Discours Directe Bougainville

il juge (jugement personnel) = il est aux obsèques de la lionne. 2) Le discours directe: discours du monarque = lion (changer de ton, sa voix). La Fontaine rapporte les paroles du roi en discours indirect libre. 1/3 de la fable est du discours direct = beaucoup. Enchâsser dans le discours du Cerfs. 3) L'alternance métrique : octosyllabes = convient à la rapidité du récit, faut pas ennuyer le lecteur. Monarque discours = alexandrins éviter la monotonie. L'enjambement fait penser à une fable en

tradition picturale des  « Vierges à l'enfant » . Par la suite, on apprendra qu'elle s'appelle Marie ! Une rencontre fantasmée l'absence d'échange La focalisation ne correspond qu'au point de vue de Frédéric. Le discours indirect libre traduit l'état intérieur de Frédéric auquel rien ne répond du côté féminin. « leurs yeux se rencontrèrent » n'apparait qu'à la fin et ne débouche pas vraiment sur un véritable coup de foudre avec la réciprocité et les effets

L’énumération continu, tout brûle, lieux religieux, politique et commerce. Accélération avec les virgules et les 8 choses qui brûlent. Précision géographique sur le trajet du feu V.18 : Phrase paragraphe qui vient interrompre la description. Discours direct mais sans ponctuations. Peut-être premier jour du bombardement ou premier jour du combat ou premier jour de l’enfer. On ne sait pas… V.19 à 21 : Description, il voit mal. On sait ou il est. Description sonore : « cloches des ambulances », «

pays ? Plan : I) Un discours rapporté dans le conte merveilleux II) L'éxagération du discours III) La caricature I) Un discours rapporté dans le conte merveilleux a) un conte merveilleux • le récit est à la première personne : Gulliver est le narrateur de ses voyages. •registre comique : le roi domine physiquement Gulliver car il est chez les géants •registre merveilleux : Gulliver est chez les géants qui sont des personnages merveilleux. b) des discours rapportés •La narration

s'arrêta. Ici, le passé simple exprime une action brève et soudaine par rapport à l'arrière-plan exprimé par l'imparfait. c. Le passé simple à aspect de successivité : Celui-là exprime des actions qui se succèdent : Il parla, se tut, reprit son discours, but une gorgée d'eau et remercia l'assemblée. Ici, on observe une suite d'actions qui se déroulent les unes après les autres. d. Le passé simple à aspect global : Le passé simple donne aussi une vision globale d'un fait (le plus souvent historique)

Raymond Queneau Récit in medias res : directement dans l’action. But : surprendre, choquer. Remise en question du langage. I.Un échange qui tourne au vinaigre. 1. Monologue intérieur : pensées du personnage. Il se présente comme du discours indirect, mais il n’y a pas d’échange (« se demander » l.1). La visée est de rentrer dans l’action. La pensée du personnage est un moyen de le connaître, et on entre dans la fiction par le « flux de conscience ». Le personnage, qui déteste l’odeur

interlocuteurs : le je et le vous mais renforcé par « à vous, à moi » •Aspect mimétique du texte : mime la simultanéité entre le dialogue et sa lecture B. Le dynamisme du dialogue argumentatif •Jeu sur les différents discours (discours direct mais aussi indirect) : Recours au discours indirect pour plus de rapidité, encore renforcé par l’asyndète et créer un effet de synthèse, car cela supprime les marques d’oralité. •La possibilité d’écarter un certain nombre de problèmes et de recentrer le débat

révolu -v.2 « regardaient » = description - « Vous êtes » = discours (ponctuation) - « S’éloigne » = discours ? Description ?  Juxtaposition des temps (// cubisme), éclatement temporel 2) Mélange des genres et des registres Elégie, tristesse « Or » en début de vers, qui n’introduit pas un élément narratif ð Surprise Mélange de discours direct « Qui donc… » Et de description intemporelle Eléments lyriques traditionnels

dans la réplique suivante : "Ma marraine par-ci : je voudrais bien par l'autre; et parce qu'il n'oserait seulement baiser la robe de Madame, il voudrait toujours m'embrasser , moi" (réplique 14). Elle est l'auteur fidèle par l'utilisation du discours direct : "tu ne l'auras qu'avec ma vie" lorsqu'elle imite le jeune page à la réplique 12. Cependant, elle a la qualité d'interprète : "c'était un lion" (réplique 12), elle utilise la métaphore du passionné : "ce petit démon là" (réplique 14). "Est ce

LA MAISON DE CLAUDINE . Colette 1, Les propos du discours direct (les deux premières paroles/tirets) sont prononcés par Colette à propos de deux de ces amies 'm'a dit une amie'. La modalité de phrase dominante est la modalité interro-négative « elle ne coud pas ? » ; « elle ne sait pas coudre ? ». Colette et ses amies les utilisent pour abaisser sa fille et la faire rendre compte qu'elle est en retard par rapport aux autres filles. C'est aussi, surtout de la part de ses amies, un signe péjoratif