Divorce 28 Février 2006 Cassation

Conseil économique et social avait décrit la famille comme une institution en mutation. A l’époque, ce qui avait attiré l’attention était la montée en puissance des familles naturelles : augmentation des naissances hors mariages, montée en flèche des divorces, diminution aussi du nombre de mariages. A l’heure actuelle, on peut dire qu’il existe deux types normaux de familles. · Il y a d’abord la famille légitime fondée sur le mariage qui constitue toujours le modèle par excellence parce qu’elle offre

applicable au contrat après la mise en œuvre de l’Electio juris. Lex fori : la loi du tribunal saisi. Lex loci celebrationis : littéralement la loi du lieu de célébration. Selon l’article 170 du Code civil, devenu 171-1 depuis la loi du 14 novembre 2006, le mariage d’un Français peut être célébré à l’étranger en respectant les règles locales. Lex rei sitae : loi du lieu de situation de la chose. Pour les immeubles pas de problème, mais pour un meuble il va falloir le localiser fictivement au lieu

des chambres de la famille, puis en 1975, lui sur le divorce, on introduit en droit français le juge aux affaires matrimoniales dont le orle était surtout de régler les difficultés apparaissant lors d’un divorce. Le JAM. Loi du 10 janvier 1993, a consacré le JAF (juges aux affaires familiales), qui était membre du TGI, dont la compétence couvre les conflits qui apparaissent entre époux pendant le mariage, ensuite, le contentieux du divorce, ensuite les questions liées au nom de l’enfant et à l’autorité

alimenter cela surtout dans le droit des successions. B▪ l’évolution des liens familiaux ▪ le relâchement du lien familial au bénéfice de la liberté individuelle a▪ les données Il y a eu de nombreux changements. On se marie de moins en moins et on divorce de plus en plus. On constate que l’âge de la première cohabitation en couple recule (études…). Les femmes sont plus autonomes. Il arrive de moins en moins souvent que la première union prenne la forme d’un mariage direct. Les couples cohabitant

un groupement de personnes qui sont reliées entre elles par un engagement de vie commune ou par la filiation. » L’engagement de vie commune est le mariage, c’est aussi le PACS. Le PACS est le pacte civil de solidarité (loi du 15 novembre 1999, dès 2006 a été réformée). La seule vie commune sans engagement est le concubinage mais juridiquement parlant, le concubinage ne crée pas une famille. La filiation est le lien juridique qui unit l’enfant à son ou ses auteurs, c'est-à-dire celui qui l’a fait

psycologique 25 I.le consentement des époux 25 A.l’accord avant la célébration 25 B.les clauses limitative de la liberté matrimonial 26 C.le consentement exprimé lors de la célébration du mariage 26 II.les vices du consentement 28 A.le dol 28 B.la violence 28 C.l’erreur 28 III.l’autorisation des familles 29 A.les personnes habilités à autoriser le mariage d’un mineur 29 B.les formes et caractères de l’autorisation 30 Section 3 : les conditions d’ordres sociologique 30 I.l’empêchement de bigamie

retrouve en particulier en droit de la famille9. On s’accorde à dire que le droit de la famille tunisienne s’est détaché des préceptes de l’islam. A cet effet, il a aboli la répudiation, il a admis le mariage monogamique, reconnu l’adoption, consacré le divorce judiciaire, la garde est accordée à l’un des parents selon l’intérêt de l’enfant. Cependant, cette disposition de la Constitution a souvent été invoquée par les partisans de la tradition pour justifier l’application par les juges des règles du droit

l’avantage est donc bien protégé. Depuis la loi du 26 mai 2004, les nouvelles règles du divorce permettront de ne pas tout perdre. L’article 265 prévoit que le conjoint conserve le régime choisit et elle aura donc la moitié de la communauté. Fiscalement, les libéralités sont fiscalisées entre époux alors que les avantages matrimoniaux sont neutres fiscalement car ce n’est pas une mutation à titre gratuit. La loi de 2006 a dé judiciarisé partiellement le changement de régime lorsqu’il n’y a pas d’enfant

faut une certaine maturité. Ces deux éléments justifient une condition d’âge minimal. Jusqu’en 2006 cet âge minimal était de 15 ans pour les femmes et de 18 ans pour les hommes. Depuis la loi du 4 avril 2006, il est fixé à 18 ans pour les deux. (Article 144 du code civil). La loi a donc établie l’égalité entre les hommes et les femmes, et veut limiter les mariages forcés des jeunes filles. La loi de 2006 a néanmoins retenue une dispense. En effet, le procureur de la république peut accorder des dispenses

Cour de cassation pour pouvoir connaitre les décisions rendues. Les arrêts les plus importants rendus par la Cour sont des arrêts P+B+R+I. P, structure plénière (≠assemblée plénière, cela veut juste dire que plusieurs magistrats d’une ou plusieurs chambres se sont concertés) ; B, publication au bulletin ; I, la décision est immédiatement disponible sur le site de la Cour de cassation ; R, la décision sera commentée dans le rapport annuel de la Cour. Deux arrêts rendus le 14 avril 2006 par l’assemblée