Doisneau

photos à un prix extraordinaire (environ 500000 F actuels), car les autres photos n'arrivèrent en Europe que par bateau, plusieurs jours plus tard."   "Polémique autour du moment décisif " "Les Français Henri Cartier-Bresson, Marc Riboud, Robert Doisneau, les Allemands Walter Bosshard et Alfred Eisenstaedt, le Hongrois Robert Capa, les Suisses Werner Bischoff et Robert Frank, les Italiens Mario Biasi et Fulvio Roiter, l'Anglais Bill Brandt, le Roumain Brassai, l'Autrichien Ernst Haas, les Américains

En 1957, Jacques Prévert expose pour la première fois à la galerie Maeght une série de collages. Ces collages sont drôles et inventifs : une gravure ancienne voisine avec une photo de presse, une carte postale avec un cliché de Brassaï, Robert Doisneau ou Willy Ronis. Prévert se plaît à y inclure les personnes de son entourage, sa propre photo, ou des personnalités célèbres de l’histoire ou de l’actualité (Napoléon, le pape Pie XII). Outre son rejet de l’Église et de l’armée qui reste un sujet

photographe Robert Doisneau vint à Aix-en-Provence pour rencontrer Cendrars qui y vivait en ermite, rivé à la page. Il devait rapporter à l'éditeur du roman, Robert Denoël, une série de portraits de l'écrivain. En ville, Doisneau chercha Cendrars, vainement, patienta jusqu'au lendemain et finit par le croiser chez le coiffeur ! Cette rencontre, narrée par Miriam Cendrars, fille de l'écrivain, marqua le début d'une relation d'amitié et d'admiration entre les deux hommes. Doisneau montra quelques photos

photographie. Ainsi, de 1988 à 1997, elle a soutenu le prix Niepce, qui récompense tous les ans un photographe professionnel de moins de 45 ans. Ce prix est un véritable Goncourt de la photographie et compte, entre autres, comme ancien lauréat Robert Doisneau. En 1998, la fondation HP France a fondé le prix Arcimboldo pour la création numérique. Ce prix a pour objectif d’encourager l’utilisation des voies nouvelles à la création artistique offertes par les technologies numériques. Il récompense un artiste

                     Marc CHAGALL « les fiancés de la tour Eiffel » huile sur toile 1939                     Guillaume APPOLINAIRE «  calligrammes »                     Robert DELAUNAY « la tour Eiffel » huile sur toile 1926 En photographie : Robert DOISNEAU «  tour Eiffel gondolée » 1965                              Marc RIBOUD «  le peintre de la tour Eiffel » 1953                              André KERTESZ  « shadows » 1929                              Henri SILBERMAN «  la tour Eiffel » En cinéma :

photographie a pour but d'immortaliser des moments heureux, d'avoir l'opportunité de conserver des souvenirs de proches. Les photos de familles se font très nombreuses. Par exemple, vers la fin des année 1930, le célèbre photographe français Robert Doisneau se photographia avec sa femme et son enfant. Cependant, les photographes connaissent également la guerre, la faim, la pauvreté, la maladie... Le photographe évolue avec son temps et s'inspire des éléments marquant de son époque. C'est ce qui nourrit

travailler qu’intégré à une unité. C’est comme être en cage. » Quant au métier de photographe, il est vrai qu’il souffre, en France, d’une loi sur le droit à l’image qui est la plus répressive d’Europe. Aujourd’hui, des photographes tels que Robert Doisneau ou Henri Cartier-Bresson ne seraient plus en mesure d’exercer ni d’exposer leurs images tel que c’était possible à leur époque. Et puis gare aussi à l’interprétation des images ! Récemment, un hebdomadaire s'est excusé, (après que le pot aux roses

technique est tel, qu’il donne la possibilité à l’art de prendre une multitude de formes. Comme nous l’avons évoqué, l’art est en corrélation avec son temps si bien que sans l’invention (et les innovations qui en suive) de la photographie, Robert Doisneau (1912-1994) n’aurait put prendre le Baiser de l’Hôtel de Ville en 1950. Mais encore, sans l’évolution des performances informatiques, jamais le photographe allemand Andreas Gursky (1955) n’aurait put réaliser des montages aussi troublants que pour

de nombreux artistes ont cherché à capter l'atmosphère de la ville et sa vie quotidienne prise sur le vif. Initiée par Eugène Atget (1857–1927)[144], la photographie de scènes de rues et petits métiers aujourd'hui disparus est incarnée par Robert Doisneau (1912–1994), un des premiers grands photographes de Paris[145]. Les scènes insolites constituaient ses sujets de prédilection : les enfants jouant dans les rues, les concierges, les bistrots, les marchés, etc. Ses photographies sont pleines d'humour

Chagall - Dubuffet - Duchamp - Ernst - Pollock - Tinguely - Warhol (Pop’art) - Pour l’art actuel, œuvres choisies dans les Fonds Régionaux d’Art Contemporain (FRAC) Sculpture - Giacometti - Calder - Maillol Œuvres photographiques - Cartier-Bresson - Doisneau - Capa - Raymond Depardon Œuvres cinématographiques : - Chaplin, Le Dictateur. - Hawks, Rio Bravo. - R. Wise, West side story. - F. Lang, Les Contrebandiers de Monfleet. - P. Grimault, Le Roi et l’oiseau. - A. Hitchcock, La Mort aux trousses. - A