Dislocation

le peuple. Argot pittoresque, grossièreté du langage populaire, jurons et expressions d'une grande force expressive. Emphase, tournure emphatique avec présentatif « Il y a » le discour direct de Gervaise : interjection « Mon dieu, Ah ! »(l.4), dislocation « mon idéal, ce serait »(l.4), détachement d'un constituant, qui est détaché à l'aide d'une virgule et il y a reprise pronominale. Tous ces éléments correspondent à une recherche d'expressivité qui est le trait le plus remarquable de la langue populaire

(Grand compositeur de cantates religieuses : Jean-Sébastien Bach). Formation vocale et instrumentale. Style : dodécaphonisme, langage musical précurseur (avant-garde) du langage de la musique contemporaine atonale. 12 sons égaux avec sensation de dislocation des mélodies, impression d’une sorte de « désordre ». Ecriture vocale : narrateur qui utilise la technique du parler-chanter (sprechgesang) Construction de l’œuvre : 3 langues. Aspects musicaux différents selon les personnages : le narrateur,

il est « dans son lit » - « (Jean répond par un grognement) » - (Jean) « revient, il est de plus en plus verdâtre » 2. Les éléments sonores Ils concernent d’abord le langage de Jean. S’opère une déconstruction progressive de son discours, une dislocation du langage à travers la syntaxe : Répliques brèves, parfois réduites à un mot ou deux : (Béranger, frappant)  « Jean ! » Paroles plus proches du cri que du discours construit Paroles incompréhensibles où se fait entendre le souffle du fauve Ponctuation

d’une dérive dans le monde de l’imaginaire et de l’impossible. La tâche poétique correspond aussi à trouver un nouveau langage qui ordonne le désordre de ces mots, actualisé par la transgression de certaines contraintes de la versification (dislocation de l’ordre de la syntaxe). → L’expérience de la voyance : l’intégration de toutes les images hallucinatoires favorise des rapprochements inattendus entre les différents éléments des métaphores émergeant dans l’imaginaire du poète. Elle devient

millénaire av J-C : naissance de l'écriture -2éme et 1er millénaire av J-C : temps de la bible -5éme siécle av J-C : apogée d'Athènes -52av J-C : Alésia -1er siécle : diffusion du christianisme -2éme siécle : apogée de Rome - 5éme siécle : dislocation de l'empire Romain

dissolution NaCl On distingue trois étapes : Voir doc 4 et 5 p 173 .a Dissociation du solide ionique La présence des molécules polaires de l’eau entraîne des forces électrostatiques différentes sur les constituants du soluté et provoque sa dislocation. .b Solvatation des ions Les ions (ou les molécules) ainsi libérés s’entourent de molécules d’eau par interaction électrostatique, c’est l’hydratation. Si le solvant n’est pas l’eau, on parle de solvatation. .c Dispersion des ions Les ions

Sarajevo en 1991-1993, alors qu'elle était âgée de onze à douze ans. Elle raconte à « Mimmy » (le nom qu'elle a donné à son journal) l'horreur de la guerre. On l'a vite comparée à Anne Frank en Yougoslavie. La guerre de Bosnie-Herzégovine est la conséquence de la dislocation de la Yougoslavie, elle-même liée à la chute des régimes communistes en Europe de l'Est en 1989. Elle débuta le 6 avril 1992 et s’acheva le 14 décembre 1995. Les efforts de la communauté internationale pour mettre fin au conflit et protéger les

nombreuses phrases exclamatives, fausses interrogatives à valeur exclamative notamment dans les répliques de la reine : « Qu'avez-vous fait ? »(13). Nous remarquons la présence du pathétique il représente la souffrance de Ruy Blas. De plus il y a une dislocation de l'alexandrin c’est à dire à plusieurs reprises il faut plusieurs répliques des 2 personnages pour constituer un alexandrin « Que voulez-vous ? » ; « Que vous me pardonniez, madame ! »(l3-4-5) : 2 répliques ou encore « Jamais ! » ; « Jamais !

dévalorisants pour caractériser ceux qui composent la race française : « chassieux, puceux, transis » ou encore pour leur dénier toute velléité d’idée de changement : « Ni de chaussettes, ni de maîtres, ni d’opinions ».   Mais ce sont l’écart et la dislocation qui caractérisent le mieux ce langage reconstitué de la rue. L’écart par rapport à la norme académique du beau parler, du niveau de langue recherché, se marque par l’emploi de l’argot. Les verbes de parole précédés de « que » : « que j’ai répondu

Pléonasme: Répétition de terme superflue avec la même signification “descendre en bas”. 19) Litote: Utilisation d’une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement 20) Anaphore: Tout le monde connaît 21) Euphémisme: Aussi22) Dislocation: Procédé d'emphase. C’est le détachement d'un constituant en tête ou en fin de phrase et la reprise du constituant par un pronom. 23) Rejet: en poésie, mettre ce qui devrait figurer en fin d’un vers au début d’un autre 24) Contre-rejet: cette fois-ci