Dom Juan Critique La Société

Lire et écrire restent des enjeux parfois inaccessibles, surtout pour les jeunes filles des pays défavorisés. Véritable pierre angulaire de notre société et grâce à la démocratisation de l’école obligatoire, l’écriture s’impose aujourd’hui comme un acquis nécessaire. Socialement, elle a régressé progressivement au stade du passe-temps, tant nos sociétés se sont médiatisées et urbanisées. Lire paraît sympathique, divertissant, intéressant. Mais elle a perdu son aspect politique, qui faisait indéniablement

Ainsi, la réplique de D.J « Tu pleures, je pense », adressée, selon la didascalie, à Sganarelle, présente-t-elle, d’après le metteur en scène Lassalle, une ambiguïté virtuelle. Polysémique, elle peut s’adresser tout autant à Sganarelle qu’à Elvire, à Dom Juan lui-même ou au public. De cynique, si D.J prend son valet à témoin pour se moquer des supplications d’Elvire, elle peut aussi induire une réflexion à venir de ce dernier, si l’on en croit Mesguish qui, en mettant l’intonation sur les pronoms personnels

ouvertement les coutumes les plus saintes et de vilipender la religion en bravant ouvertement ses lois sous prétexte de franchise et de sincérité. » L’hypocrisie est somme toute reconnue comme nécessaire à la conservation de la religion et de ses lois. Si critiquer l’hypocrisie entraîne la remise en question de ce dont elle permet le maintien, mieux vaut l’accepter comme un mal nécessaire. Cette conception tardive reflète assez bien l’état d’esprit où elle était tenue au XVIIe siècle. Mais même pour des auteurs

est écrit il était « soumis » , donc sous surveillance ) donc de se démarquer de l'éditeur et ainsi de se dégager de la qualité littéraire . De revendique la véracité des lettres et précise leur origine ( cf question b) mais aussi d'anticiper les critiques qui pourront être faites sur cette œuvre . Elle entretient l’illusion du réel . B) L'expression « les personnes à qui elle était parvenue » ( elle = la correspondance) fait référence a Madame de Rosemonde qui part Madame de Volanges lui confie

Agnès et envoyait mander à cette intention un notaire. I. Une relation déséquilibrée entre homme et femme   1. la femme, possession de l’homme La femme a la position hiérarchique la plus basse dans la société du XVII : elle est encore plus docile et soumise que tous les autres membres de la société (le valet, l’enfant, le soldat, le frère). A noter également l’alexandrin 703 : « L’une est moitié suprême et l’autre moitié subalterne ». Les mots « suprême » (placé à la césure) et subalterne (placé

dans les grottes aux dessins et peintures solutréens et magdaléniens. + L’histoire de don juan Le personnage de Don Juan est avant tout un mythe. Les efforts d'identification à un personnage réel sont vains, on peut seulement lui reconnaître certains critères qui lui sont propres. Fondamentalement, Don Juan recherche et vit dans le plaisir et la jouissance de l’instant présent, en s'opposant aux contraintes et aux règles sociales, morales et religieuses

tous vont s’entrecroiser ds cette forêt étrange, un peu magique, une nuit d’été ensorcelnate qui ressemble à 1 rêve). Dom Juan, Molière ( est sans cesse mis en scène au XXème siècle par divers metteurs en scène et pour des résultats très différents. La mise en scène de Roger Planchon met en valeur la dimension religieuse 2 la pièce. Tandis que Lasalle met l’accent sur le Don Juan sensuel, ivre 2 bonheur, 2 désir, d’envie) Art, Yasmina Reza ( jeu 2 l’acteur Pierre Arditi : sorte 2 bégaillement, qui

farce nous intéresse plus particulièrement, puisque Molière se souviendra de cet univers jusque dans ses dernières comédies ( Les Fourberies de Scapin par exemple). Elle souligne par son étymologie deux éléments qu’on associera souvent dans les critiques contre la comédie classique. La farce comme le pastiche tireraient leur origine de l’univers alimentaire. La farce est un hachis (on farcit un poulet) et met en évidence son lien avec le corps par opposition à l’âme dont s’occupe la tragédie : la

1622 et mort à Paris le 17 février, est un dramaturge et acteurde théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Dom Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Dom Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur. Il a polarisé les passions. Ses ennemis l’ont contraint à s’orienter

quartier des Halles et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur. Il a polarisé les passions. Ses ennemis l’ont contraint à s’orienter vers des sujets plus