Dégradation des termes de l'échange

improductive. Chaque pays doit se spécialiser dans la production pour laquelle il est le plus efficace ii) Théorie du commerce international de Ricardo : « avantages relatifs ». L’échange peut se réaliser entre deux pays même lorsque l’un d’eux est supérieur à son concurrent en tout. Il suffit, pour que l’échange soit favorable aux deux pays, que le coût de production relatif des objets diffère. iii) Théorie Heckscher-Ohlin-Samuelson: La spécialisation internationale mène à une convergence

d’éventuelles pénuries. Ces tendance ont été exacerbées par la guerre de Corée et les chocs pétroliers. De l’âge colonial aux cartels Le commerce international de produits de base à été marqué, jusqu’au milieu du XXe siècle, par l’échange colonial. Ainsi, le contrôle des gisements nationaux a été l’une des premières revendications des pays obtenant l’indépendance. Les non alignés et notamment le « groupe des 77 » ont obtenu, en 1962, « le droit de souveraineté permanent des peuples

de ces origines dans cette recherche, comme les guerres du pétrole ou la traite des noirs. Ressources constituent un élément à part entière des modèles de croissance 2 II Elément central des échanges Déterminant de l'enrichissement et de l'échange 1 A Les ressources naturelles sont au cœur de la constitution de la rente Histoire économique : histoire de la recherche de la rente, comment se l'approprier. %il faut repérer la ressource naturelle qui détermine le + haut niveau de rente

mondiale d'échapper au risque redouté par les « Classiques », l'état stationnaire. En se spécialisant, chaque partenaire de l'échange peut maximiser sa productivité et obtenir une allocation optimale des ressources productives. Les vertus du libre-échange sont évidemment profitables à la croissance économique mondiale car tous des pays participants réalisent un gain à l'échange. L'internationalisation des échanges est perçue comme un jeu à somme positive. Ces analyses ont été actualisées par le théorème

tiens l’environnement interN dans un pays donnée les termes de l’échange = ( indice des prix des X ) / ( I des prix des I ) X 100  indique dans quelle condition un pays échange des I contre X au cours d’une période : si tx> 100 on vend plus cher que ce qu’on achète . dégradation de l’échange lorsque les prix des X ont moins augmenté que ceux des I : il va falloir X plus pour obtenir la même qté de biens I # amélioration des termes de l’échange 0Adam Smith = théorie des avantages absolue :

Constantin F, Administrer l'environnement en Afrique. - Gestion communautaire, conservation et développement durable, Khartala , 2000. Face à l'échec avéré des politiques autoritaires centralisées de gestion des ressources naturelles que traduit la dégradation de la biodiversité, en Afrique notamment, s'est peu à peu imposé la nécessité d'une révision profonde de l'approche, en particulier en favorisant la réintégration des populations locales comme acteur primordial de cette gestion. Cette " participation

qui les avantages car les FMN ( firmes multi nationale) imposent leur régles a des pays plus faibles ( avantage fiscaux et sociaux ) ainsi les produits importer provoquent la disparitation de productions locales. On peut constater une dégradation des termes de l'échange, en effet, le commerce international appauvrit celui qui y particicipe de ce fait les pays en retard peuvent difficilement resister a la concurrence internationale ainsi le libre echange dans les PED est facteurs de conflits , de dualisme

importent pour les mêmes valeurs. Selon John Stuart Mill : « les importations financent les futures exportations ». Les classiques n’ont jamais considéré que les nations devaient faire des excédents commerciaux. Toutes les nations doivent gagner dans l’échange : jeu à sommes positives. On ne peut vivre avec de tels déficits. Cela va à l’opposé de la notion de compétitivité. 2° les classiques a) Adam Smith : (1776 : Recherche sur la Nature et les Causes de la richesses des nations) s’interroge

économistes qu’il qualifie d’ « internationalistes pop » et en s’appliquant à démontrer qu’elles sont fausses et infondées : il n’est pas possible de confondre la compétitivité d’une entreprise et celle d’une économie nationale, et les inégalités en termes d’emplois et de salaires ne sont pas imputables à la concurrence du tiers monde. En effet, la thèse selon laquelle chaque Etat est « comme une grande entreprise en compétition sur le marché mondial » (discours de Bill Clinton) ou que le chômage croissant

laquelle le produit intérieur brut (PIB) était un moyen adéquat et suffisant pour mesurer la croissance économique, et a introduit un nouvel Indice de Développement Humain (IDH) permettant de mesurer les progrès réalisés par les pays du monde entier en termes de développement humain. Cet IDH met l’accent sur trois indicateurs que le Rapport de 1990 avait définis comme essentiels : l’espérance de vie à la naissance (qui mesure le niveau de santé générale d’un pays), l’éducation (à travers les taux de scolarisation