Discours Les Femmes Battues

femme dans la société et le concept de laïcité auquel elle est très attachée. Longtemps qualifiée de féministe, cet adjectif, lui est désormais attribué accolé d’anti, tant ses positions sont controversées : elle prône une « ressemblance » hommes/femmes et s’oppose à la lutte entre les sexes. Place de l’ouvrage dans la vie de l’auteur : Fausse route est un essai dont aux dires mêmes de l’auteur (article paru dans le journal « l’humanité », le 20/06/06 ; entretien par Maud Dugrand), la genèse remonte

l'homme a de choisir sa vie mais, contrairement à Sartre, elle emploie rarament le discours philosophique, préférant réfléchir sur le vécu. Avec son oeuvre Beauvoir recouvre de domaines divers: l'existentialisme, les mémoires, le troisième âge et, en parlant de choses différentes, elle considère la séparation des êtres humains et, en même temps, leur union. Simone de Beauvoir sert également beaucoup la cause des femmes en dénonçant la situation d'infériorité dans laquelle la société les a maintenues;

Pour la jeune fille névrosée, le fantasme d'être battue par le père découlerait d'un autre fantasme où le père bat un enfant qu'elle hait, lui prouvant ainsi sa préférence - par rapport généralement au frère ou la sœur. Le fantasme masochiste d'être battu par le père se traduirait par une preuve d'amour du père pour sa fille. Chez le garçon, le fantasme inconscient d'être battu par le père se transforme par un fantasme conscient d'être battu par la mère. Ce fantasme procède donc d'une position

Première partie du Discours sur l’origine des inégalités – Résumé Rousseau décrit l’homme à l’état naturel : c’est un être fort, agile, plus faible mais plus organisé que les animaux de son environnement. Son corps est son seul outil et sa seule arme (Rousseau dit même que l’homme de la civilisation serait facilement battu par l’homme naturel dans un combat). Dépouvru de sens moral, l’homme naturel ni connaît ni le bien ni le mal, c’est un être infra-moral (Rousseau réfute ainsi le vice attribué

Introduction : 1) (1628-1703) période du classicisme, œuvres connues : contes de la mère l’oye et contes du temps passé * Avocat de profession * A travaillé pour le roi et la cour * A fréquenté des salons mondains souvent tenus par des femmes, les contes leurs sont destinés * Connu pour ces contes qu’il a écrit tardivement, à 68ans. Conte= court récit en prose ou intervient souvent le registre merveilleux suivi d’une moralité en vers 2) Il s’agit d’un conte très connu, en particulier

Charlotte”, “Haut”..). L’absence des didascalies serait assez genante car la prise de parole des personnages n’est pas commune. En effet Don Juan coupe la parole de ses deux conquetes pour les empecher de devoiler son secret de promesse de mariage a deux femmes differentes. Chez Mozart- Da Ponte Les didascalies sont essentiellement narratives. On observe une grande difference de taille(elles sont ici bien plus longues) car les didascalies sont des phrases relativement completes. Les indications sont

c’en était un sûrement. » . Cette statue équestre raffine l’aspect martial du personnage d’un soupçon de désinvolture stendhalienne, et c’est ce qui va généraliser son statut d’homme en vue auprès du public féminin (« un de ceux auxquels pensent les femmes » selon Saucisse en III). « Tigre » déguisé en bourgeois puis en dandy, Langlois n’est en rien un homme « comme les autres » si l’on en juge par la manière dont il impose sa supériorité et son prestige... 2. Héros du regard des autres Langlois

couvrant le torse), coiffe et bonnet (couvrent la tête) pour hommes et femmes, au Moyen Âge ; étole (longue écharpe) et surplis (tunique blanche) portés par les prêtres.3 Fabliaux du Moyen Âge Fiche pédagogique T E X T E S C L A S S I Q U E S coRRigéS b. Le seigneur offre sa robe au vilain. Cela peut nous sembler étonnant car aujourd’hui une robe est un vêtement féminin, mais au Moyen Âge elle était portée par hommes et femmes. 4. Les hommes riches, dans ces deux fabliaux, offrent l’hospitalité

/ Deux forces contre l’acte ; et puis je suis son hôte, / Qui devrais contre ses meurtriers fermer la porte, / Non prendre le couteau moi-même » Giono : lors de la veillée mortuaire, les femmes réunies se moquent des conventions sociales et des convenances (p27). Elles sont battues en brèche par un discours libre et libéré de toute contrainte de bienséance qui convoque le mal : médire en vue de se divertir et tuer l’ennui. Les crimes moraux abondent dans l’œuvre : meurtre, inceste

des droits de la femme et de la citoyenne, qui considère le droit des femmes, leur statut assurément oublié dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789).Olympe de Gouges est considéré tel un symbole féministe marquant de la période révolutionnaire. L’extrait auquel nous sommes confrontés est le postambule de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, ODG cherche à réveiller la conscience des femmes pour qu’elle réagisse et réclame ce qui leur est dû. Ainsi nous pouvons