Dhikr

le domine et le préoccupe totalement, de sorte que son désir est tourné vers le monde. que la mort arrive alors que tu es en prière, ou en jeûne, ou faisant quelque bonne action. Qu’elle survienne alors que ta langue, ton cœur, ton corps évoquent (dhikr) Dieu, qu’ils soient dans le souvenir du prophète Muhammad (a) ; que tu vives dans le licite, que ton cœur soit vivant par le rappel, par les noms de Dieu. Voilà la véritable réussite et le meilleur couronnement de la vie du croyant, husn l-khâtima

ou même douter de lui ou de son comportement. Il doit lui avouer ses secrets, ses réflexions intimes ou encore ses doutes. Donc le but générale que partage tout les adeptes qui ont obtenu le « idhn », -c’est-à-dire l’autorisation d’exercer le « dhikr » -l’invocation rituelle du «wird bout chichi »- du shaykh ou de son représentant local dans chaque zawiya qui est le mûkaddem-, est de suivre l’enseignement spirituelle du cheikh par l’autocontrôle des pulsions et le rejet des agressivités pour pouvoir

(qu’Allah l’agrée) (m.1204), celui-ci lui transmis un Nom et lui dit : « Il te faut la retraite (khalwa), la solitude (El wahda) et le Dhikr et patiente jusqu'à ce qu'Allah t'ouvre, car tu vas avoir une station immense ». Mais cela n'arrangeait pas Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) alors Sidi Ahmed Tawachi (qu’Allah l’agrée) lui dit : « Attache-toi à ce Dhikr et sois-y constant sans retraite ni solitude, Allah t'ouvrira dans cette situation ». Une fois assimilés les enseignements et secrets

tout ce qui n'est pas la froide rigueur vedantine, oublient qu’il a épousé sa seconde femme à l'âge de 48 ans et lui a fait quatre enfants dont le dernier lui a été posthume ; ce qui laisserait démontrer que si Guénon sacrifiait tous les jours au dhikr à cette époque de sa vie, il ne rechignait pas pour autant à s'occuper de choses plus matérielles. Car contrairement à ce que peuvent en penser les uns et les autres, il n'y a là absolument rien d'incompatible. S'il convient en effet de « cesser de

de ce qu' ’ Il défend. "Certes, DIEU pardonne tous les péchés" (Coran, 43/54), sans spécifier tel ou tel péché. - CONSEIL 4 L’obligation de l’invocation de Dieu Vous êtes tenus au dhikr de DIEU, secrètement et ouvertement, en vous-mêmes et en assemblée. DIEU a dit : "Faîtes donc Mon Dhikr, Je fais votre dhikr "Coran, 2/152).) - CONSEIL 5 La proximité de DIEU Dans la nouvelle prophétique authentique suivante : "Si le serviteur s’approche de Moi d’un empan, Je M’approche de lui d’une coudée

nécessaire pour expliquer les éléments qui peuvent s’en détacher pour vivre leur propre vie. Sinon, on comprend difficilement pourquoi l’auteur, pour comprendre ce qu’est le du`â’, recourt au Lisân al-`arab pour chercher les distinguos entre qirâ’a, dhikr, takbîr, tashbîh. Mais le Marocain, qui ne consulte jamais Lisân al `arab, utilise rarement le terme du`â’ et lui préfère (comme le note d’ailleurs l’auteur) l’expression talab allâh. 19Le du`â’ n’est pas une simple « ritualité soumise à l’avenance

déplacer, alors prends un petit Coran avec toi, le temps que tu es assis là, apprends, pourquoi rester comme ça des heures à ne rien faire ? Ou de discuter de choses inutiles. Donc tu sais que c’est un bien pour toi, faisle, tu sais que faire du dhikr c’est bien fais-le, tu sais que lire des livres c’est bien, fais-le, qu’aller à la mosquée c’est bien, fais le. Tout ce que tu sais être un bien pour toi, fais tout pour le faire, pour l'obtenir. Ensuite, « et demande l’aide d’Allah et ne flanche

paroles de Dieu qui auraient été révélées au prophète et messager de l'islam Mahomet (محمد, Muḥammad) par l'archange Gabriel. Cette révélation s'étend sur une période de vingt-trois ans. Le Coran est parfois appelé simplement al-kitâb (le livre) ou adh-dhikr (le rappel). Il constitue une des deux parts de la révélation à Mahomet, l'autre part étant constituée des hadiths prophétiques. Les musulmans le considèrent comme une manifestation d'un attribut divin, le kalam, qui représente la capacité de Allah

al-Djalâlî al-Kurdî. Ibn Shaddâd (‘Izz al-dîn), Al-a‘lâq al-khatîra fî dhikr umarâ’ al-Shâm wa ’l-Djazîra, Samî al-Dahan, Part. Damas, p. 232. [56] Les mosquées : une au sud-ouest de Bâb al-Khawwâsîn et une à l'extérieur de Bâb alfarâdis. Et la madrasa al-Mudjâhidiyya. Cf. D. Sourdel, « Les professeurs de madrasa à Alep aux VII-XVIIIème siècles » in BEO, XIII, 85-115. p. 87 ; Ibn Shaddâd (‘Izz al-dîn), Al-a‘lâq al-khatîra fî dhikr umarâ’ al-Shâm wa ’l-Djazîra, Samî al-Dahan, Damas, p. 121, 141, 232

était caché est éclairé: C'est cela la vraie connaissance par rapport au savoir. Un tel processus de concentration illuminative est le cœur de nombreuses autres traditions ésotériques. On le retrouve dans les oraisons de l'Église d'Orient, dans le dhikr du soufisme islamique ou la récitation d'un mantra bouddhiste. On peut trouver les mêmes messages dans les textes religieux et philosophiques les plus divers: "Celui qui connaît son Soi, connaît son Seigneur" lit-on dans le Coran, ou "Regarde en