Dehors devant la porte

SEQUENCE 2. UNE CUISINE.INT/JOUR La cuisine est une grande pièce. A droite, le plan de travail, à gauche quelques meubles métalliques et au milieu une longue table en bois. Devant, une grande porte-fenêtre par laquelle on voit la rue et devant laquelle se tient un homme. L’homme est grand, plutôt imposant. Il porte des pantalons et un simple pull noir. Il tient sa main gauche dans la poche de son pantalon et dans sa main droite une tasse de thé noir comme du café. Un 4X4 noir vient se stationner

fonction accueil. Tout d’abord j’ai remarqué que le bureau du SIVU était très étroit et peu confortable autant pour les salariés que pour les usagers. Il n’y a pas d’espace d’attente, ni de zone de confidentialité ce qui force les usagers à attendre dehors lorsqu’il y a trop de monde. Du côté des salariés, la place est très restreinte et peu de rangement sont disponibles. Lorsque les effectifs dépassent deux personnes, cela devient difficile. Exemple n°1 : Une famille (le papa, la maman et leurs trois

la lumière de la bougie). Il fait froid. On m’a remis quelques questions qui occupent les premières minutes de cette attente dans la chambre des réflexions. Autour de moi nombre d’objets, de maximes dont je ne comprends pas toujours le sens et la portée. J’essaye de mettre de l’ordre dans mes idées, d’associer par analogie, similitudes ou contraire les objets ou les mots entre eux … mais sans grand succès … que viennent faire certains mots ou représentations graphiques ? Le temps s’écoule, des bruits

l’assesseur. Deux membres du bureau de vote doivent être présents pendant tout le cours des opérations électorales. Le bureau de vote ne peut s’occuper d’autres objets que l’élection qui lui est attribuée. Toute discussion, toute délibération en dehors de ce sujet lui sont interdites. Dans la salle de vote, le président fait disposer les listes de candidats en nombre égal à celui des électeurs inscrits. Le scrutin est secret. Le vote a lieu sous enveloppe. Avant l’ouverture du scrutin, le bureau

loin. Il n'était pas très drôle et assez ennuyeux. J'étais l'assistante d'un vendeur de voiture. Mon travail durait 10 heures. Je restais assise à décrocher un téléphone. Assise dans le silence, en attendant que le téléphone sonne. À ma droite la porte s'ouvrit. Et un homme entra. C'était le genre d'homme riche qui était seul et détesté par la plupart des gens qui le côtoyais. Il était venu livrer les Trois Milles Euros qu'il devait à mon patron, l'or d'une vente à crédit d'une de nos plus grande

fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide Qui porte un éclair au flanc. Ils sont tout près! - Tenons fermée Cette salle ou nous les narguons Quel bruit dehors! Hideuse armée De vampires et de dragons! La poutre du toit descellée Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, Et la vieille porte rouillée, Tremble, à déraciner ses gonds. Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure! L'horrible essaim, poussé par l'aquillon

dans son domicile dans ce petit village retiré d'Holmes Chapel. Elle décida de sortir son chien, alors que la poudre blanche continuait de se déposé sur le village. Elle ne s'habillait pas très chaudement et sortit en faisant attention de fermer la porte derrière elle. Elle marchait alors que la nuit était tombée, alors qu'elle s'assit en laissant son chien gambader dans l'herbe fraîche. Elle était sur ce banc en bois, observant les étoiles dans le ciel. Elle apercevait quelqu'un au loin, elle pouvait

droite, la porte d'entrée et une fenétre dont les volets sont clos. Au fond, le téléphone sur une commode. A gauche, vers le fond, une porte. Table, chaises. Mobilier hétéroclite et bon marché. On sent que la personne qui vit dans cette pièce est totalement indifférente aux meubles. Sur la gauche, à côté de la porte, une cheminée au-dessus de la cheminée une glace. Des autos passent de temps en temps sur la route. Trompes. Klaxons. SCÈNE PREMIÈRE OLGA, puis HUGO Olga, seule, assise devant un poste

01 2 Du même auteur, à la Bibliothèque : La Belle-Nivernaise Tartarin de Tarascon Le nabab 3 Lettres de mon moulin Édition de référence : Paris, G. Charpentier, 1887. Édition définitive. 4 À ma femme. 5 Avant-propos Par-devant maître Honorat Grapazi, notaire à la résidence de Pampérigouste, « A comparu : Le sieur Gaspard Mitifio, époux de Vivette Cornille, ménager au lieudit des Cigalières et y demeurant : Lequel par ces présentes a vendu et transporté sous les garanties

Le Horla Guy de Maupassant Publication: 1887 Source : Livres & Ebooks Chapitre 1 ................................. 8 mai . - Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et