Demeure du Chaos

France aurait-elle agi sans prendre en compte la situation politique, faisant sombrer le Mali un peu plus dans le chaos ? On l’accuse de la mise sous tutelle du Mali pour protéger ses intérêts économiques, « à l’opposé d’un processus de reconstruction institutionnel ». On constate également un phénomène médiatique de « lassement », qui conduit le pays à l’isolement. Une chose demeure cependant certaine, la France réagira toujours en première ligne face à la menace du fanatisme, comme l’a précisé

de personnages - A droite: une femme tient dans ses bras un enfant mort et crie son désespoir. Le taureau symbolise la brutalité et la cruauté. - Le cheval représente le peuple espagnol sacrifié tandis que la lampe symbolise l’espoir qui demeure malgré tout - Deux femmes - Un personnage bras en croix dans les flammes, qui s’inspire du « Tres de mayo » de Goya Jeux de regards Les regards convergent vers les sources de lumière et vers le taureau. Sources de lumière:

centre on voit la terrible bataille et ses morts, a droite on peut voir la nuit avec des flammes en arrière plans significatif des enfer.Enfin le prédelle (panneaux du bas) où l'on voit des soldats se reposer ou alors des soldats morts le question demeure. Le peintre nous montre une vision apocalypses et de désespoirs. Les couleurs utilisé sont ternes : le gris, le noirs pour les gravats et la mort et les cendres ; mais il y a aussi des couleurs plus chaudes le rouge et le marron pour le sang et la

cherche à prouver l’authenticité de sa conception philosophique, à l’encontre de l’ensemble des problèmes qui préoccupent l’homme. En effet, Voltaire mentionne, à ce sujet, dans son Dictionnaire Philosophique : « la question du bien et du mal demeure un chaos indébrouiable pour ceux qui cherchent de bonne foi »3 cette phrase traduit, avec justesse, l’incapacité des théologiens qui soutiennent la théorie du souverain Bien, de convaincre les gens de ces prorogatifs frivoles, menacés à tout instant de

écrit La Bruyère. L’homme de lettres qu’est l’écrivain possède ainsi une acuité sur ses congénères, un regard su r un chaos qu’il cherche à restituer – dépasser - dans une forme littéraire, fictionnelle, c’est là l’une de ses principales caractéristiques : « Je ne parle point, ô hommes, de vos légèretés, de vos caprices ». La littérature, si elle n’est pas idéologique, n’en demeure pas moins prise de torpeur face à la bêtise humaine. Elle pointe les comportements de l’homme, cet « animal raisonnable

Alain Boureau Une lecture de La Plaisanterie par un his- torien médiéviste, spécialiste de la pensée scolastique, pour saisir ce que le roman, comme construction et comme forme, tra- vaille de l’histoire : une « saisie du change- ment temporel comme chaos » et une figu- ration de la contingence qui interpellent l’historien. Un roman puissant travaille la forme de l’his- toire, reçue comme matière. Il est fort bien- venu, car les laborieuses et tristes disciplines de l’historiographie et de l’épistémologie

nous verrions la Beauté comme principe d’unité de tout ce qui existe. De ce point de vue, bien que la Beauté ait sa demeure sur un plan qui n’est pas matériel, elle permet que tout ce qui existe participe d’elle à un divers degré. Toute chose, à un degré subtil, est une œuvre d’art car participant de la Beauté, même si la relativité des objets fait que, dans le temps, rien ne demeure. Rien n’existe en dehors de la Beauté : de la beauté du corps, à la beauté des actions, à la beauté des sciences, des

masculine, des armées. Leurs femmes sont cloitrées et esclaves. C’est alors un dieu du Printemps que l’on doit honorer. Un male, sauvage et joyeux et de nouvelles fêtes remplaçant les fêtes agraires : des mouvements frénétiques, une plongée dans le chaos originel pour lever pour un temps précis des tabous, des interdits, notamment sexuels… apparition de l’orgie rituelle. Vers -2000 avant Jésus Christ, les invasions indo-européennes se poursuivent, envahissent notamment la Grèce, c’est la période des

message philosophique , à Oran, une ville laide, sans âme, une cité moderne et "ordinaire". La peste, terrifiante et absurde épidémie venue de nulle part, plonge la ville dans la douleur et oblige les habitants à l'exil ou la claustration. La cité demeure alors isolée pendant presque une année, hors du monde. Le passage que nous allons tenter d'analyser se situe à lafin du roman chez « le vieux » comme dit Rieux. , Mon plan est le suivant :1 la fin d'un roman ,en grand 2 le début d'une reflexion

aux trois rois mages, la route de Béthléem, pour rendre hommage au Christ. Ce regard vers le ciel, pour moi, me dit que l'homme en ayant le regard vers le ciel, recherche et retrouve sa dignité spirituelle, à contrario lorsque les événements, les chaos de l'histoire font que l'homme regarde la terre avec résignation, en fonction des circonstances, il retrouve facilement son animalité. L'Histoire fourmille d'exemples, où l'Humanité, comme le dit le bon sens populaire, est tombée plus "bas que terre"