Dom Juan Et Le Dénouement Surnaturel

fantastique Il est défini par Tsvetan Todorov comme "l’intrusion de l’irréel dans la vie réelle". Le lecteur hésite entre une explication irrationnelle et une explication rationnelle. On peut le reconnaître par : • Les différents champs lexicaux du surnaturel, de la mort, de la peur, de la folie, les verbes de perception, de sensation. • La narration à la 1ère personne et le choix de la focalisation interne : ce qui permet au narrateur de faire partager au lecteur ses doutes. • Les modalisateurs liés

libertinage. * Le libertinage : Dom Juan (un libertin). Pascal réunit, prend des notes mais ne termine pas car il meurt. Sa belle sœur et son père les éditent quand même  « Les pensées ». Thème de ce texte : La place de l’homme dans l’univers. PASCAL s’adresse à un libertin.  Libertinage = philosophie que refuse l’obéissance à toutes institutions.  Ex de libertin : Dom Juan. Au 17e siècle, le libertinage

6). Étude de l’œuvre Structure L’Illusion comique s’appuie sur le motif du théâtre dans le théâtre et multiplie les niveaux de représentation : • le premier niveau est celui de la pièce complète avec son lot d’inquiétudes, de nœuds et de dénouements. • le deuxième est celui de la scène entre Alcandre et Pridamant, à la fois personnages et spectateurs de ce qui se déroule devant eux. • le troisième est celui des jeunes gens, Clindor et Isabelle, et de leurs aventures. • le quatrième est celui

 cœur  simple  in  «  Trois  contes  »   Ruy  Blas   Le  Jeu  de  l'amour  et  du  hasard   Une  vie   Les  Fourberies  de  Scapin   Le  Malade  imaginaire   Le  Tartuffe  ou  l'Imposteur   Dom  Juan  ou  le  festin  de  Pierre   Phèdre   La  Curée   1833   1843   1778   1775   1605-­‐1615   1655   1765-­‐1784   1877   1838   1730   1883   1671   1673   1667   1682   1677   1871    

descriptive, argumentative) ; - s'inscrire dans le même registre (tragique, comique, ironique, etc.) ; - avoir la même visée (faire l'éloge, dénoncer, blâmer, etc.) ; - se situer à une place identique dans l'œuvre (scènes d'exposition, scènes de dénouement, débuts de roman, etc.). Comparer des stratégies argumentatives • Formulez brièvement le thème et la thèse ("L'auteur veut montrer que…") de chaque document. • Faites le plan des différents circuits argumentatifs, sur plusieurs colonnes

[modifier] 1 Structure [modifier] L’Illusion comique s’appuie sur le motif du théâtre dans le théâtre et multiplie les niveaux de représentation : le premier niveau est celui de la pièce complète avec son lot d’inquiétudes, de nœuds et de dénouements. le deuxième est celui de la scène entre Alcandre et Pridamant, à la fois personnages et spectateurs de ce qui se déroule devant eux. le troisième est celui des jeunes gens, Clindor et Isabelle, et de leurs aventures. le quatrième est celui de

départ réaliste, des éléments surnaturels font irruption et que le lecteur ainsi que souvent le personnage hésite entre 2 types d'interprétation : -Une interprétation irrationnelle qui consiste à penser que ces événements surnaturels ont bien eut lieu et , -Une interprétation rationnelle qui consiste à penser que le personnage rêve ou qu'il décline sous l'effet de l'alcool, de la fièvre... Nous sommes dans un comte fantaisiste, ce qui favorise le fait que le dénouement → ≠ réaliste, en outre nous

rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode

obéir comme un vassal à son seigneur. ... à vous d’éclairer ce qu’est le Graal selon Chrétien de Troyes... (p. 76) 1. La scène du cortège Tout contribue, dans ce récit, à créer une forte impression de mystère : en premier lieu les éléments surnaturels (la lance qui saigne, la clarté qui émane du graal), mais aussi la précision du rituel, le silence qui l’enveloppe (nulle parole n’est rapportée et la description est exclusivement visuelle), la beauté exceptionnelle des officiants, la richesse

tragédie ; la question de la prédestination, du Fatum. Toutes deux proposent beaucoup de valeurs morales aidant à conduire l’existence, bcp de croyances religieuses. Juxtaposition continuelle de 2 types de causes, matérielles ou humaines contre surnaturelles. La mentalité grecque est convaincue que la raison humaine a ses limites. Valeur essentielle : recherche de la gloire qui est l’éloignement de la condition mortelle. Postérité = immortalité. On préfère une vie courte mais glorieuse à une vie