Délire paranoïde

ces idées rencontrent l’intégrisme religieux (comme c’est le cas de nos jours chez les jeunes Palestiniens ou Sri-lankais), la revendication d’indépendance et de souveraineté territoriale devient l’idée fixe. Celle-ci est poursuivie jusqu'à un quasi délire qui culmine en combinant meurtre et suicide politique dans les attentats de type bombes humaines. Il ne sert pas beaucoup de prétendre que ceux qui commettent ce genre d’actes sont des illuminés ou des psychopathes. Une sorte d’engagement dans une

est soudain confronté à la crainte d’être mordu soimême, voire dévoré. Deux Positions - M. Klein La position paranoïde-schizoïde (de 0 à 4mois) Le nourrisson en venant au monde se sent agressé par son environnement qui lui est hostile : in utéro il est toujours satisfait ; en venant au monde il doit pleurer pour être nourri, changé, berçé...On dit qu’il est dans un vécu « paranoïde ». Il évacue le mauvais objet par la projection. Par ailleurs il existe un clivage de l’objet mère et de l’objet

pulsionnelle de la religion » (Assoun). Pourquoi avoir écrit un tel essai ? Ce projet de Freud lui a été inspiré lors de la conférence de J. Honegger (un disciple de Jung) à Nuremberg en 1910 sur « la formation paranoïde du délire ». Un cas clinique y est exposé dans lequel le délire du patient analysé permet de « mettre en évidence toute une série de nouvelles création de très anciennes représentations mythologiques et psychanalytiques. » Freud va alors se lancer dans la réadaptation « du tout

5 C’est quoi la normalité? 4 critères possibles: (1) La norme statistique 6 3 Selon ce critère, un comportement serait anormal s’il se produit rarement dans une population donnée. Une personne qui croît que tout le monde complote contre elle (délire de persécution) est statistiquement anormale. Limites de ce critère? 7 (2) La déviation par rapport aux normes sociales Les normes sociales sont des règles cuturelles qui guident la conduite des individus dans les différentes situations de la vie

et l’institut psychiatrique. Perspective interieure présentant les vues entre les ateliers Schéma présentant les différents plateaux Les lieux de la folie / 33  III. L’espace vécu chez les patients « Ce qui garantit l’homme sain contre le délire ou l’hallucination, ce n’est pas sa critique, c’est la structure de son espace. » Merleau-Ponty, phénoménologie de la perception 3.1. Topologie de la folie L’espace est uniquement parce que nous le percevons. C’est le sujet de nos représentations

l'affinité de structure entre l'hallucination et l'instance surmoïque dans sa dimension "féroce et obscène". Cette parenté de structure n'a d'ailleurs pas échappée à Freud qui dans Pour introduire le narcissisme (1914) remarquait que le symptôme des délires paranoïdes et celui des névroses de transfert ont un point commun : une instance psychique qui "observe sans cesse le moi actuel et le compare à l'idéal (...). Les malades se plaignent alors de ce qu'on connaisse toutes leurs pensées, qu'on observe et

Stade avancé (ou terminal). À ce stade, le malade perd son autonomie. Une surveillance permanente ou l’hébergement dans un centre de soins devient nécessaire. Des problèmes psychiatriques peuvent apparaître, notamment des hallucinations et des délires paranoïdes, aggravés par une perte de mémoire grave et de la désorientation. Les problèmes de sommeil sont courants. Les patients négligent leur hygiène corporelle, deviennent incontinents et peinent à s’alimenter seuls. S’ils sont laissés sans surveillance

exalté va reconstruire un monde effondré en ramassant ce qui traîne, avant de retomber encore dans une mélancolie désespérée. Le délire est une tentative de guérison qui succède à l'effondrement du sens, la perte de tout lien. Effort logique, trop logique sans doute mais dont on ne peut se passer. Toute création artistique est cette indignation comme dit Juvénal, ce délire d'interprétation de l'esprit du temps et de justification de notre existence. Une fois que plus rien ne tient debout ni ne va de

la sémiologie psychopathologique au moment des crises et que les suivis au long cours n'existent pratiquement pas. Certains commencent à identifier chez l'enfant les mêmes troubles mentaux que chez l'adulte (démence précoce, avec hallucination ou délire décrit en 1910 par Sancte De Sanctis) mais pas de spécificité des troubles de l'enfant. Tournant au début du XXe siècle avec les débuts de la psychiatrie infantile et avec la psychanalyse. Clinique de Georges Heuyer à la Salpetrière où dès 1925

be/ressource/static/files/AUTRETEMPS_CP_Oct.06.pdf http://www.uclouvain.be/cps/ucl/doc/reso/documents/dos9.PDF ----------------------- [1] Définition du Petit Larousse illustré de 2000 [2] Psychose délirante chronique caractérisée par un autisme, une dissociation, un délire paranoïde et générant une perturbation du rapport au monde extérieur. [3] |9:??ÖîïºÉàáâ* + v ò ó § ´  à y z 7 YZfqQÁìüøüêüêüêüæÜæüÑƹ¯¹¥›Ž„¥„z¥„›¯m¥¯z¯›¯›¥› Système philosophique d’Auguste Comte, qui rejette toute investigation métaphysique