Dehors devant la porte

nos aventures. Le hasard des « changements », une décision d’inspecteur ou de préfet nous avaient conduits là. Vers la fin des vacances, il y a bien longtemps, une voiture de paysan, qui précédait notre ménage, nous avait déposés, ma mère et moi, devant la petite grille rouillée. Des gamins qui volaient des pêches dans le jardin s’étaient enfuis silencieusement par les trous de la haie… Ma mère, que nous appelions Millie, et qui était bien la ménagère la plus méthodique que j’aie jamais connue, était

m’ouvrit la porte, m’accueillant avec les deux bras, les bras d’une mère qu’on ne peut s’en dégager, tellement c’est féerique. je posai mon cartable par terre, déboutonna ma veste, et allons vite rattraper ma mère qui se dirigeait vers la cuisine, il faisait nuit, en effet, il était dix-huit heures passé.la saisissons par la main elle croyait que c’était encore un de mes coups farfelus, et là, je lui ai annoncé ma bonne nouvelle, folle de joie, elle alla l’annoncer à mon père, ce dernier, devant la télévision

commença l'essayage et Elena attendait qu'elle sorte pour commenter. « - Et pourquoi Manhattan ? - Parce que c'est beau.. - Tu n'en sais rien, t'es jamais allée ! - Pure intuition. » Hailey admirait chacune de ses robes sur son corps devant une grande glace entourée de spots éclairant, sous les commentaires de son amie. « - Inutile - Horrible ! - Gamine. - Too much. - Parfaite. » C'est alors qu'elle opta pour une robe beige qui s’arrêtait au dessus des genoux dont la

mangé des vers, et jadis bleu » nous informe qu'il est ancien, que ce vieillard n'a pas pu s'en acheter un autre et qu'il est misérable. Les « mille trous » dans sa bure, synonyme de pauvreté, sont pitoyables. Deuxièmement, nous analysons que la vie dehors est malheureuse. Dès le premier vers, l'auteur nous annonce que « le givre et le vent » sont présent, ce qui évoque une saison hivernale. Avec cela, le mendiant « grelottait de froid », la détresse est annoncé. « les habits mouillés » et les « haillon

il a des prothèses aux jambes et aux bras. Il a les yeux vides et il mendie pour survivre -Un mutilé bien vêtu, sans jambe, se déplaçant à l’aide de ses mains. Il passe devant lui, le buste bien droit, sans lui prêter attention. -Proche de lui ce trouve un journal où il est inscrit « Juden raus » ce qui signifie « Les juifs dehors ». Au second plan on y voit : -Une boutique de prothèse et de perruque. -Une enfant qui dessine à la craie. -On aperçoit aussi un chien, en bas à gauche - Le bras d’un

prépares tous les jouet que tu as.  tu te mettras nue avec ton collier et un bandeau sur les yeux sur le canapé avec la porte fenêtre ouverte sur toi pour que tout le monde te voir et les jambes bien écarté.>> Dimanche est arrivé vite, donc tu t’es préparée et t’as préparé les objets que tu possédais sur le lit. Vers 13 h 50, tu t’es mis nue avec ton collier et t’as ouvert la porte fenêtre  puis tu t’es mis le bandeau sur les yeux et tu t’es allongée sur le canapé face à cette fenêtre qui montrait

voit un personnage qui porte un journal sur lequel est crit iktatur von rechts (dictature de la droite). La tete dun chien, une main gante tenant une canne et larrire dun chat. En second plan, dautres personnages sont sur le trottoir un mendiant, une petite fille. Une autre main gante dpasse tenant un timbre. On devine une femme de dos portant une robe rose et des chaussures noires. Il y a galement un tract ou une affichette qui porte en titre juden raus (les juifs dehors). A larrire plan, on

douce que le drap de soie qui l'entourait . Une nuit , ou la lune était pleine et l'or de la ville illuminée par les étoiles , un jeune garçon encore bébé fut abandonne devant la porte de la déesse . Au petit matin , celle ci fut réveillé par les pleurs de l'enfant . Elle se leva et alla voir ce que c’était , elle ouvra sa porte et vit se charmant bambin , avec sur lui , trois lotus d'or . Ne pouvant le laissé tel quel avec ses pauvre cris et pleurs ,la déesse le prit chez elle et fit propager cet

dans son dos, parce que ce son n'avait pour lui aucune signification : toute conscience est conscience d'un sens d'abord constitué, que l'intuition vient ensuite remplir. En d'autres termes, avoir conscience qu'il y a un arbre là dehors, c'est viser ce qu'il y a dehors comme étant un arbre, la perception venant ensuite confirmer ou non l'intention (« c'est bien un arbre » ou « non, ce n'est pas un arbre »). C'est pour cette raison que Heidegger, dans son analyse du monde ambiant, celui de la réalité

afin de développer la dialectique entre demeurer et appartenir. À partir de trois composantes essentielles à toute maison — toiture, murs et porte —, nous exposerons en trois sections les articulations fondamentales de la maison. La toiture nous élèvera vers la dimension verticale de la maison. Les murs nous amèneront vers son intériorité, tandis que la porte et le seuil nous ouvriront à la dynamique horizontale de la maison. En un sens, avoir une maison renvoie à la propriété et au fait qu’elle appartienne