Dialogue Monologue

premières scènes. Un monologue d’abord, qui met en place l’atmosphère, triste et endeuillée, ainsi que les causes (encore mystérieuses) de cette atmosphère « ce serait aujourd’hui la fête de son fils Léon... et d’un autre homme qui n’est plus ! » dit Suzanne. Le propos et les gestes suggèrent davantage, cependant, un état qu’une situation et le lecteur, comme le spectateur ne peuvent guère conjecturer, de ce monologue, une intrigue reconnaissable. La deuxième scène, un dialogue, est sur ce point

monochrome blanc payé au prix fort. 1-6 : Les six premières séquences qui servent de scène d’exposition à l’intrigue sont faites de l’alternance de monologues et de dialogues entre Serge et Marc. D’une part, les monologues nous éclairent sur l’identité, le statut social et les motivations des différents protagonistes, les dialogues mettent en scène les deux amis dans une situation de tension ascendante à propos d’un tableau que le premier vient d’acheter pour une somme que le second

peuvent être employés par un auteur pour le représenter. Premièrement, le dialogue est sans doute la forme la plus susceptible de créer une scène de conflit. Il permet généralement aux passions de se déchaîner. Le conflit peut être intérieur, il est vécu par un seul personnage, comme dans Phèdre tiraillée entre la passion pour son beau-fils Hippolyte et sa fidélité à son époux Thésée. Le théâtre, avec sa convention du monologue, marque le déchirement intérieur et les passions. Cela pourrait paraître

DIDASCALIES ET LES MONOLOGUES (LES APARTES) A) LA DIDASCALIE INITIALE : * Choix d’un décor minimaliste : répétition des superlatifs ; « Le plus dépouillés, le plus neutre » * Mise en scène : décor dominé par le blanc ; Les panneaux blancs, les portes coulissantes blanches ….. * Un décor qui doit détourner l’attention d’un public. B) LES AUTRES DIDASCALIES : * Première/dernière didascalies : «  Marc seul » = monologue «  Serge seul » = Aparté, monologue intérieur qui met

d’ensemble : la différence de caractères permet de différencier les didascalies ou indications scéniques et les dialogues ou discours. Deux parties sont donc bien visibles dans cet extrait : la théâtralité, le jeu des acteurs et « l’esprit », les paroles. Les didascalies, bien présentes aussi bien par les caractères en italiques que par les parenthèses) interrompent très souvent les dialogues, ce qui contribue à rendre l’ensemble difficile à comprendre. → par les personnages : deux personnages

dramaturge nous fait-il rentrer dans sa pièce ? Le dramaturge dispose de différents moyens pour faire rentrer le lecteur / spectateur dans la pièce. Ce sont d'abord des moyens stylistiques : l'exposition peut se faire par le biais d'un monologue (texte 1), ou d'un dialogue entre deux personnages (texte 2), par une tirade de l'un des personnages (texte 3). L'auteur peut utiliser le personnage principal pour présenter l'exposition ou la confier à des personnages secondaires (texte 2 et 3), ou laisser

tirade: le dialogue est rarement coupé et se présente plutôt par grandes masses. Dans certaines scènes on trouve des éléments qui obéissent à des règles spéciales: le récit, le monologue et l'aparté. récit: il évoque par des mots une action qui n'est pas représentée sur la scène: "Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose" (Boileau) monologue: il peut servir à faire connaître au spectateur un élément de l'action, le sentiment d'un personnage ou un fait récent. Le monologue permet

imaginé, individuel ou collectif). Cette caractéristique pose le cadre figuratif de l’énonciation. Comme forme de discours, l’énonciation pose 2 figures nécessaires : la source et le but de l’énonciation : c’est la structure du dialogue (discussion sur le statut du monologue et de différentes formes de discours p. 11). Chapitre 2 – La nature des pronoms Si chaque locuteur disposait d’un « indicatif » distinct pour exprimer sa subjectivité, il y aurait autant de langues que d’individus : la communication

précisément aux procédés utilisés pour cela. Dans un premier temps nous allons voir que la mise en scène constitue l'élément majeur du théâtre et qu'elle peut servir à représenter des relations de pouvoir. Dans un second temps nous verrons que les dialogues permettent aussi de représenter les rapport de pouvoir au théâtre. Le genre littéraire du théâtre est la seule littérature qui a pour but d'être jouée sur scène, de ce fait la mise en scène est d'une importance capitale, elle complète et enrichit

QUESTION PREALABLE Le théâtre intègre de nombreuses formes de dialogues, le monologue en est-une fréquemment utilisée pour transmettre les sentiments d’un personnage, seul sur scène, au public. Il peut être joué pour une scène ou lors d’un entracte. C’est ce que l’on retrouve dans ce corpus rassemblant trois monologues,  le monologue de la scène 9 de l’acte IV de Lorenzaccio, pièce écrite par Alfred de Musset en 1834 ; ainsi que le « Lamento du Jardinier »