Decision making

par les collectivités locales ou les associations. Plus d’une centaine de collectivités territoriales ont déjà conventionné avec les services déconcentrés de l’Etat pour intégrer le RES à leurs propres outils d’information géographique d’aide à la décision. Des conventions ont également été signées avec plusieurs fédérations sportives. D’autres organismes s’appuient sur les données du RES pour alimenter leurs référentiels dont le référentiel à grande échelle de l’IGN et la base permanente des équipements

La règle; selon laquelle La loi exige que certaines décisions de justice soient prises par plusieurs magistrats qui, après avoir entendu ensemble les parties ou leurs conseils en leurs explications, statuent après un délibéré collectif. Il s'agit d'une règle qui, hors le cas où la Loi en a décidé autrement en conférant à une formation de juger "à juge unique", doit être respectée à peine de nullité du jugement rendu. La présidence de la formation collégiale, au cours de l'audience comme au cours

Canada puisque les structures comptant sur la standardisation pour réaliser la coordination sont généralement qualifiées de bureaucratiques. ➢ La communication et la prise de décision est formelles et hiérarchiques. Il y a une forte centralisation du sommet hiérarchique (centralisation verticale). Division entre la décision/formation de la stratégie et leurs mises en œuvre. Il n’est pas important que les opérateurs comprennent les raisons de leur travail. De plus, le contrôle du travail est effectué

propres à gérer l’ensemble des risques liés à son activité. La gestion du risque de crédit relève de la Direction des Engagements, qui fait partie du Pole risque qui doivent être intégrées dans ce que l’on qualifie de « la ligne Credit policy and decision ». La gestion du risque de marché et du risque opérationnel est prise en charge par le l’entité «  Direction Generale » du Risk management. Enfin, le Direction juridique assure la gestion du risque légal. GESTION DU RISQUE DE CRÉDIT Politique

les critères de régularité d’utilisation et de combinaison avec d’autres achats. Figure 3 Différents styles d’utilisation du drive L’analyse du processus de décision en termes d’importance des coûts psychologiques et financiers pour le consommateur met en lumière les principaux avantages induits. A cet effet, le processus de décision est découpé en différentes catégories de coûts selon la typologie de Moles et Rohmer (1977). 16 Figure 4 Coûts comparés de fréquentation d’un drive ou

étape : identification des micro-segments à l’intérieur de chaque macro-segment avec des critères tels que : l’âge du client (nombre d’années d’existence de l’entreprise) position hiérarchique du décideur, importance attachée au produit, processus de décision d’achat…

qui gèrent les vendeurs dernier maillon de cette ligne hiérarchique. On peut constater qu’il s’agit d’une structure très verticale, d’après Bruno Duffour ce schéma est rencontrer dans la plupart des organisations Latines. Ainsi l’ensemble des décisions prise par un des maillons de cette chaine doit remonter toute la ligne hiérarchique afin d’avoir l’accord des divers responsables composant la structure. Aussi généralement c’est la direction qui impose ses directives aux différents directeurs de

retour d’expérience © SAP 2009 / Page 3 Pourquoi réduire les délais de clôture ? Besoin de pilotage Besoin de pilotage • Rapprocher temps comptable / temps gestion • Ancrer le processus de décision dans la comptabilité • Générer des gains de temps pour la prévision, l’analyse et l’aide à la décision Exigences du marché Exigences du marché • Gouvernement d’entreprise • Contrôle interne • Délais réglementaires • Evolution des référentiels • Benchmarking entre Sociétés comparables Les enjeux

consultatif. c/ participatif. 8. Selon Herbert Simon, les décisions prises dans les entreprises : a/ sont totalement rationnelles. b/ s’efforcent d’être rationnelles, mais cette rationalité est limitée. c/ sont totalement irrationnelles. 9. La décision de diversifier l’activité de l’entreprise est de nature : a/ stratégique. b/ tactique. c/ opérationnelle. 10. La « théorie de la poubelle » montre que les processus de décision au sein des entreprises : a/ n’ont aucune importance. b/

donnée aux conseils de procéder à des virements de crédits sans limitation des cas de modification: Les virements de crédits à l’intérieur d’un même article peuvent être opérés par décision de l’ordonnateur sans délibération du conseil ; Les virements de crédits à l’intérieur d’un même chapitre peuvent être opérés par décision de l’ordonnateur après délibération et accord du conseil. Cette nouvelle procédure écarte donc l’autorisation préalable de l’autorité de tutelle et introduit un début de globalisation