Différences Entre Classiques Et Néoclassiques

fonctions de la monnaie Depuis Aristote il est convenu d'attribuer à la monnaie trois fonctions. Ainsi la monnaie est-elle en même temps :- une unité de compte- un intermédiaire des échanges- une réserve de valeur. À ce propos, l'opposition entre classiques et keynésiens est grande, les premier ne reconnaissant par à la monnaie cette dernière utilité. Pourtant la détention de monnaie présente deux avantages par rapport à la détention d'actifs réels et financiers. 1) la monnaie est immédiatement

Chapitre 0 : Histoire de la pensée économique I) La pensée pré-classique A. La genèse de la raison économique : les écrits dit mercantilistes (monnaie, marchands et le Prince) Découverte des Amériques ( pillages or et argent ( arrivée d’or ++ en Europe (dès 1503) Espagne = puissance dominante Les métaux précieux affluent ( montée des prix (grande inflation entre 1475 et 1590) Et la stabilité des salaires nominaux ( baisse salaires réels (-50%) ( révoltes et troubles sociaux Réponse

faut partir de l’observation. p. 1 Robbins va s’en prendre à l’école historique Allemande, ils n’ont rien compris, les fondements ne peuvent pas être induit de l’histoire. « La science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens rares à usage alternatif » Robbins. Les fins ont les prends comme des données, donc les finalités peuvent être n’importe quoi, l’économie est donc indépendante des valeurs humaines (pas de problème avec le meurtre par exemple)

Samuelson dénonce les incohérences et les approximations du discours économique classique et prône l'utilisation des mathématiques pour mieux comprendre les phénomènes économiques. Il y explique comment on peut déduire des « lois » à partir des comportements individuels, et ceci dans une perspective d'équilibre général, et y formule mathématiquement la théorie du « tâtonnement walrasien » = un commissaire annonce alors un prix, et recueille toutes les intentions de demande et d'offre. Si celles-ci

|L'architecture entre le | |XVIéme et le XVIIIéme siècle | | | |-La période baroque-

manière là de la part de l'économiste. En chacun, certaines actions sont destinées à l'intérêt général : dons, entre aide par exemple. Mais les économistes s'en fichent un peu de ça ! Est ce que la poursuite de l'intérêt personnel chez chacun peut mener à l'intérêt général bien constitué, de manière équilibrée ? Réponse du courant libéral : Réponse positive. Compatibilité entre la poursuite de l'intérêt personnel et l'intérêt général. Cet état d'harmonie est appelé l'équilibre. Toute action

production, la consommation et la répartition qui sont à l’origine des enjeux principaux de la vie économique. La science économique est donc la science des choix. Les principaux courants de pensée économique Le courant libéral, classique et néoclassique Libéralisme | Capitalisme | État-gendarme | Liberté d’entreprendre Liberté d’échanger | Propriété privé des moyens de production Système économique régulé par les mécanisme de marché | Pas d’intervention de l’Etat dans l’économie Fonctions

le niveau des agrégats économiques associés. Cette approche va se distinguer des auteurs Néo Classiques, car leur particularité était que leur approche était micro-économique, ces économistes cherchent à représenter le fonctionnement d’un marché donc ils représentent et expliquent la manière que dont les agents économiques prennent leurs décisions au niveau individuels. Pour ces auteurs Néo Classiques, ils expliquent comment un ménage choisi de consommer ou comment une entreprise décide d’investir

croissance endogène sont un ensemble de modèles, apparus au milieu des années 1980, qui rendent compte des causes de la croissance, de ce qui permet une augmentation durable de la production (PIB) et du niveau de vie (PIB/tête) d’un pays. A la différence des néoclassiques, pour qui la croissance est le fait de facteurs exogènes au modèle (dont le progrès technique), ces théories expliquent la croissance comme étant le résultat d’une accumulation des différents types de capital (physique, humain, public…)

provoque l’augmentation des dividendes. - L’achat de titres car les agents sont incités par les beaux résultats des entreprises. C’est le début de la spéculation boursière. Résultats : Entre 1920 et 1929, le prix des titres a été multiplié par 20. La spéculation boursière créée une déconnexion croissante entre économie réelle (c'est-à-dire l’économie concrète de la production) et économie monétaire. Il faut donc une correction de cette déconnexion qui intervient avec le krach. Conséquences :