Doisneau

Le baiser de l’hôtel de ville : Introduction : Le baiser de l’hôtel de ville est une photographie datant de 1950 en noir et blanc de Robert Doisneau prise comme l’indique son titre, place de l’hôtel de ville , à Paris.. Robert Doisneau (1912-1994) est un photographe français pour lequel Life, un magasine célèbre de l’époque avait demandé à cet auteur déjà connu une série de photographies sur l’amour et Paris. Une des plus célèbres fut celle du baiser de l’hôtel de ville. Alors qu’il était dans

retraite en vins d’honneur qui rythment notre vie institutionnelle, l’apéritif est devenu un peu comme les préludes des musiciens romantiques, une oeuvre en soi. On y voit Toulouse-Lautrec ou les impressionnistes des dimanches de Chatou. Robert Doisneau, avec papa à l’anisette et le gamin en culotte courte avec sa grenadine. On y voit la sortie de l’usine ou du bureau, quand, pour quelques sous, on passe un bon moment au zinc, à raconter les fameuses brèves de comptoir. L’apéritif, c’est souvent

La photographie humaniste, 1945-1968 Autour d’Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis… C’est entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et les années soixante que la photographie humaniste connaît son apogée. Elle est ainsi nommée parce qu’elle inscrit la personne humaine au centre de son propos, dans son cadre professionnel aussi bien qu’affectif. On y retrouve des noms célèbres comme Henri Cartier-Bresson, Robert Doisneau, Willy Ronis, Brassaï ou Boubat, mais aussi des photographes moins connus

avec Tériade, son premier livre : « Images à la sauvette ». Deux ans plus tard il est le premier photographe admis en URSS depuis le début de la guerre froide. En 2000, il crée, avec sa femme et sa fille, la Fondation Henri Cartier-Bresson. Robert Doisneau et Willy Ronis sont deux photographes du même style qu’Henri Cartier-Bresson. L’œuvre : L’œuvre « Premiers congés payés, Bords de Seine, France, 1936 » a été réalisé en 1936 mais tirée en 1946 en format 23.1x34.6 cm et est actuellement a la Fondation

photographes déjà célèbres. Il a également l’occasion de connaître Kertesz, Brassaï et Henri-Cartier-Bresson. Avec Robert Doisneau, il est l'un des piliers de la photographie humaniste d'après-guerre. Il quitte Paris en 1961 pour fuir les persécutions juives et ne pas porter l'étoile jaune. Il participe dans les années 1950 au Groupe des XV aux côtés de Robert Doisneau, de Pierre Jahan et de René-Jacques pour défendre la photographie comme une véritable expression artistique. Le Groupe des XV

 Vous allez écrire de courts textes sur vos premiers souvenirs d'école. Puis vous les enrichirez grâce à l’observation de photos de Robert Doisneau et d’un extrait du film Les Choristes. 1 Retrouver quelques souvenirs Voici six sujets d'écriture, tous liés aux souvenirs d'école. Écrivez quelques lignes sur chacun d'eux. Consigne. Vous veillerez à respecter la situation d'énonciation, les temps appropriés, à évoquer les sentiments ressentis ainsi que le regard que vous portez aujourd'hui sur

|Je vois dans cette entreprise un modèle pour les photographes, parce que parfaitement romanesque. Je veux bien | | |croire qu’il se fera encore des œuvres comme celles de Robert Doisneau, « par inadvertance ». Mais je dois constater| | |que la pratique de la photographie exige aujourd’hui de la part du photographe une singulière conscience de ses fins| |

l'appartement de l'homme. Seules les assiettes ( qui semblent être en étain) et la bouteille ( vieille bouteille de bière ou cidre ) nous permettent de marquer cette photo dans un espace temps que l'on situerait dans l'après seconde guerre mondiale. Robert Doisneau, le photographe a apposé sa signature sur la photo, tel un tableau. Portrait d'un homme en marinière en noir et blanc, en plan américain. La table en premier plan est dressée pour deux personnes ( assiettes, verres, alcool, salinière...). L'homme

donc impossible à travailler en langue anglaise. Je me suis alors renseignée pour savoir quel mouvement se rapprochait le plus de ce courant photographique. Après quelques recherches, j’ai pu trouver un lien entre la photographie humaniste de Robert Doisneau et la photographie sociale. En effet, la photographie sociale est en quelque sorte avant-gardiste au niveau de la photo des années cinquante, puisqu’elle même débute dès les années trente aux Etats-Unis. Ce sujet m’a particulièrement attiré car il

gauche. Cette photographie est un parfait exemple de ce qu’est l’instant décisif : un moment rare, fugitif et éphémère. Conclusion : On peut rapprocher d’autres œuvres de cette photographie telles que : * Le baiser de l’hôtel de ville, Robert Doisneau, 1950 * Le garçon à la baguette de pain, Willy Ronis, 1950 Ces deux photographies appartiennent au courant de la photographie humaniste et représentent « l’instant décisif ». Avis : Ce que je trouve remarquable dans cette photo, c’est le fait