Doit La Seule Finalité Du Théatre Est De Divertir

II- Objectifs et finalité des médias III- Influence des médias , 4ème pouvoir, village planétaire, mal de l’info I- a) La Presse 1434 : Gutemberg 1631 : La Gazette est fondée par Renaudot, 1605 : 1er périodique « les nouvelles d’Angers » 1846 : La Presse devient une industrie grâce à la rotative La Presse est la 1ere liberté accordée, elle est la condition aux autres libertés, politique public personnelle. Malgré tout la presse se bat contre la censure, elle doit se battre pour obtenir

chez lui un dévot personnage du nom de Tartuffe, dont, prétend-elle, tous feraient bien de suivre l'exemple. Mais les autres membres de la famille ne sont pas d’accord. Damis exprime son point de vue en disant « Et que nous ne puissions à rien nous divertir, Si ce beau monsieur-là n’y daigne consentir » vers 47-48, il montre son mépris et dénonce le fait que le Tartuffe s’occupe de tout dans la maison. La suivante le défend, elle est scandalisé qu’un nécessiteux puisse devenir le maître de maison,

vérité. B. (l. 2-7) Hegel concède que l'art n'a souvent qu'une utilité. Hegel doit concéder (« il est vrai ») à l'usage courant de l'art « asservi » à des fins extérieures. 1° (l. 3-4) Opinion 1 : l'art est un simple jeu. Réduit au statut de « jeu éphémère », l'art ne peut être pris au sérieux. Le jeu, c'est ce qui est fait 'pour de faux'. Le jeu n'est donc pas le lieu de la vérité. Ainsi, en théâtre, il ne s'agit que de jouer la tragédie, non de la vivre. Ce jeu est éphémère, il constitue

maintenant de voir de l'art thérapie, pour aider des gens atteints de maladie mentale, de troubles cognitifs, etc. L'art ne comprend pas que les arts visuels...ça inclus aussi la musique (musicothérapie?la musique est aussi liée aux mathématiques...), le théâtre (divertissement, manifeste, provocation, dénonciation, vécu, thérapie aussi...)...............................… 2)si les moyens de communication se diversifient et devraient effectivement faciliter la communication entre individus, l'effet réel de

peut s’adonner de plein gré soit pour se détendre, soit pour se divertir, soit pour développer par son information ou sa formation désintéressée, sa participation sociale volontaire ou sa libre capacité créatrice après s’être dégagé de ses obligations professionnelles, familiales et sociale ». (Définition qu’il donne dans les années60) Il développe l’idée selon laquelle le loisir doit répondre a 3 finalités : les 3D : délasser, divertir, et le développement. Ainsi, en s’appuyant sur les premières

A quoi peut bien servir l'art ? A embellir nos salon ? A nous divertir ? A gagner de l'argent ? La question est depuis longtemps au cœur des réflexions sur l'art. Celle-ci est vaste et ardue car l'art et protéiforme et s'est transformé à travers les siècles. Les mots qui composent cette question nécessitent eux-même un éclaircissement. Tout d'abord "inutile" indique que quelqu'un peut tirer de son opposé « utile », en parlant de l'Art, un bénéfice ou un avantage quelconque de quelque chose. Quant

habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au théâtre de foire, itinérant  dans lequel Molière s’illustrera. Deux genres sont alors privilégiés : la pastorale (ou

texte et le lecteur; aussi, plus qu'une critique, définit-il une science du discours qui tentent d'analyser ds l'œuvre littéraire, foncièrement polysémique, des structures, des figures, le lecteur devenant "un producteur du texte". Réflexion sur le théâtre et la litté, analyses d'auteurs aussi différents que Voltaire ou Robbe-Grillet, les Essais critiques reflètent le cheminement de B pdt une dizaine d'années, de 1954 à 64. Il situe ses analyses ds la période de "montée de la sémiologie", en précisant

on ne connaître jamais son patronyme, contrairement au livre dont Diderot s’inspire, Vie et opinions de Tristram Shandy, de Sterne. Je cite ce livre car vient de sortir un fort beau film, Tournage dans un jardin anglais, qui pourrait intéresser et divertir vos élève, et leur être même utile pour l’examen. Le baptême du héros y fait un moment cocasse, puisque le rare prénom culturel prévu par le père se perd en route, entre sa chambre et celle de l’accouchement, pour aboutir, par déperdition et déformation

met en oeuvre un théatre de l’absurde. Ses premières pièces notamment mettent en scene des personnages sans psychologie, qui sont agis, plus qu’ils n’agissent comme >1. S’ils s’avisent de penser, ils débitent avec une assurence péremptoire les lieux communs les plus éculés, sans ordre ni raison. La mécanique du langage tournant à vide donne à voir la vanité illusoire de consciences inutiles. En ce sens, Ionesco, à l’instar de Beckett, participe de l’esthétique du Nouveau Théatre. Mais l’absurdité