Différence Classique Néoclassique

LE FINANCEMENT DES DEPENSES PUBLIQUES Cet objectif correspond à la première mission des prélèvements obligatoires. C’est une tradition ancienne que l’on peut aisément faire remonter à la pensée économique classique. Chez les Classiques, la principale fonction attribuée à l’Etat est la protection de la propriété. Donc dans cette perspective, l’impôt doit correspondre au service rendu, l’impôt est le paiement de l’Etat pour la protection qu’il garantit. On est ici dans la doctrine du bénéfice

Keynésiens et néoclassiques 5 Chapitre 1.2 : Revenus, inégalités, prélèvements obligatoires, redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne 14 I. Introduction 14 II. L’analyse keynésienne de la consommation 16 III. Les reformulations keynésiennes 17 IV. L’offensive néo-classique 19 Chapitre 1

fonctions de la monnaie Depuis Aristote il est convenu d'attribuer à la monnaie trois fonctions. Ainsi la monnaie est-elle en même temps : - une unité de compte - un intermédiaire des échanges - une réserve de valeur. À ce propos, l'opposition entre classiques et keynésiens est grande, les premier ne reconnaissant par à la monnaie cette dernière utilité. Pourtant la détention de monnaie présente deux avantages par rapport à la détention d'actifs réels et financiers. 1) la monnaie est immédiatement disponible

càd accumuler des biens précieux (or et argent) afin de financer les dépenses de l’Etat et de financer les guerres • L’Etat exerçait un contrôle sévère du commerce extérieur en limitant la concurrence des autres pays en favorisant l’exportation Classique Le libre échange est considéré comme un jeu positif. Pour Adam Smith : Il justifie l’échange par la loi de l’avantage absolu. - La spécialisation de l’économie dans les activités (les ressources) qu’elle possède. - Autrement dit chaque pays

Incapables physiques ou mentale. => POPULATION INACTIVE. P, V* : Femmes au foyer, rentiers, étudiants (non-salariés) => RESERVE DE POPULATION ACTIVE. P, V : POPULATION ACTIVE OCCUPE. P*, V : Chômeurs. La population active potentielle. Différence entre la population totale et les effectifs des inactifs. Problème : définir les bornes d’âge. Borne inferieur : 16 ans Borne supérieure : beaucoup plus floue. Surement l’âge de la retraite mais en fonction des catégories il y a plusieurs âges

et le reste est dans le secteur tertiaire et ne faisait pas partie de l’éco pour Smith. Au 19éme, JB Say étend l’éco à tout ce qui a une utilité, c-à-d tout ce qui réponde à un besoin. Say dit que les biens matériels et immatériels n’ont pas de différence ce qui compte c’est de savoir si ce qu’on a produit répond une demande. Les biens immatériels, le secteur tertiaire constituent dans les sociétés l’essentiel de la production et de la conso. (Dans un pays comme la France l’agriculture représente

------------------------------------------------- Chapitre 9 : L’équilibre macroéconomique keynésien. L’APPROCHE KEYNESIENNE DE LA MACROECONOMIE. La logique de l’approche keynésienne : elle inverse le postulat de départ de l’analyse néoclassique. * Pour les libéraux, les prix sont parfaitement flexibles et assurent un équilibre automatique et instantané de l’O et de la D sur touts les marchés. * Pour Keynes, les prix sont rigides à court terme car pour lui la plupart des marchés

qui s’est intéressé à l’accumulation de l’or ou de métaux précieux comme source de la richesse d’une nation; puis au début de la Révolution Industrielle avec le courant Classique de Smith qui s’est penché sur l’analyse de la répartition de la richesse des nations) et la science de la rareté développée par le courant Néoclassique . Puisque tous les biens nécessaires ne sont pas disponibles en abondance à l’état de nature, l’homme doit les produire. Les ressources (travail, terre) n’étant pas illimitées

Les grands courants de la pensée économique A- Les grands courants de la pensée économique 1)Les économistes classiques et l'émergence de la science économique 2)L'économie chez Marx 3)Les néoclassiques 4)L'analyse keynésienne Modification de la société économique , on va voir des évolutions dans les sciences (au 17eme on passe de l'alchimie à la physique, découverte de l'électricité). Apparition de progrès dans l'industrie avec le métier a tisser. On voit également apparaître des progrès

II Les théories traditionnelles de la croissance Les nouvelles théories de la croissance puisent une large part de leur idée dans les courants plus anciens. Les classiques, les keynésiens, et les néo-classiques s’intéressent sur une question centrale : une croissance durable est-elle possible ? 1 Les économistes classiques Les premiers à analyser la croissance sont Adam Smith (1776) et David Ricardo (1819). Il résume la croissance a l’accumulation du capital : la quantité des instruments