Discours Ironique Voyage Au Bout De La Nuit

L'ailleurs de l'Orient : metadiégèse et signification dans le voyage en Orient de Nerval Suivi de Littérarité et anthropologie dans le Voyage en Orient de Nerval (1996) Suivi de Constantinople, miroir de l'orientalité ? Guy Barthèlemy[1] *** L'ailleurs de l'Orient : metadiégèse et signification dans le voyage en Orient[2] de Nerval I - Problématique nervalienne de l'Ailleurs Le Voyage en Orient de Nerval constitue l'une des oeuvres les plus riches auxquelles ait donné

....................................................................12   Guillaume Apollinaire, « La Chanson du Mal-Aimé » ...................................14   Guillaume Apollinaire, « Nuit rhénane » ........................................................14   Alfred de Musset, « La Nuit de décembre » ...................................................15   Aragon, « Le cri du butor » (extraits)..............................................................16   Alfred de Musset

cette condition de lui prendre ce qui, à première vue, n’a pas de valeur : son ombre. Or, Peter Schlemihl, une fois dépourvu de celle-ci, ne sera même plus l’ombre de lui-même. En classe de Quatrième, ce récit court permet d’envi- sager à la fois le discours narratif et le registre fantas- tique ; en outre, il nous invite à aborder des genres comme l’apologue ou le conte hoffmannien, et des thèmes comme la métamorphose, la présence diabo- lique, l’argent. Une telle variété fait que ce best-seller des

appelle un hypotexte et un hypertexte, texte apparent. Genette va recenser 5 types de transtextualité (dont trois nous intéressent) : a. L’architextualité. La relation d’un texte avec des catégories général, un texte s’inscrit dans un type discours, le genre, le mode d’énonciation ; on a d’emblée un certain type de perception, une certaine attente, on ne lit pas un poème comme un texte en prose. b. La métatextualité. Cela concerne les textes qui sont des critiques ou des commentaires de

|amplification traduisant l'émotion ou apportant un souffle épique |ex. 1 : | | | |(ex. 1), éventuellement avec un effet ironique ou plaisant (ex. 2) |« Semble élargir jusqu'aux étoiles | | | | |Le geste auguste

vivante (p. 13-18) avant que les personnages 2 n’aillent se coucher (« chacun s’alla coucher », p. 18). Cependant, ce conte com‑ porte un aspect merveilleux par les origines du prieuré, racontées avec l’histoire de saint Dunstan. Celui-ci voyage sur une montagne personnifiée qui lui tient lieu de moyen de locomotion et qui pourrait faire écho aux tapis volants des contes : « sur une petite montagne qui vogua vers les côtes de France », « qui lui fit de profondes révérences » (p. 11). Par

La notion de Discours La grande extension du concept discours le rend difficile à appréhender. Tantôt, il est synonyme de la parole au sens saussurien, tantôt il désigne un message pris globalement.Dans l’œuvre de Benveniste (1966), il est défini comme "toute énonciation supposant un locuteur et un auditeur et chez le premier l’intention d’influencer l’autre en quelque manière" (p.242).Chez Jaubert (1990), c'est "du langage en situation" (p.22). Selon Widdowson, c’est "l’utilisation d’énoncés en

d’ajouté au texte qui dans une certaine mesure le classe. Il nomme le texte; il affirme quelque chose sur le texte, ne serait-ce qu’à travers la connotation. Il y a de bons titres et il y a de mauvais titres; il y a des titres trompeurs; titres ironiques et titres-puzzles. (Voir Grivel.) Tous les titres sont paradoxaux parce que, comme l’indique leur disposition sur la page, ils sont à la fois une partie –saillante– du texte et en sont séparés. Les titres ne sont pas des déictiques vides, comme les

touchant le lecteur. En effet, que ce soit sous la forme d’un poème tel que le dormeur du val, où Rimbaud dénonce l’horreur des combats en faisant le spectacle de la mort d’un jeune soldat, ou encore sous la forme d’un roman engagé tel que Voyage au bout de la nuit où l’écrivain Céline fait découvrir à son héros Bardamu la violence et l’absurdité de la guerre, en utilisant le cynisme et l’ironie. De plus, les écrivains peuvent avoir recours à un réalisme cru dans le but de choquer, de sensibiliser le

assouvirTon moindre désirQu'ils viennent du bout du monde.- Les soleils couchants  Revêtent les champs,Les canaux, la ville entière,D'hyacinthe et d'or ;Le monde s'endortDans une chaude lumière.Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, “ Invitation au voyage”, section Spleen et Idéal,1857.  “Invitation au voyage”, Les Fleurs du Mal