Délire paranoïde

que l’autre ne soit pas totalement bon ou totalement mauvais. il y a clivage car il ne peut pas imaginer que a mère qui le comble et aussi celle qui le frustre. Pour lui il y en a 2. position schizo-paranoïde : clivage + pulsions destructrice+ angoisse de persécution -> position schizo paranoide c est une étape normale qui peut etre à la base de pcs schizophrénie et paranoia c est une modalité de relation d objet spécifique des 4 premiers mois il y a coexisten ce des pulsions agressives/pulsions

b. Brève biographie de Joseph Capgras 2. Explication du syndrome III. Le syndrome de Fregoli 1. Contexte de la découverte a. Définition et historique b. Cas princeps 2. Explication du syndrome III. Les deux autres délires 1. L’illusion d’intermétamorphose et de charme 2. Le syndrome du double subjectif Conclusion Bibliographie Depuis le 19ème siècle, les travaux sur l’image du corps furent importants, tel que le livre de Paul Schilder, « The image

immédiate, un sentiment de toute-puissance intellectuelle et physique et une indifférence à la douleur et à la fatigue.La cocaïne provoque aussi des troubles du rythme cardiaque. Des troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur, des délires paranoïdes ou des attaques de panique. L'ecstasy : L'ecstasy désigne un produit (comprimé, gélule, poudre) comprenant une molécule de la famille chimique des amphétamines, qui combinent certains effets des stimulants et ceux des hallucinogènes. L’usage

primaire Autoérotisme Etat de dépendance et d’impuissance Appels dirigés vers la mère et premières interactions L’enfant se représente ses états internes Possibilité de tolérer une frustration modérée/ un manque KLEIN Position schizo- paranoïde : Clivage du bon et mauvais objet/ clivage du Moi Position dépressive : Bon et mauvais objet = objet total / Moi total Angoisse de perte et sentiment de culpabilité Enfant capable de tolérer la perte de l’objet idéal par la répétition

pensée dont le repérage clinique se fait autour de l'observation des troubles du langage. Pour BLEUlER, la désorganisation congnitive est l'élément organisateur pour regrouper cliniquement les patients. Il va décrire 4 formes de schizophrénies. a) Paranoïde : avec prédominance d'idées délirantes et hallucinations. b) Catatonique : qui est caractérisée par la présence de symptomes catatoniques comportementaux et à moindre dégré de symptomes délirants. c) Ebéphrénique : qui évolue sur un mode chronique

est plus brève et la descente est beaucoup plus désagréable. Ses effets sont semblables à ceux de la cocaïne injectée. L’usage régulier de crack peut entraîner : des dommages rapides sur le cerveau des comportements violents des épisodes paranoïdes et des hallucinations des idées suicidaires des états d’épuisement physique et psychique avec une altération de la condition générale de graves altérations des fonctions cardiaques ou respiratoires des arrêts cardiaques ou respiratoires des

que la consommation de tabac, comme celle de l'alcool, est souvent augmentée lors des prises de cocaïne; Chez les personnes plus sensibles, l'usage de cocaïne peut provoquer des troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur, des délires paranoïdes (notamment au bruit) ou des attaques de panique; Une augmentation de l'activité psychique et, par conséquent, des insomnies, des amnésies et des phases d'excitation. Une autre caractéristique de la cocaïne est de lever les inhibitions

par le modèle pasteurien pour arriver à un modèle hippocratien. Il y a donc deux manières de définir le normal et le pathologique. Pour déterminer la normale, le premier grand critère est l’adaptabilité sociale à la norme sociale. Par exemple, un délire d’un chaman dans la culture africaine sera accepté. Or il est parfois ambigu de définir l’adaptabilité :ex : dissidents politiques sous Staline => renvoi au modèle pasteurien. Définir la pathologie de cette manière est dangereux. Un autre critère

des hallucinations, des fous rires incontrôlables et des délires. Ces effets, très puissants sur le cerveau, sont variables suivant les individus et le contexte d’utilisation. L’usage du LSD peut provoquer des accidents psychiatriques graves et durables. La descente peut être très désagréable : l’usager peut éprouver un état confusionnel pouvant s’accompagner d’angoisses, de crises de panique, de troubles paranoïdes, de phobies et de délire. {draw:frame} {text:list-item} La mescaline

réalité). * Clivage Du moi : trouble de l'identité. Sentiment chronique de vide, instabilité affective, gestes suicidaires, automutilations répétées, relations interperso intenses et instables, colères inappropriées, idéation paranoïdes liées au stress. De l'objet : idéation paranoïdes liées au stress ou, relations interperso intenses et instables, angoisses d'abandon et efforts frénétiques pour éviter l'abandon. Du surmoi : Valeurs immatures, attitudes morales contradictoires, comportements antisociaux