Discours Ironique Voyage Au Bout De La Nuit

Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) J’allais faire cette démarche décisive quand, à l’instant même, arriva vers nous au pas de gymnastique, fourbu, dégingandé, un cavalier à pied (comme on disait alors) avec son casque renversé à la main, comme Bélisaire, et puis tremblant et bien souillé de boue, le visage plus verdâtre encore que celui de l’autre agent de liaison. II bredouillait et semblait éprouver comme un mal inouï, ce cavalier, à sortir d’un tombeau et qu’il en avait tout mal au cœur

des brigands ! Je vous demande un peu, Il jouait ce matin, là, devant la fenêtre ! Dire qu'ils m'ont tué ce pauvre petit être ! Il passait dans la rue, ils ont tiré dessus. Monsieur, il était bon et doux comme un Jésus. Victor Hugo "Souvenir de la nuit du 4" ,1853 Dans cet extrait, le registre pathétique s'exprime par la bouche de la grand-mère. Phrases exclamatives, questions rhétoriques et comparaisons soulignent toute la douleur et l'incompréhension de la vieille femme. 2-Le registre tragique

à la fin de la pièce. Ils se font tous avoir par Knock (d’où le « triomphe, d’ailleurs), par des procédés pourtant basiques. On peut s’inquiéter de la crédulité de toute une population, même de Parpalaid, et déjà s’interroger sur l’impact d’un discours soi-disant expert sur des hommes qui en sont dépendants, même à l’heure actuelle. Tous incarnent les manipulations autour de la peur, que l’on retrouve souvent en politique. Knock parvient à les convaincre, et les persuader d’ailleurs, qu’ils vont

représente la passion fidèle, l'amour du chevalier pour sa dame. 2 – Le roman parodique : XIIème et XIIIème siècles. Un anonyme met en scène des animaux comme le goupil prénommé Renart : C'est le Roman de Renart. Ce sont des aventures amusantes, ironiques, comiques, satiriques. 3 – Le roman rabelaisien : Rabelais écrit les aventures de Pantagruel et Gargantua qui sont des personnages imaginaires, très humains, qui proposent une réflexion sur l'existence et le monde. C'est l'humanisme. Les romans

l’effet de surprise ou le raisonnement par l’absurde. Procédés utilisés : jeux de mots, de sonorités, répétitions, énumérations, comparaisons amusantes, noms inventés ou déformés, exagérations, propos absurdes, familiers. ➢ Le ton ironique : Il dénonce au second degré quelque chose d’inacceptable. Il critique d’une manière indirecte. Une connivence s’établit entre l’auteur et le lecteur. Procédés utilisés : antiphrases, juxtapositions, exagérations

verbale, la caricature, l’effet de surprise ou le raisonnement par l’absurde. Procédés utilisés : jeux de mots, de sonorités, répétitions, énumérations, comparaisons amusantes, noms inventés ou déformés, exagérations, propos absurdes, familiers. Le ton ironique : Il dénonce au second degré quelque chose d’inacceptable. Il critique d’une manière indirecte. Une connivence s’établit entre l’auteur et le lecteur. Procédés utilisés : antiphrases, juxtapositions, exagérations, atténuations déconcertantes, mots

- Des antonymes : « été/hiver, Paris/campagne, apparaissent/disparaissent, autrefois/aujourd’hui. » II. Quand une satire en masque une autre. - Une comparaison évoque « la manière & façon de vivre des français » et le mode de vie & discours du roi ( : puissance & influence sur ses sujets). L’émetteur de cette pensée est-il toujours le persan ? - Marques

Séquence 1 : Comment les hommes parlent ils de la guerre ? Texte 1 : Ronsard, Discours des misères de ce temps, 1562, humanisme Introduction : Ronsard, s'inscrit dans le mouvement humaniste. Il écrit en 1562 un poème adressé à Catherine de Médicis, la reine de France. Ce poème est Discours des misères de ce temps. On distingue dans cette poésie, la division entre les catholiques et les protestants (Ronsard était catholique). Ronsard crée un effet de suspens pour appuyer sur la haine qu'il leur

verte», le lieu «la niche», le fossoyeur sale et soûl) 2) La cruauté de la misère, monde sans pitié (l'ignorance de voisins, le discours du Père Bazouge, utilisation du discours direct il la tutoie, «tout le monde» et «on» reviennent souvent) 3) Un regard impitoyable et sarcastique : « Joliment soûl ». Antithèse entre réflexions philosophique et le discours du Père Bazouge. Présence de l'émotion : une touche lyrique Dans le récit : changement de point de vue « Fut

Nous allons étudier un extrait de Voyage au bout de la nuit de Céline. Dans cet extrait, le personnage principal et narrateur, Ferdinand, décide de suivre un régiment militaire qui passe en ville. On se demandera en quoi le narrateur est en marge du monde qui l’entoure : un picaro. Dans un premier temps nous constaterons que cet extrait peint au premier abord un décor de fête qui valorise Ferdinand, puis nous observerons que le personnage de Ferdinand est en réalité un anti-héros, et enfin nous assisterons