Discours Directe

Fables de La Fontaine, l'Orateur Grec essaie de prévenir son peuple face à un danger mais le peuple ne l'écoute pas. Le discours direct n'intéresse pas la foule. Mais quand l'Orateur passe au discours indirect par le biais de la fable de Cérès, tout le public s'est éveillé. Il préfère les histoires divertissantes, amusantes, les petites {text:soft-page-break} anecdotes passage direct à la réalité. Comme quoi utiliser la violence, ou être brutal pour faire passer un message n'est pas toujours efficace

discourt direct + imparfait) – *Lyse/geôlier* : la comédie de l’amour de L : elle fait semblant de l’aimer-> C - augmentation de la tension dramatique : changemt de rythme + opposit° Par l’hypotypose / dans la relation entre Lyse et Isabelle : Lyse met en scène son récit par l’hypotypose Lyse : expressivité + donne l’impression à I et au spectateur d’assister à la scène de sa rencontre avec le geôlier. Elle emploie tt d’abord : Un discourt au présent v1111 Discours direct

saptio/temporelSpatio= espace (où)Temporel= temps (quand) C’est pour situer où et quand se déroule l’histoire (date, une saison, un jour et un lieu, ville) Discours direct: - «J'en ai marre de ces mésaventures!, me répétait-il. Je veux retourner en France!... Oh, la la, ce que la vie..., ce que la vie peut devenir insupportable à tes côtés, ma chère!» Discours indirect Il me répétait qu'il en avait marre de ces mésaventures-là et qu'il voulait retourner en France. Il rajouta que la vie pouvait devenir insupportable

est désorienté et désemparé suite à la mort de son épouse. Cependant, les circonstances de l’écriture s’estompent dans une forme dialoguée avec une déesse rencontrée dans la forêt. Le dialogue, est introduit avec le discours indirect dans la 1ère strophe et dans le discours direct grâce aux guillemets de la 2ème et dernière strophe et avec un tiret dans la 3ème strophe. L’auteur exprime donc la souffrance sous la forme d’un dialogue avec une présence divine ce qui pourrait faire penser à un conte

capable de défendre ses idées dans un débat. Objectifs/habiletés: -analyser et interpréter le discours littéraire (dimension culturelle et esthétique) -identifier les caractéristiques du texte théâtral -dire une réplique d'une scène tragique (dramatisation, jeu) -faire le compte rendu oral et écrit d'une œuvre littéraire Pré acquis: les élèves sont déjà initiés au discours théâtral (la comédie en T.C), ils savent manipuler une grille d'évaluation d'une prestation orale

le rôle de ce récit dans la pièce ? I- Un discours narratif : 1/les temps 2/la construction rhétorique : -exorde :on attire la bienveillance de l’auditoire en présentant le sujet du discours -narration : exposé des faits, récit -confirmation :on rassemble les preuves ou arguments destinés à prouver ce qu’exposait la narration, si le récit n’avait pas de but argumentatif, il se peut que cette partie n’y soit pas. -la péroraison :conclusion du discours :elle vise à émouvoir le destinataire 3/le

transitions   d’une   partie  à  l’autre.     Analyse  du  texte  (et  des  intérêts  du  texte)   5. Narratologie     Narrateur,   type   de   focalisation,   type   de   texte,   présence   de   discours   direct   ou   indirect   libre  ;   étude   de   la   temporalité  (vitesse  de  narration,  marqueurs  temporels,  temps  verbaux)   6. Le  décor,  le  ou  les  lieux   Analyse  des  expressions  désignant

s'arrêta. Ici, le passé simple exprime une action brève et soudaine par rapport à l'arrière-plan exprimé par l'imparfait. c. Le passé simple à aspect de successivité : Celui-là exprime des actions qui se succèdent : Il parla, se tut, reprit son discours, but une gorgée d'eau et remercia l'assemblée. Ici, on observe une suite d'actions qui se déroulent les unes après les autres. d. Le passé simple à aspect global : Le passé simple donne aussi une vision globale d'un fait (le plus souvent historique)

situe l’esprit du passage: les verbes sont presque tous des verbes pronominaux qui marquent le courage de l’aveu (se constitua, se juger lui-même, s’avoua, se demanda). Le discours indirect marque ainsi le travail de la conscience de JV, en reproduisant avec un « effet de sourdine » sa parole intérieure : l’absence du discours direct suggère l’état d’un homme démuni, assommé par ce qui lui est arrivé. C’est sa réflexion qui l’amène à « faire le point » pour la 1ère fois. 2. La mise en évidence de

comment l'absurdité du procès est-elle rendue dans cet extrait de L'Etranger ? La plaidoirie de l'avocat qui révèle une critique du système judiciaire Les indices d'une plaidoirie en faveur de Meursault La dimension caricaturale du discours Le procès comparable à un vaste théâtre (notion de mise en scène, présence de rituels codifiés, vidés de tout sens) Meursault, étranger à son propre procès : une conséquence du déroulement même du procès Le héros exclu de son propre