De Nerval Petits Châteaux De Bohème

par le suicide de Nerval en 1855. • Courant littéraire : Romantisme. • Genre : On peut hésiter quant au genre de l'œuvre, mais il s'agirait plutôt d'un récit comprenant de très nombreux éléments autobiographiques. • Structure : L'œuvre est composée de deux parties, la première divisée en dix chapitres, la seconde en six chapitres. Elle est parue dans La Revue de Paris. La composition et l'agencement des chapitres qui semblent souvent déroutants ne relève pas de Nerval mais de La Revue de

clairement qu'il n'a rien fait et que c'est uniquement de la faute de Dieu si il se retrouve dans cette situation « Que deviendrai je ô Dieu qui connait ma douleur/ Toi qui me l'a donnée ». Prenons aussi l'exemple du poème Petits Châteaux de Bohême écrit par Gerard de Nerval en prison. Dans ce poème l'auteur aborde un point de vue satirique pour décrire la prison dans laquelle il se trouve, le passage est court mais précis et indique parfaitement les conditions dans lesquelles vivent les prisonniers

Nancy) SOMMAIRE PREFACE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p2 Arthur RIMBAUD Le dormeur du val . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p3 Paul FORT Complainte du petit cheval blanc . . . . . . . . . . . . . . . . p4 Gérard DE NERVAL Le point noir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p5 Alphonse DE LAMARTINE L’isolement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p6 Louis ARAGON

tercets), et chaque vers contenaient 12 syllabes (alexandrins). De plus les poèmes faisaient ressortir la mythologie grecque et la musicalité (avec les rimes embrassées, avec les assonances et les allitérations (répétions de consonnes)…). Cette petite formation est à l’origine d’un nouveau courant littéraire : L’Humanisme. Ce mouvement reprend tout de la Pléiade. Voici les noms de quelques auteurs appartenant de ce courant. -J. du Bellay (1522 - 1560): Les regrets (1558) -Ronsard (1524 - 1585)

Dumas, Alfred de Nerval et Pauline de Meulien. Au début et jusqu’à la page 39, c’est Alexandre Dumas, auteur-narrateur du roman qui raconte l’histoire (« j’emmène souper Alexandre » p.38). Alfred de Nerval poursuit la suite de la narration de la page 39 à 85 (« Je m’inclinai en signe d’adhésion à ce que disait Alfred » p.39). Pauline finit à la page 167 (« …Je mis un tresse de mes cheveux entre mes dents… » p.164) puis Alfred termina l’histoire (« Je répondis aussitôt … Alfred de Nerval » p.186).

Éléments biographiques choisis : La vie de Gérard de Nerval est une succession de rencontres, de voyages dont sont imprégnées ses œuvres. Ces-dernières révèlent / illustrent / témoignent / reflètent sa vie. Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville dans laquelle il décède le 26 janvier 1855. Il est essentiellement connu pour ses poèmes et nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus

de Chateaubriand, mal dans sa peau, qui se met à voyager pour meubler sa solitude, à la recherche d'une identité qu'il ne trouve pas. Il a confiance dans la religion (Amélie, soeur de Chateaubriand entre au couvent), dans la poésie, les mythes (Nerval), les forces occultes, les rites, le fantastique, c'est un contemplatif de la nature, des tempêtes, des clairs de lune. Le romantique s'intéresse à lui-même, fait l'éloge des marginaux, de la vie à l'écart de la société. Il remet en cause le progrès

STROPHES DE 12 VERS | | Premier janvier par Victor Hugo | Enfant, on vous dira plus tard que le grand-père Vous adorait ; qu'il fit de son mieux sur la terre, Qu'il eut fort peu de joie et beaucoup d'envieux, Qu'au temps où vous étiez petits il était vieux, Qu'il n'avait pas de mots bourrus ni d'airs moroses, Et qu'il vous a quittés dans la saison des roses ; Qu'il est mort, que c'était un bonhomme clément ; Que, dans l'hiver fameux du grand bombardement, Il traversait Paris

Le 15 août 1853, la Revue des Deux Mondes publiait la nouvelle la plus fluide et lumineuse de l'oeuvre de Nerval, Sylvie. Pourtant, elle fut conçue dans un moment de dépression mélancolique particulièrement intense, qui devait aboutir dès la fin de l'été 1853 à un nouvel internement. C'est dire que revenir en Valois a constitué sur le plan psychique pour Nerval une épreuve nécessaire, mais traumatisante. L'itinéraire sera globalement le même que celui des Faux Saulniers en 1850, de Paris à Dammartin

|nature, sur notre désir d'émancipation. |La raison a perdu la monarchie et la noblesse et la |au couvent), dans la poésie, les | |Contre le classicisme copié sur les |philosophie des lumières a sapé les traditions, ruiné |mythes (Nerval), les forces occultes,| |modèles antiques gréco-romains. |l'autorité de l'église. En réaction, les romantiques, |les rites, le fantastique, c'est un | |La littérature classique née au XVIème |contre-révolutionnaires vont exalter la