Dialogue Monologue

Au théâtre, tirades ou monologues laissent s’exprimer longuement un seul personnage. Pensez-vous que les dramaturges aient intérêt à les éviter, au profit des dialogues, comportant des répliques plus brèves ? Au théâtre, tirades et monologues représentent un moment où un personnage s’exprime longuement sur scène, sans interruption. Cependant, il convient de les distinguer. La tirade s’adresse à d’autres personnages présents aux côtés du locuteur. Lors d’un monologue, le locuteur est seul sur

12-14, alors que les phrases déclaratives sont utilisées sous forme de remarques : « Que c’est laid, un front plat. » l.7. Dans ces exclamations, on remarque un type d’exclamation qui est le crie. Il est rarement inclus dans un dialogue et encore moins dans un monologue des cries. Ici, afin de renforcer cette idée de folie, Ionesco montre au spectateur que son personnage n’a plus aucun limite, il et prêt à tout pour changer. Cette envie de surprendre le spectateur est donc bien présente dans

passage, Racine permet au lecteur d'avoir un plan détaillé en nous rappelant l'enlèvement de la belle Junie : 1ère partie fondée autour de Junie, 2ème partie fondée sur le quasi monologue, 3ème partie sur ses fièvres hallucinatoires ! De plus ce passage devait être un dialogue avec son conseillé Narcisse devient un monologue descriptif et démonstratif où le personnage se livre et supprime la parole à son conseillé Narcisse en lui demandant son avis «  Que veux-tu ? » mais ré-enchaine tout de suite

Andromaque de Racine : Acte V scène 1 I- Un personnage égaré à l’identité fracturée Monologue d’Hermione = dialogue entre soi et soi, délibération : Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? / Ah ! Ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais » Dilemme: Tuer Pyrrhus ? Lutte contre les élans de tendresse qui la retiennent de vouloir la mort de Pyrrhus : Non, non encore un coup laissons agir Oreste et trouve des arguments : il est perdu pour elle, c’est lui qui cherche

ses fonctions car il nous apprend dés le début qu'il s'agit d'un comte " de la cour " (l.3) il en fait donc partie, il voit une femme "elle a coutûme" (l.1/2). Il parle d'une femme " le coeur de Rosine " (l.7). Le dramaturge utilise la forme de monologue pour nous donner les informations. Le public comprend faciliment le contexte. A la différence du premier texte, Musset met en place un début de scène inhabituelle, il est prononcé par le choeur qui nous parle de "messer blazius" (l.1) qui est gouverneur

jeu, mais un deuxième personnage, B, entre en scène (va-t-il aider? épier? (vainterrompre?...) Dans une de ses conversations avec Maxime, Serguei souligne l'absurdité de certains de nos comportements induits par l'usage du téléphone. Ainsi, le monologue suivant pourra être travaillé par les élèves, sans qu'il soit nécessaire de l'apprendre textuellement. LUI […] Et regarde quelle saloperie c'est, le téléphone. (il montre) Là je viens de parler, de faire des signes de tête, de gesticuler... Ou

après il n'y a +=>tt est placé ss le signe de l'act°. On passe progressivement de la réflex à l'act. La sc est construit sur les 3 parties: (l.31)=confusion=ces q° ne st ps efficaces=moment de la cohue. Pour Tagensen les pensées st + développées(monologue intérieur)=>focalisation interne, le narrateur omniprésent Per Tagensen trouve que les J ne servent à rien=il retarde le moment où il va aborder le vrai sujet. L'aut s'aventure ds le caractère qui ne ns intéresse ps au premier chef=un moyen d'accentuer

peut se faire en deux parties. Il faut d'abord reconnaître la forme commune aux trois textes : celle du monologue. On ajoutera quelques remarques d'ensemble sur sa fonction au théâtre et on montrera comment les trois textes s'inscrivent dans ce fonctionnement général. Dans la seconde partie, il s'agira de montrer l'originalité de chaque texte. Pour cela, il est très important de situer le monologue dans l'action de la pièce pour comprendre le rôle précis qu'il joue. La photo de scène aidera à saisir

1. La composition 1. Deux composantes Le monologue se présente comme un récit entrecoupé par des passages de discours. Ils interrompent la narration : -> " Je lui dirais… " présence d'un verbe introducteur -> " on se débat ; c'est vous, c'est lui, c'est moi, c'est toi… " c'est une mise en scène interne de la scène. -> " Suzon, Suzon " apostrophe à Suzanne Dans les passages restant, c'est à dire narratif, Figaro raconte sa vie, c'est une évocation autobiographique. Trois temps dominent

Analyse acte 4 scène 7 Ce monologue : Ce monologue est coupé entre 3 parties: En premier il s'adresse à isabelle, Il pense à son amour et y trouve un certain bonheur. En deuxième il imagine sa propre mort, Elle commence au vers 1257. C’est une description de son exécution sous l’emprise de l’angoisse. La conscience du personnage est omniprésente. Il se donne des excuses pour expliquer son attitude volage. Il dépeint et met en évidence la séparation dans l’opposition entre honte et amour qui