Dom Juan Denonciation

Cathos. [pic] Nous verrons dans ce chapitre que Molière critique la préciosité sur quatre points : le snobisme, l'expression d'une pruderie déplacée, la manifestation d'un certain orgueil et mépris et l'affectation du langage. 1. La dénonciation du snobisme Le mot snob désigne une personne à la mode, qui cherche à être assimilée aux gens de la haute société en faisant étalage de manières et de goût. C'est un mot qui n'a été crée qu'au XIX siècle, mais qui qualifie bien le comportement

très simple, les acteurs devaient rivaliser d’ingéniosité afin de transmettre le rire à tous. L’exagération est très visible dans les pièces de Molière où les défauts des acteurs étaient accentués comme dans L’avare, Le bourgeois gentilhomme ou Dom Juan, mais il n’y a pas seulement avec les vrais acteurs que le théâtre burlesque peut se manifester, il y a aussi les marionnettes, plébiscités généralement par les enfants (Guignol), les marionnettistes doivent exagérer les mouvements et les voix des

millions d'esclaves adultes auxquels s'ajoutent 250 à 300 millions d'enfants de 5 à 14 ans. Il parait que la situation s’améliore cependant au cours des années : dans un rapport du Bureau International du Travail (BIT) de 2006, le directeur général Juan Somavia souligne que « la fin du travail des enfants est à notre portée ». Le rapport indique que le nombre effectif d’enfants qui travaillent dans le monde –la plupart dans des conditions proches de l’esclavage- a chuté de 11% entre 2000 et 2004,

Craig dans DAT). Edition œuvres complètes de Shakespeare est posthume : entreprise de ses comédiens pour résister aux éditions piratées. (Même phénomène pour Molière, meurt en 1673, publication œuvres complètes en 1682 => prb d’édition posés par Dom Juan). En général, et c’est aussi le cas pour Hamlet, plusieurs sources pour une même pièce. Pour Hamlet, 3 éditions proches de l’époque de création (= au cours de l’année 1600, selon documents d’époque et références à l’actualité dans la pièce)  Edition

est un récit autobiographique. La Saison d'anomie : L'anomie, c'est l'anarchie, le chaos où un Etat devenu fou peut entraîner une société. Inspiré par les massacres et les horreurs du Biafra à la fin des années 60, ce roman se veut d'abord une dénonciation de la violence, de l'injustice, du cynisme des puissants. Mais cet Ofeyi parti à la recherche de sa fiancée enlevée, et qui traverse les cercles de la misère, de la corruption, du mal, est aussi un double d'Orphée, le protagoniste mythique, éternel

cadres et personnages à l'histoire, par la vraisemblance et le naturel, en s'attachant à peindre des situations nobles, mais non extraordinaires, de la vie privée des princes (voir Roman Historique). Saint-Réal s'illustre dans le roman historique, avec Dom Carlos (1672) et la Conjuration des Espagnols (1674) ; à un moment où l'Histoire est quasiment moribonde, jamais ses frontières avec le roman n'ont été aussi floues, au point que l'on a pu prendre l'abbé de Saint-Réal pour un historien. Le Roman utopique

et qui, en retour, le traverse de ses débats. Lieu par excellence de la critique des fausses valeurs, ce jansénisme pouvait difficilement ne pas contaminer et se laisser contaminer par la littérature. Contamination d'autant plus aisée que la dénonciation janséniste des grands passe par une disqualification des liens du sang : l'écrivain comme le janséniste revendiquent pour seule valeur les oeuvres qu'accomplit l'individu, tous deux affirment la primauté de la royauté spirituelle du juste sur le

plus beau que le fantastique mêlé au drame humain ». Une fois encore, le romantique Victor Hugo, pensant son théâtre, le fait en réaction aux classiques. Il songe à un théâtre fantastique et il donne un exemple qui appartient au classicisme. Le Don Juan de Molière qu’il a lu est celui de 1677, réécrit en vers et amendé (pour ses parties anticléricales ou libertines), travail du frère de Corneille. Il faut attendre 1847 pour que la Comédie Française représente le texte en prose de Molière. Au moment

prenez le parti de faire compagnie à son maître …) c) Le maître, impuissant, devient dans le style direct un stéréotype de la comédie ou de la farce. Le voilà réduit aux insultes et aux menaces de bastonnade. Diderot s´inspire de couples célèbres : Dom Juan et Sganarelle, Sancho Panca et Don Quichotte, Scapin et Géronte …La confrontation, fût-elle amicale, de deux hommes de condition inégale, est révélatrice d´une nouvelle donne sociale. Diderot joue d´ailleurs de ces relations maître-valet en les inversant

inconnus, se proclame gentilhomme afin d’échapper au verdict. Coup de théâtre: ses «nobles parents» se révèlent n’être en réalité que Marceline et Bartholo — lequel refuse obstinément d’épouser la mère de son fils. Marceline profère alors une violente dénonciation de la cruauté masculine, et tombe dans les bras de Figaro. Suzanne, qui arrive avec de l’argent donné par la Comtesse, se croit trahie, mais le malentendu se dissipe, le Comte rage et Bartholo se laisse fléchir (Acte III). Une galerie du château