Différence Classique Néoclassique

l'emploi la plus répandue → s'explique à partir 90s mécanisme de file d'attente Néoclassiques : offre de travail est un bien endogène, dépend du prix (je préfère travailler quand je suis bien payé) Piore et Doe Ringer : travaillent sur la segmentation ou le dualisme du marché du travail en distinguant un marché primaire et un marché secondaire (prennent exemple du travail aux États-Unis) → récusent la thèse néoclassique : le marché du travail n'est pas homogène. Marché primaire : concentre les

partie : les classiques ; quelle est l’analyse de la croissance et des crises selon les classiques ? Deuxième partie : analyse marxiste de la croissance et des crises. Troisième partie : dynamique de la croissance et des crises chez Keynes, en insistant sur les déterminants financiers de l’accumulation du capital, et de la crise en analysant les logiques spéculatives. Quatrième partie : modèles post-keynesien, analyse financière et analyse de la répartition. PARTIE 1 : LES CLASSIQUES : Chapitre

comparaisons, j’essayerai d’établir ma théorie classique typique dans une forme semblable à celle dans laquelle M. Keynes a établi la sienne ».  Hicks construit donc un modèle mathématique, destiné à montrer que la Théorie générale représente un cas particulier de ce modèle.  C’est exactement l’inverse de la volonté exprimée par Keynes : faire de la théorie classique (néoclassique) un cas particulier de sa Théorie générale.  Selon Keynes la théorie classique retrouve ses droits seulement au voisinage

3) L’équilibre comptable et économique Le marché est un équilibre (vision économique) lorsque l’offre est égale à la demande et qu’il n’existe plus de force agissant dans un sens ou dans un autre pour modifier l’offre ou la demande. La différence entre la vision comptable et la vision économique de l’équilibre est, d’un point de vue comptable, un marché toujours équilibré, en ce sens que la valeur des ventes est nécessairement égale à la valeur des achats. Exemple : Il faut tenir la

dans les échanges. III) Les courants de la pensée économique Les économistes s’accordent sur une périodisation qui commencerai avec un courant * Mercantilisme=>physiocratie=>pensée classique=>courant néo-classique * Keynésianisme=>synthèse=>nouvelle économie classique=>contre-révolution keynésienne Selon cette perspective, les modes de penser s’enchainent presque mécaniquement, mais comment s’effectue cet enchainement ? Y a-t-il des continuités, des révolutions

School mais avec une forme différente : Credit School & Quantity School. 2 générations d'économistes qui se concentrent dans 3 villes : Boston, NY et Chicago. 1ère génération des quantitativistes : F. Amasa Walker (quantitativiste mais à la différence de Fisher il défendait le bimétallisme, proche de Ricardo) et JL Laughlin. La 2ème génération a sa propre théorie plutôt. La théorie quantitative de la monnaie de Fisher J. Bodin au XVIe siècle. Fisher a tous les outils mathématiques, arrive

forme de projection d’un auteur quant à ses rapports aux autres auteurs : concurrence, émulation, opposition frontale. On voit que tout ce dont je viens de parler pourrait s’appliquer à un domaine professionnel différent. Ce qui fait la grande différence entre la façon dont nous allons aborder des réalités théâtrales et la façon dont on aborde le métier de romancier par exemple ne tient pas au fait qu’un auteur se représente des formes de succès possibles, mais tient à ce que la pratique d’auteur

population peut croitre selon une progression géométrique cad passer de 1a2, de4a8… si elle ne rencontre pas d’obstacle, alors que la production croit selon une production arithmétique 1,2,3,4,5… la loi des rendements décroissants. Ricardo (école des classiques) « l’augmentation de la production pour faire face a l’augmentation de la population oblige a mettre en culture des terres de moins en moins fertiles, ce qui diminue le rendement global de la terre ». La version donnée par les marginalistes « lorsque

théoriques et appliqués 22 Chapitre 3: Les options théoriques de l'équilibre macro-économique 23 Section 1 : L'approche néoclassique 23 I- De l'héritage classique aux prémices de théorie néoclassique 23 A- La conception d'ensemble des grands classiques 23 B- La loi des débouchés 24 C- La théorie quantitative de la monnaie 24 II- L'équilibre macro-économique néoclassique 26 A- Les hypothèses 26 B- Le marché du travail 27 C- Le marché du capital ou marché des fonds traitables 28 Section

les limites de cette hypothèse. I. Les hypothèse d’une concurrence pure et parfaite Le modèle de la concurrence pure et parfaite se définit par un certain nombre d'hypothèses essentielles et constitue l'un des fondements de la théorie néoclassique. Ce sont ces hypothèses qui permettent de comprendre la détermination du prix sur le marché, le comportement de la firme ainsi que le fonctionnement des mécanismes des marchés. a) Théorie des 6 hypothèses Le modèle de concurrence pure