Die Panne

d'accélérer les flux physiques en évitant les pannes, en diminuant les temps de changement de série, en améliorant la qualité, en développant la polyvalence des opérateurs, etc... La maintenance préventive et prédictive, le SMED (Single Minute Exchange of Die) [SHINGO 90], la TPM (Total Productive Maintenance) [NAKAJIMA 89], le SPC (Statistical Process Control)[VINCENT 93], sont des méthodes de plus en plus mises en œuvre dans les entreprises. - de rendre les flux informationnels plus cohérents et de faciliter

Council, New York. - New York : New Press, 2002. - VIII, 290 p. ; 24 cm. - Includes bibliographical references (p. [243]-272) and index. - ISBN 1-56584-771-7. Cote : 327.092-HER-2002Czempiel, Ernst-Otto. - Weltpolitik im Umbruch : die Pax americana, der Terrorismus und die Zukunft der internationalen Beziehungen / Ernst-Otto Czempiel. - München : Beck, 2002. - 229 p. ; 19 cm. - (Beck'sche Reihe). - Notes bibliogr. Index. - ISBN 3-406-49416-1. Cote : 12° 042.309David, Dominique. - Un an après le 11

permet d'éviter d'avoir un contrôle seulement à la fin de la production car cela serait trop couteux de les faire refaire. L'objectif est la qualité du produit et la réduction des coûts en évitant les rebus. - méthode SMED (Single Minute Exchange of Die) : c'est la réduction des temps de préparation et de réglage des machines (changement de l'outil en moins de 10 minutes). Shingo à contribué à la flexibilité de l'appareil industriel japonais et à l'amélioration de la qualité. * T. Ohno est

évoqué le problème des ascenseurs. « 455 ascenseurs sur les 1456 existants sur le territoire national (logements AADL) sont tombés en panne durant le premier semestre de l’année en cours, a-t-il fait savoir. Ce qui a coûté près de six milliards de centimes à cette agence publique, selon son DG. Alors qu’en 2012, à peine 600 ascenseurs sont tombés en panne durant l’année complète, pour des réparations ayant coûté quelque 5 milliards de centimes. Rien qu’au mois de Ramadhan, « plus de 1200

les années 1970, cherche à réduire les coûts et les délais par la production à flux tendus, c’est-à-dire sans attente ni stock. Le JAT a été popularisé par le slogan des 5 zéros à atteindre (zéro papier, zéro stock, zéro défaut, zéro délai, zéro panne) qui symbolise la qualité totale. Un enjeu essentiel : la suppression des stocks Pour les auteurs Japonais, le JAT est plus qu’un modèle de gestion de production : c’est une philosophie. Ainsi, pour les Japonais, les stocks ne sont pas un régulateur

d’opérations élémentaires. *Spécialisation de la MOD & M/ches. *Chaque produit possède la même séquence d’opérations. *Existence d’un système de transport autonome des pièces entre poste de travail. ***Inconvénients : Vulnérabilité du système aux aléas : Panne ; Absentéisme…. *La chaîne peut être monter en : Ligne; S; U… **Une telle organisation suppose la réponse aux éléments suivants: 1/Evaluation de la charge de travail 2/Détermination du nombre nécessaire d’opérateurs. 3/Répartition des opérations de

proportions (PROP) ............................................ 27 Plages, nombre de chiffres et précision des calculs ..........29 Erreurs .................................................................................... 30 Avant de conclure à une panne de la calculatrice... .......... 32 Remplacement de la pile....................................................... 32 Spécifications ........................................................................ 33 Foire aux questions...................

surgelés qu'il va vendre à ses clients. La sécurité de l'installation est également importante. Beaucoup de clients désirent que toute l'installation ne soit pas raccordée sur la même centrale. Ceci peut permettre de sauver la marchandise en cas de panne en la transférant dans les meubles et les chambres froides qui fonctionnent. Cette sécurité a bien évidemment une influence sur le coût d'investissement et sur les performances de l'installation. La sécurité du public est importante. Les composés fluorés

119 Fonctionnement en îlotage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .119 Reconnexion au réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .119 Fonctionnement en réseau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .120 Panne de secteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .121 Dysfonctionnements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .121 Limitations et régulation de puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . .122 Fonctionnement

l'écran si possible (le matériel d'affichage n'étant pas forcément encore initialisée ou bien pouvant être défaillant) ; • émettre un signal sonore, sous forme d'une séquence de bips (beeps en anglais) permettant de diagnostiquer l'origine de la panne ; • envoyer un code (appelé code POST) sur le port série de l'ordinateur, pouvant être récupéré à l'aide d'un matériel spécifique de diagnostic. Si tout est correct, le BIOS émettra généralement un bip bref, signalant qu'il n'y a pas d'erreur