Diderot Voltaire Montesquieu

entretien avec un certain M.Huet, (1) entre 1762 et 1768, lorsqu'on demande à Voltaire ce qu'il pense de Montesquieu dit « je cherchais un guide dans un chemin difficile ; j'ai trouvé un compagnon de voyage qui n'était guère mieux instruit que moi ; j'ai trouvé l'esprit de l'auteur, qui en a beaucoup, et rarement l'esprit des lois ; il sautille plus qu'il ne marche, il brille plus qu'il n'éclaire ». Voltaire reproche à Montesquieu la critique du despostime qu'il a faite dans l'esprit des lois en 1748 lorsqu'il

écrits philosophiques des Lumières I. Introduction Les intellectuels que l'on range dans le mouvement des Lumières sont loin d'être tous des écrivains. Ils sont aussi bien savants, physiciens et mathématiciens, que philosophes. (Diderot, Rousseau, Montesquieu, Kant, Voltaire ou Locke). Les écrits philosophiques et littéraires des Lumières permettent de répandre auprès d'un large public les idées nouvelles. Aux enjeux scientifiques et théologiques débattus dés la Renaissance s'ajoutent progressivement

conséquences, de concessions, d'oppositions... pour l'argument du pari). Au XVIIIème siècle, on voit apparaître des questions philosophiques, morales, politiques: l' Emile ou De l'éducation de Rousseau, De l'esprit des lois de Montesquieu, ou bien Traité sur la tolérance de Voltaire. Ces genres sont plutôt utilisés dans des époques de raison, et pour un public sensible au raisonnement, au abstractions. Alors la littérature peut "expliquer", "raisonner". Persuader signifie "agir sur la sensibilité du lecteur

régence : • Chercher ce que l’on nomme le « style rococo ». • Qu’est-ce que le libertinage ? • Qui sont Watteau et Boucher ? Illustrez votre dossier par une ou deux œuvres de chacun d’eux. 3. La recherche de la vérité : • Diderot, Montesquieu, Voltaire et Rousseau sont considérés comme les quatre plus grands philosophes des Lumières. Placez-les sur votre frise (naissance / mort / date de publication de leurs plus grands textes) • Trouvez pour chacun de ces auteurs des textes de

l'humanisme s'inspire de cette définition philosophique. On parle, par exemple, de l'humanisme « militant » de Voltaire, ou de Paul Henri Dietrich, baron d'Holbach.À la Renaissance, des humanistes ont été liés au développement de la kabbale et à l'ésotérisme, ce qui provoqua des controverses. Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, connu sous le nom de Montesquieu, né le 18 janvier 1689 à La Brède, mort le 10 février 1755 à Paris, est un moraliste et surtout un penseur politique

à la Révolution française. Ils espèrent accéder au bonheur par le raison. Dans ce mouvement, il y a des auteurs qui ressortent plus que d’autres comme Voltaire, né en 1694 et mort en 1778, avec son œuvre majeure, un nouveau genre qu’il a inventé : le conte philosophique : Candide ou l’optimisme que nous verrons ultérieurement. Montesquieu qui a vécu de 1685 à 1755 et rédigeait les lettres persanes publiées en 1721, c’est une correspondance fictive à travers laquelle l’auteur fait parler deux

inégalités ou des abus commis par les hommes. Dans ce cas, nous pouvons voir que les auteurs ce sont redressés contre la dénonciation de l’esclavagisme. Dans le texte de Diderot, « de l’esclavage » extrait de l’Histoire des deux Indes écrit en 1770, on voit qu’il est contre l’esclavagisme. Dans ce dialogue fictif qu’a écrit Diderot, un partisan de l’esclavage et un opposant à l’esclavage échange leurs arguments. On peut voir que l’opposant utilise de longues phrases sur son point de vue alors que son

Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers Première encyclopédie française Editée entre 1751 et 1772 par Diderot et D’Alembert. Synthétise un grand nombre de connaissances L’Encyclopédie rend accessible l'ensemble des connaissances de l'époque mais et célébre le progrès de la raison, libérée de tout dogme et de toute autorité. Montesquieu (1689 – 1755) : Lettres persanes (1721) Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence

connaissances et de remettre en question toutes autorités. Elle développe l’esprit critiques afin de permettre aux hommes d’affranchir préjugés et superstitions. La raison permet une critique sociale et politique (Montesquieu) mais aussi religieuse et anticléricale (Voltaire et Diderot) Le progrès : Perfectibilité intellectuelle et morale de l’humanité qui vise à améliorer le sort de l’homme et contribuer au bonheur. Ainsi, pendant le siècle des lumières on peut noter des progrès considérables

portée à la fois sublime et morale, et qui, comme chez Hogarth Outre-Manche, évoquent un théâtre peint. Le drame muet s’y transcrit dans les gestes et les expressions ; les détails multiples et soignés relancent l’attention . Dans ses Salons, Denis Diderot qui voit dans les tableaux de Greuze de louables exemples de vertu, fait de cet artiste le repoussoir des nus libertins de Boucher. Greuze, Le Fils puni, 1778 Gainsborough (1727- 1788) Gainsborough, Autoportrait, 1759 Fils d’un