Deficit Budgétaire

ministère des Finances sont plus qu'alarmantes. Au terme du premier trimestre 2013, le déficit budgétaire a triplé par rapport à celui enregistré sur la même période en 2012. Le Trésor marocain touche également le fond. De son côté, l'Etat veut emprunter pour financer le déficit, au moment où la dette extérieure est croissante. Selon l'économiste Najib Akesbi, la situation ira de mal en pis. Le déficit budgétaire de l’Etat marocain est de 17,5 milliards de dirhams à fin mars 2013, contre 6,6 milliards

d’application) ►la jurisprudence = décisions rendues par les juridictions juridictionnelles et administratives (La Cour des comptes = domaine administratif) = juridiction spécifique (La Cour de discipline budgétaire et financière) = juridiction spécifique Titre I : LA THEORIE BUDGETAIRE Il y a progression constante des dépenses chaque année. On ne peut pas stopper cette évolution, on peut la contrôler, la limiter. Il y a donc progression des recettes (augmentation : impôts, emprunts…).

en vue de la correction de ses déficits structurels (=c'est-à-dire la différence qui existe entre les dépenses de l’Etat et ses recettes, ces dernières étant inférieures). Si le premier ministre avait choisi cette mesure c’était pour résorber la mauvaise gestion du budget de l’Etat qui est « absorbé » à 63% dans les salaires, pensions ou assistances sociales. 2) Le gouvernement s’est retrouvé dans cette situation budgétaire parce qu’il a« subit » un déficit structurel qui date de plus de 20

qu’elles ne représentaient que 1% du PIB en 2005, les dépenses de la Caisse de Compensation ont atteint le chiffre astronomique de 52 milliards de dirhams en 2011, soit 5,5% des PIB et 20% du budget de l’Etat. Ce chiffre correspond presque au déficit budgétaire de l’Etat en 2011, en total des investissements publics, et dépasse largement les budgets unitaires des départements ministériels les plus coûteux : éducation nationale, défense, intérieur, santé. La réforme de la Caisse de Compensation au

figurent sur le carré magique de Kaldor. Le premier problème est que les objectifs économiques peuvent être en partie contradictoire. Par exemple si la priorité est l’emploi on risque de provoquer un surcroit d’inflation accompagné parfois d’un déficit budgétaire. Les politiques conjoncturelles ont habituellement deux grandes orientations : -La politique de la relance, priorité est l’emploi inspiration keynésienne : les relèvements des bas revenus, la baisse des taux d’intérêts, hausse des prestations

2.Des mesures pour stabiliser la soutenabilité des politique budgétaire dans la zone euro --les effort structurels des états membre pour sortir de la crise :quelques exemples au sein de la zone euro A la mobilisation de la commission Européenne ,s’ajoutent des dynamiques nationales pour contibuer à sortire de la crise et pour stabiliser la soutenabilité des politique budgétaire .Dans les pays dans lesquels je me suis rendu ,comme partout en europe ,une attention très Particulière est désormais

CROISSANCE ET AUSTERITE Que comprendre de la rigueur budgétaire et de la croissance économique en Europe et dans les Pays En Développement (PED)? Pour soigner leurs économies touchées par les crises d’endettement depuis 1982, les PED ont mis en pratique les politiques d’ajustement structurelles élaborées par les institutions financières internationales avec des actions concrètes comme : rigueurs budgétaires, réduction de subventions aux productions agricoles, élimination de règles qui freinent

mondialisation est source de croissance, l’interdépendance des économies augmentant les importations et exportations entre les pays. La récession peut également entraîner une diminution globale des échanges, plongeant ainsi certains pays dans des déficits commerciaux. (docs 2 et 4 pages 162 et 163 + questions) La France connaît une détérioration de ses échanges commerciaux depuis les années 2000. Des coûts salariaux élevés et un euro fort rendent ses exportations chères pour les pays qui achetaient

sans doute plus qu’ailleurs – est devenue un instrument à tout faire. Sa finalité originelle, financer la dépense publique, est perdue de vue parce que la décision budgétaire, en suivant sa propre logique politique, tend à s’affranchir de la contrainte fiscale. Sa fonction de régulation de l’activité est illusoire dans les pays à fort déficit public. Son rôle incitatif est rarement efficace et parfois ambigu, par exemple en matière de protection de l’environnement. L’interventionnisme fiscal n’est pas

crise _____________________ PRESENTATION ____________________ Dans son rapport de juin 2008 sur la situation et les perspectives des finances publiques, la Cour avait souligné que des risques importants pesaient sur la réalisation des objectifs de déficit du gouvernement pour 2008 et les années suivantes. Elle estimait improbable le retour à l’équilibre annoncé alors pour 2012. L’ampleur de la crise qui a éclaté à la fin de l’été 2008 aggrave très fortement ce constat même s’il est encore trop tôt