Doit On Admettre Un Divorce Sans Juge

S’intéresser au couple institutionnalise suppose de s’intéresser à deux éléments : - Le mariage - Le divorce Titre 1: Le mariage. Même s’il est en recul, le mariage est toujours et encore une institution au cœur du droit de la famille et de la famille. Pour autant, le mariage en tant que tel n’est pas défini expressément par le Code civil. En effet, il y a deux explications : . Le mariage a de nombreux aspects: sociaux, moraux, religieux. Il est donc difficile de tous les

trois périodes : époque de la refondation (1960-1970), trois textes important : loi du 13 juillet 1965 -> instaure l’égalité des époux dans le mariage, Loi du 3 janvier 1972 -> principe de l’égalité des filiations Loi du 11 juillet 1975 -> réforme du divorce (le facilité, droit a la liberté individuelle) période de la retouche (on va améliorer : 1985 -> égalité total des droits entre époux par exemple) période en cours depuis 1999, il faut réformer le droit de la famille. On s’est rendu compte que le

cas de l’adoption. Certaines fonctions du TGI relève d’un juge unique. Dans le cadre du TGI certains magistrats siègent à juge unique. C’est le cas du juge aux affaires familiales qui est compétent en matière de divorce, de séparation d’un couple en union libre ayant eu des enfants naturels. En 2004 une procédure a modifié le divorce, il y a celui pour faute, par consentement mutuel, accepté. Le JAF est compétent en matière de de divorce, il va statuer sur le domicile conjugal, attribuera la jouissance

intermédiaire a donc considérablement affaibli le pouvoir du père au sein de la famille, et a également permis le divorce. Le code civil fait un compromis entre ces 2 conceptions : * réaffirmation de l’autorité du mari/père * qualifie le père de seigneur et de maitre de la communauté (famille). * Reconnaissance de certains droits à l’épouse * Maintient du divorce. Apres 1804, le compromis n’a jamais cessé d’évoluer à cause des changements de mœurs, de l’exode rural et de

d’un fait juridique duquel nait un droit subjectif dont on veut se prévaloir, toute cette démonstration doit se faire dans les conditions admises par la loi. Il est fréquent de faire la preuve d’acte ou fait juridique en dehors de tout procès, extra judiciaire. Le plus souvent la preuve est judiciaire, la démonstration de l’existence d’un acte ou fait juridique devra être rapporté devant le juge. Utilité de cette preuve, elle conditionne l’effectivité des droits subjectifs lorsqu’ils sont contestés

au-delà de l'aspect pompeux de la formule, on constate que ce texte nous montre que la famille intéresse la société et par conséquent, le droit. Ce constat amène à la q suivante : nécessité d'un d de la famille, faut-il admettre l'existence d'un d de la famille? Est-ce que le d doit réglementer la vie familiale? Question très svt débattue : * Hegel : "si la société est le règne du droit, la famille est le règne de l'amour". Les rapports dans la famille ne doivent pas être organisés par des r

supérieures. Section 1 : doctrine idéaliste, théorie du droit naturel. §1_ Evolution des théories du droit naturel. Il y a la loi naturelle supérieure à toutes les lois positives donc un principe supérieur de justice qui s’impose à la société, donc doit inspirer la loi humaine, celle de notre parlement, théorie ancienne qui s’inspire de la philosophie grecque tel Antigone de Zophode. Cette théorie a triomphé avec christianisme puisque le moyen âge est dominé par la doctrine de St-Thomas d’Aquin. Pour

définition très explicite de la famille. Certes, on retrouve en particulier dans le livre 1° du code civil les différentes matières que l'on range dans le droit de la famille, dans le titre 5 du livre 1° consacré au mariage, le titre 6 consacré au divorce, et les titres 7-8-9 consacrés à la filiation et à l'autorité parentale. Si on regarde de plus près ces textes, on voit très vite qu'il n'y a pas une seule définition de la famille. Parfois, le groupe familial comprend uniquement le père, la mère

Chapitre 3 : Droit de la Preuve Preuve : démonstration de l’existence d’un acte ou d’un fait juridique duquel nait un droit subjectif dont on veut se prévaloir, toute cette démonstration doit se faire dans les conditions admises par la loi. Fréquent de faire la preuve d’acte ou fait juridique en dehors de tout procès, extra judiciaire. Le plus souvent la preuve est judiciaire, la démonstration de l’existence d’un acte ou fait juridique devra être rapporté. Utilité de cette preuve, elle conditionne

faut toutefois pas s’en tenir aux dépenses nécessaires, puisque les contributions aux charges du mariage peuvent inclure les vacances, loisirs… En définitive, ce qui doit être considérer comme charges du mariage va largement dépendre du train de vie du ménage qui va être déterminé d’un commun accord par les époux ou par défaut par le juge. Le principe essentiel de l’article 214 du code civil n’est donc pas une contribution égale aux charges du mariage mais une condition obligatoire pour ses derniers