Dom Juan Burlesque

l’adaptation, le détournement : c’est la reprise d’un thème en changeant le contexte, la visée, le style, le registre. C’est appelé la plupart du temps la parodie. C’est dire la même chose, mais autrement. On a donc soit la parodie, soit la transformation burlesque : Ce que l’on connait et que l’on appelle parodie, c’est ce que Genette appelle parodie. Ce que lui appelle parodie, c’est quand il y a un changement de contexte ou détournement de formes qui ne sont pas littéraires au départ. L’hypotexte est connu

cause la société dans ses institutions (satire sociale ou politique) En parallèle à ce théâtre comique se développe un théâtre beaucoup plus sérieux Les moralités : tandis que les soties cachent leur visée moralisatrice derrière les masques du burlesque , les moralités affirment d’emblée leur caractère didactique, ce sont des leçons de morale. Les mystères : ils sont certainement à l’origine du drame français. La représentation durait quatre jours. 3. Les lieux de représentation Il n’y a pas

d'exposition d'une œuvre dramatique est une scène fournissant les éléments nécessaires à la compréhension de la situation initiale. Il s'agit en général de la première scène, mais l'exposition s'étale souvent sur plusieurs scènes (comme dans L'Avare ou Dom Juan de Molière, où l'exposition est constituée par les deux premières scènes). La scène d'exposition est comparable à l'incipit d'un roman. Une bonne exposition, en dramaturgie classique, « doit instruire le spectateur du sujet et de ses principales

prosopopée de Junon dans l’Ode III, 3 d’Horace. Adresse indirecte Fait de feindre de s’adresser à un interlocuteur fictif au lieu du vrai Alceste inventant, dans le Misanthrope, une discussion avec un ami à propos du sonnet d’Oronte ; Sganarelle, dans Dom Juan, feignant de s’adresser à un autre maître que le sien (« c’est à l’autre que je parle, pas à vous ! ») Interrogation rhétorique Fausse question dont la réponse est évidente Il n’est pas beau, ce bébé ?? Dérivation illocutoire Ne pas poser la vraie

retrouver ces comportements, propres aux valets de comédie, dans Les Fourberies de Scapin de Molière où le personnage de Scapin utilise un comique de geste dans la scène célèbre des coups de bâtons. Mais encore dans Dom Juan ou Le Festin de Pierre du même auteur, où le valet Sganarelle utilise un comique de caractère puisqu’il se moque sans cesse des faits de son maître. En clair, nous avons pu voir dans cette partie, grâce au personnage de Dubois

sérieux; dénoncer les faux-dévots et par là les excès de la rhétorique enjoliveuse ainsi même que les croyants peu regardants quant à leurs idoles, c'est là tout l'art du Tartuffe, première des trois comédies sérieuses de notre dramaturgen, avec Dom Juan et Le Misanthrope. L'art, par le simple fait de proposer une matière (le langage, les topoï) transformée (par la langue, la virtuosité d'un auteur) transfigure forcément et peut adoucir la crudité du propos en apparence: quand Camus dans sa pièce

prosopopée de Junon dans l’Ode III, 3 d’Horace. Adresse indirecte Fait de feindre de s’adresser à un interlocuteur fictif au lieu du vrai Alceste inventant, dans le Misanthrope, une discussion avec un ami à propos du sonnet d’Oronte ; Sganarelle, dans Dom Juan, feignant de s’adresser à un autre maître que le sien (« c’est à l’autre que je parle, pas à vous ! ») Interrogation rhétorique Fausse question dont la réponse est évidente Il n’est pas beau, ce bébé ?? Dérivation illocutoire Ne pas poser la

représente un véritable obstacle pour le trio Marianne-Cœlio-Octave, mais à la fin c'est lui qui triomphe : sa puissance, aussi bien que les conventions sociales, le mettent à l'abri de la Justice. Aussi Claudio, présenté au début comme un personnage burlesque, comme notable et mari (voir la scène avec Octave), apparaît finalement sous l'allure menaçante d'un homme déterminé et dangereux. Le thème du double dans Les Caprices de Marianne, acte 1 scène 1, évoque le personnage à double masque, personnage

propositions de l’Augustinus | Molière : L’EtourdiSaint-Amant : Moïse sauvé | | Nicolas Poussin : les Vergers d’Arcadie | 1654 | Fouquet surintendant des financesRetraite de Pascal à Port-Royal | Melle de Scudéry : ClélieCyrano de Bergerac : Lettres burlesques | | | 1556 | Arnauld censuré par la Sorbonne | Pascal : Les Provinciales | | Velasquez : Les MéninesDébut de la construction de Vaux-le-Vicomte | 1658 | | Molière : La Jalousie du barbouilléMichel de Pure : La précieuse ou le mystère des

atteint d’une grave fluxion de poitrine. Une grosse toux ne l’a plus quitté et il est mort immédiatement après la quatrième représentation du Malade Imaginaire le 17 février, à 51 ans. Les oeuvres de Molière - Le malade imaginaire (1673) Dom Juan (1665) L’Avare (1668) Les fourberies de Scapin - L’amour médecin (1665) Monsieur de Pourceaugnac (1669) Le médecin malgre lui (1666) Tartuffe (1664-1669) as.exposé.doc.97 1 Exposé du 11 janvier 1997 Molière, l’Avare Andreas