I. Calvino - Chronique d’une mort annoncée, ou L’amour au temps du choléra, G Garcia Marquez - Mèmed le Mince, Y. Kemal (roman turc épique relatant le destin d’un paysan révolté contre un tyran local; style dépouillé et frappant) - Bahia de tous les saints/ Mar morto, J. Amado ( brésilien; tout autre roman) - Le Parfum, P. Süskind (sous-titré « Histoire d’un meurtrier ») - Soie, A. Barricco - Beloved, Toni Morrison (une

il naît. Ce n’est pas parce qu’il y a coup de foudre que l’amour est possible. C’est pour rendre vraisemblable la suite. L’amour ne peut commencer par elle. Julien va alors élaborer un « plan de séduction » qui va l’obliger à jouer le rôle d’un dom juan. Donc au début, ça relève d’un devoir, d’un défi qu’il se lance à lui-même, mais il va évidemment être pris à son propre piège. Ce qui va déclencher la machine, c’est la beauté de Mme de Rênal le jour où il va réellement en prendre conscience. Ce

ces mythes suivent le fonctionnement d'un récit qui avec l'intervention de merveilleux doit être décrypté pour trouver une morale cachée. II. ABEL & CAIN Abel et Cain sont les deux premiers enfants d'Adam et Eve ; Cain est d'ailleurs le premier homme qui nous ressemble, qui est comme nous, il est le produit de la première naissance biologique. Cependant, c'est un criminel, il a une sorte d'insoumission à Dieu contrairement à son frère Abel. Abel et Caïn naissent donc de l'union d'Adam et Eve. Un