Dison

vraiment, plus notre décision est en accord avec qui nous sommes, plus nous nous sentirons bien avec nous-même. Si nous ressentons l’envie de faire quelque chose, faisons-le. Si nous voulons dire pardon à quelqu’un mais nous redoutons sa réaction, disons-le peu importe la réaction à laquelle nous nous attendions, si nous voulons exprimer notre désaccord et notre mécontentement face à un fait qui nous a dérangé n’hésitons pas à l’avouer. C’est ce qu’on appelle la guidance et l’intuition. Nous devons

l'objet ou le contenu d'un jugement que ne le fait l'opinion, plutôt centrée quant à elle sur l'individu qui s'exprime. La croyance semble alors correspondre à un état de certitude plus objectif. Mais pourtant, ce n'est pas toujours vrai, car nous disons « je crois en Dieu », en désignant un objet dont l'existence objective est difficile à attester. Puis on remarque qu'il y a des rapports entre la verité et l'opinion comme le dit Kant " Je ne peux m'aventurer à avoir une opinion sans savoir au

qui ne sait plus sourire, Soyez généreux, donnez-lui le vôtre, car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres… * Raphael : 3 : Prière : Pour rendre grâce Répartition ? 3 parrains et 3 marraines « Nous te disons MERCI, Seigneur. » * Pour la vie de ces enfants que tu nous confies. * Pour l’amour qui nous unit dans la famille. * Pour la présence de tous ceux qui sont là et pour l’amitié de tous ceux qui se sont manifestés à l’occasion de la naissance

nous raconte sa vie, nous fait partager son intimité (livre ses sentiments, fait de nous ses confidents privilégiés. Nous rentrons alors en empathie avec lui ; parfois, parce qu'il nous est arrivé de vivre des situations similaires, ou que nous nous disons que nous aurions (ré)agi comme lui. 2) Le point de vue interne récit à la 3ème personne, cette fois, mais qui, là encore, nous fait « rentrer » dans les pensées et la façon de voir (et de sentir) d'un personnage:possibilité d'une proximité

dans un gouffre ? Nous pourrions nous aider à être vraiment heureux. Puis, ce faux sourire qu'on aurait pu afficher pendant un certain temps, serait un sourire sincère et nous nagerions tous dans le bonheur, mais qui pourrait nous prouver que nous disons tous la vérité ? Il y en aura certainement toujours un ou une d'entre nous qui ne dira pas ce qu'il ressent et il sera malheureux à l'intérieur de lui tout en nous dévoilant un magnifique sourire ce qui nous fera croire qu'il va tout aussi bien que

autobiographie, car il pense que ce qu’il suppose être vrai est totalement innocent, et qu’il prend toujours du recul à cela. On retrouve aussi cette pensée dans Les Rituals de Cavanna : « C’est comme ça, la mémoire, ça va ça vient. », ou encore  « Disons que c’est le gosse de ce temps-là revécu par ce qu’il est aujourd’hui, et qui ressent tellement fort l’instant qu’il revit qu’il ne peut pas imaginer l’avoir vécu autrement. ». Pour les autobiographes, se raconter est un problème, notamment parce

s’en prend pourtant aux Maximes de La Rochefoucauld, pour leur préférer « les romanciers », véritables moralistes : « Nos plus grands moralistes ne sont pas des faiseurs de maximes, ce sont des romanciers. Qu’est-ce qu’un moraliste en effet ? Disons seulement que c’est un homme qui a la passion du cœur humain. Mais qu’est-ce que le cœur humain ? Cela est bien difficile à savoir, on peut seulement imaginer que c’est ce qu’il y a de moins général au monde. C’est pourquoi, et malgré les apparences

rechercher la satisfaction de nos besoins (ou en tout cas à les reconnaître) et à en faire autant pour ceux d’autrui :  être en accord avec nous-mêmes,  développer une clarté par rapport à ce que nous vivons, à ce que nous voulons et à ce que nous disons,  diminuer le stress de notre vie quotidienne,  nous ressourcer par rapport à des situations difficiles,  créer davantage d’harmonie et de sécurité dans nos relations avec les autres,  désamorcer et transformer l’agressivité et la colère

écouter ce que nous croyons muet, un sentiment enfoui, un arbre dans notre rue. Les vers des romantiques parlent d'une autre époque, il y a 150 ans, mais ils nous parlent de nous-mêmes. Ils nous disent qu'il faut écouter ce que nous disons de nous comme ce que nous disons en nous.

DIEU est le même hier, aujourd’hui et éternellement Bien souvent nous considérons le Seigneur Jésus-Christ dans son ministère terrestre, comme il nous est raconté dans les Evangiles et nous disons : Ah ! Si nous avions vécu en ce temps là, dans ce pays, nous serions allés vers lui et il nous aurait sauvés, secourus, délivrés et guéris. Mais le Seigneur avant de quitter ses disciples leur a dit qu'il nous était avantageux qu'Il s'en aille . Jean 16:7 Cependant je vous