Divorce 28 Février 2006 Cassation

UNIVERSITE DE PARIS-VAL DE MARNE FACULTE DE DROIT HISTOIRE DU DROIT Ière année de licence Fiche II/1 A distribuer à partir du 28 janvier 2008 LA LOI : LE PRINCIPE DE LA NON-RETROACTIVITE DE LA LOI Partie du cours à réviser : Ière p., liv. II, ch. 1. BIBLIOGRAPHIE BIBLIOGRAPHIE - Ch. Aubry et C. Rau, Cours de droit civil d’après la méthode de Zachariae par Bartin, tome 1, Paris, 1936. - J. Bart, Histoire du droit privé de la

Code civil). §1 : Le contenu du droit de la famille Il y a des questions d’ordre patrimonial : au moment de l’union et de la désunion d’un couple, il faut prendre en compte les conséquences juridiques. Ex : dette au moment du mariage, lors du divorce, question de savoir si la dette est commune ou spécifiquement rattaché à une personne du couple. Il existe des règles communes à tous les couples, ce sont les régimes matrimoniaux. Quant on parle de droit de la famille sans précision, on vise les

ou RCDIP. Journal de droit international privé. Revue trimestrielle, citée Clunet, ou JDI. IV : Ouvrages divers : B. Ancel et Y. Lequette, Grands arrêts de la jurisprudence française de droit international privé, Dalloz, 5ème édition, 2006, cité G.A. Travaux du comité français de droit international privé, publiés périodiquement, cité Trav. com. fr. dr. int. pr. Jurisclasseurs de droit international, 10 volumes, éd. techniques Répertoire de droit international, 3 volumes

certaine « banalisation » du divorce. Ces changements s'inscrivent dans une société de plus en plus individualiste, où les sentiments personnels ont tendance à primer sur l'intérêt collectif, justifiant alors le passage des familles « patrimoniales » aux familles « relationnelles ». La vie conjugale est alors devenue plus instable, plus fragile, principalement à cause des aspirations individuelles des conjoints. Cela s'illustre par une augmentation sensible du nombre de divorces depuis les années 1970

contrainte de subir une atteinte à son intégrité physique alors même que cette atteinte serait justifiée par l'intérêt d'un autre. Le défendeur peut toujours refuser le prélèvement sanguin ou génétique, c'est une atteinte du corps. La Cour de Cassation se fonde sur l'article 11 du Code de procédure civile: « le juge peut tirer toute conséquence du refus. » Le droit c'est l'art de concilier les intérêts contradictoires. Le principe d'inviolabilité est sacré. En matière de responsabilité civile

personnes pacsés. Les partenaires pacsés ont une certaine organisation de leur vie commune, mais quand on suit l'organisation du PACS ou pour le PACS on aperçoit pas pour autant l'établissement d'un véritable régime équivalent au régime matrimonial, loi de 2006 a améliorer les choses en donnant une sorte de régime patrimonial. Ce régime patrimonial n'est cependant pas comparable a ce qui est réservé aux époux. ! À l'opposé les concubinages, unions libres, sont aussi admises par la loi et de plus en plus

la rattache à la liberté individuelle dont le juge judiciaire est le gardien (article 66 de la Constitution). Aucun individu ne peut être privé d'adhérer ou non à l'institution du mariage. En tant que tel il n'existe pas de droit fondamental au divorce. Il est possible de rompre les fiançailles pour ne pas porter atteinte à la liberté matrimoniale mais dans le même temps il existe un devoirs général de ne pas nuire à autrui qui impose que la rupture soit faite dans des conditions qui ne sont pas

de l’obligation d’entretien » Elle n’existe pas entre les alliées au-delà du 1er degré. Elle prend fin en cas de décès de l’époux qui créait l’alliance lorsqu’il est décédé sans postérité issue de son mariage avec le conjoint survivant en cas de divorce. Le domaine de l’obligation est donc restreint, ce qui a conduit à la reconnaissance d’obligations alimentaires entre frère et sœur ou concubins par la jurisprudence. Le créancier doit apporter la preuve de ce qu’il se trouve dans un état de besoin

9ème & 10ème séances : LA FILIATION Séance 9 : Filiation naturelle Doc. 1 : Civ. 1ère, 28 mars 2000, pourvoi n° 98-12.806, publié au Bulletin Doc. 2 : Civ. 1ère, 24 septembre 2002, pourvoi n° 00-22.466, publié au Bulletin Doc. 3 : Civ. 1ère, 25 oct. 2005, RJPF 01/2006, p. 25 Doc. 4 : Civ. 1ère, 16 juin 2011, pourvoi n° 08-20.475, publié au Bulletin. Doc. 5 : Civ. 1ère, 14 février 2006, D. 2006, jurisp. p. 1029. II. Séance 10 : Procréation médicalement assistée - Adoption I. Procréation

arriver à l'accouchement. Exemple: si j'accouche à trois semaines, pas d'accouchement car pas d'enfant viable ni trois mois tandis que vers plus de six mois on peut dire que l'enfant est viable. Une décision du 6 février 2008 d'une chambre civile un à donner lieu à des décrets du 28 août, il s'agissait d'actes d'enfants sans vie, on ne lui accorde pas la personnalité juridique mais pour la douleur des parents on en prend acte pour faire une reconnaissance de l'enfant avec une sorte d'état civil