De Officis Ciceron

marxiste ou les grand hommes n existent pas Inversement il y a un courant qui s attache a dire que l histoire est faite par les grands hommes : la vie des douze Cesars , Suetone : c est pas parce qu on est empereur qu on fait des randes choses( ciceron pas un gd homme) =) analyse qui se dégage ecriture de l histoire des grands hommes et les foules suivent Napoléon a influeé le cours de l histoire et est une forme d aboutissement culturel à la croisée des cultures ( hommes des lumières / révolution)

les Grecs la pratiquent va se tourner presque exclusivement vers la politique. Toutefois l’Histoire n’est pas née à Athènes, mais sur les bords de l’Asie mineure, car avant Thucidide il y a Hérodote d’Halicarnasse (485/425 av JC) et c’est lui que Cicéron a appelé le « Père de l’Histoire ». Ils participent tous deux au débat politique. Hérodote apparait comme un chroniqueur, il raconte l’Histoire. Très différent de Thucidide qui réfléchit sur l’Histoire, qui se penche sur l’Histoire. Il donne un Traité

séparées. Généralement lors des batailles ces contingents alliés sont placés à chaque extrémité d’une légion. C’est la raison pour laquelle on parle d’aile lorsque l’on désigne un contingent d’allié Italien. Ces Italiens sont commandés par des officiers Italiens et à un plus haut niveau par les romains. Ces alliés ont été de plus en plus souvent sollicités. Ceux qui combattaient dans les positions les plus exposées lors des batailles payaient un lourd tribut à chaque bataille. Ils touchaient peu

Almaviva. Il met en scène de nouveaux personnages. Cette pièce se déroule en France, Figaro et sa femme Suzanne vont devoir faire preuve d’intelligence pour déjouer les plans d’un certain Irlandais. III) Les personnages : Le comte Almaviva, premier officier de justice. Il vient d’être nommé ambassadeur à Londres. Il délaisse sa femme et souhaite exercer le droit du seigneur sur Suzanne qu’il avait aboli. La comtesse, épouse délaissée du comte, Rosine dans Le Barbier de Séville. Aidée par Suzanne

d’un homme d'âge mûr qui lui offre de faire un voyage pour se distraire de son chagrin. Ils embarquent. Arrivés à destination, le cicerone du narrateur lui annonce qu'ils sont parvenus dans la France « de ce nouveau monde [ ... ] qui est exactement le double du nôtre. » De fait, ils entrent dans une ville où le narrateur rencontre un homme qui a l'apparence d'un officier de ses amis, Folville, mais qui n'en a que l'apparence car il s'exprime dans une langue nouvelle pour lui. Il interrompt son récit

connue par des règlements de procédure judiciaire appliqués par les tribunaux de Sicile. Des questions agricoles, portuaires, commerciales étaient aussi présentent dans cette lex Rupilia (connue grâce à Cicéron). - Sardaigne et Corse : on ne sait pas grand-chose sur l’administration de ces iles. Cicéron dit que le territoire est réduit à la condition d’ager publicus (possession du peuple romain). On sait par un autre discours qu’il n’y avait que des cités stipendiaires. - Ibérie : pas de loi

chemin, leurs officiers se livrent à un intense travail de désinformation, affirmant que César était devenu odieux et détesté par ses soldats, et induisent Pompée à le sous-estimer[74]. Toujours par l’intermédiaire de Curion et Marc Antoine, désormais tribun, César tente une nouvelle proposition : il accepte de ne conserver que deux légions et le gouvernement de la Gaule cisalpine et de l’Illyrie, pourvu qu’on accepte sa candidature au consulat. Malgré la recherche d’un compromis par Cicéron, Caton refuse

à persuader »5 ; la définition de la martinache d'origine stoïcienne qui pose qu'elle est l'art de bien discourir. Elle requiert une bonne moralité et se rapproche en cela d'une représentation de la sagesse. Ses représentants sont Quintilien et Cicéron. Cette double tradition a conduit les auteurs, au cours des siècles, à multiplier les définitions de l'art rhétorique. « Aide mémoire » pour Roland Barthes6, la rhétorique est pour Arthur Schopenhauer ou John Stuart Mill la technique du discours

confiance de grace. « Je considere que Moyse, le plus doulx homme qui de son temps feust sus la terre, aigrement punissoit les mutins et séditieux au peuple de Israel. « Je considere que Jules Cesar, empereur tant debonnaire que de luy dict Ciceron que sa fortune rien plus souverain n'avoit sinon qu'il pouvoit, et sa vertus meilleur n'avoit sinon qu'il vouloit tousjours sauver et pardonner à un chascun ; icelluy toutesfois, ce non obstant, en certains endroictz punit rigoureusement les aucteurs

mission = B commun → déviance, corruption. Ploutocratie : gouvernement des riches pour s'enrichir → intérêt personnel C'est encore + grave que la timocratie. Honneur recherche + élevée que l'argent → passion, B matériel = ce qu'il y a de plus bas. Cicéron : la vertu peut être recherchée, non pas pour elle même mais pour le B qu'on peut en tirer. » → démarche intéressée. C) Démocratie Gouvernement du + grand nombre. Ce régime est mauvais en soi. Ignorance → on n'accorde pas la priorité à l'élite